AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782070451951
288 pages
Gallimard (26/04/2013)
3.97/5   36 notes
Résumé :
Que savons-nous d'Hannibal ? Quelques bribes de souvenirs scolaires, l'homme qui, un temps, mit Rome à genoux, l'image formidable d'éléphants traversant les Alpes enneigées. Presque rien – assez pour que Paolo Rumiz entreprenne d'en savoir un peu plus, moins dans les bibliothèques qu'en refaisant son périple. Et sous ses pas s'éveille de nouveau la légende, reprend corps, au fil des rencontres, le grand rêve d'Hannibal et de Carthage, ce peuple de Phéniciens african... >Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
3,97

sur 36 notes
5
4 avis
4
3 avis
3
3 avis
2
0 avis
1
0 avis
C'est un magnifique voyage auquel nous convie Paolo Rumiz. Accompagné de Tite Live et de Polybe nous marchons sur les traces d'Hannibal. Partant de Carthage à Carthagène, traversant les Pyrénées puis le Rhône pour rejoindre les Alpes uniquement servis par les informations de nos guides antiques, nous parcourons les paysages sur les sentes secrètes de l'histoire perdue avec en filigrane des indications millénaires à décoder.

Mais il y a aussi les rencontres avec les gens du pays, les historiens, les géologues, les passionnés et il y a ce que nous racontent les noms des lieux, des villes et des cols et les légendes qui jalonnent ce long chemin vers Rome. Sous la plume de Paolo Rumiz c'est le paysage qui se transforme pour rendre au lecteur toute l'histoire des temps passés. Ainsi, les autoroutes disparaissent pour céder la place aux voies romaines, les villes s'effacent pour laisser place aux marécages...

Héraclès aurait ainsi guidé les pas de notre héro, symbole de l'opposition à la domination: 90 000 fantassins 12 000 cavaliers, 40 éléphants, 20 000 km parcourus, les Pyrénées, les Alpes Franchies, voila qui donne une idée de la grandeur de la tâche accomplie rendant éternel le nom d'Hannibal.

C'est après une discussion entre amis dans les Alpes que Paolo Rumiz se décide a s'engager dans cette quête de la redecouverte d'un passé dont les traces se perdent avec les générations. La tâche n'est pas aisée car tant de choses ont changé en 22 siècles, même la direction des rivières... Sans évoquer les effets de la main de l'homme sur le paysage. En plus de ces considérations topographiques, lorsque l'histoire peut servir les intérêts politiques, on perçoit que les chemins qui pourraient nous mener à la réalité historique sont semés d'embuches et que les infimes indices encore exploitables ne sont plus que des probables et en rien des certitudes. le voyage sur les traces d'Hannibal prend ainsi la tournure d'une véritable enquête.

Une lecture passionnante qui remet au jour des anecdotes dévorées par le temps et un travail d'investigation qui révèle la tâche immense qui consiste à retrouver les traces véritables du passé.
Commenter  J’apprécie          774
Une incursion, loin dans le temps et sur des chemins escarpés, que je dois à une exposition au Musée Dauphinois à Grenoble.
Si je vous dis Guerre punique cela vous rappelle quelque chose ? Nous n'allons voyager ni en avion, ni en bateau, mais à pieds avec les 100 000 hommes et les 37 éléphants de l'armée d'Hannibal.
Le mythe est vieux de 2000 ans, Hannibal Barca a laissé son nom à des villages, des routes, des rues, des ponts, c'est un héros que François Ier ou Napoléon ont tenté d'imiter, que les peintres ont pris pour sujet de Claude Lorrain à J.M.W.Turner, en passant par Giambattista Tiepolo, le sujet valait bien un livre non?
Partir sur les traces d'un mythe n'est pas toujours chose aisée, il faut une documentation et des sources fiables. C'est précisément ce qui manque le plus pour Hannibal. Mais l'auteur a des ressources, tout d'abord ses lectures, Polybe et Tite-Live qui vont être du voyage et il a un peu partout des amis qui sont des chercheurs, des historiens, des archéologues, certains vont faire un bout de chemin avec lui.

C'est que le périple est considérable, après avoir quitté Carthage, Hannibal va traverser l'Espagne non sans livrer quelques batailles, perdant des hommes et en recrutant d'autres. D'un bond on franchit les Pyrénées et après un passage en Gaule nous voilà aux pieds des Alpes et là Paolo Rumiz va tenter d'imaginer, de rêver, de découvrir par quel col a bien pu passer Hannibal et son armée, sa cavalerie et ses éléphants. le col Clapier ? un autre ? Les historiens s'en donne à coeur joie, chacun son scénario, chacun son col favori. Après le passage des Alpes c'est la descente par la plaine du Pô.

Les pages de Paolo Rumiz font doucement apparaître le portrait d'un chef tout à fait hors du commun, de l'enfant jurant à son père que toute sa vie il combattra Rome, au stratège qui fit trembler l'Empire romain sur ses bases.
Tite-Live est un peu porté sur la caricature, le peignant comme un barbare sanguinaire, sans foi ni loi. Mais Tite-Live est de parti pris n'oublions pas qu'il est romain.
Nous suivons cette armée qui bizarrement évite Rome, et livre une bataille gigantesque à Cannes, une bataille qui est un modèle de stratégie, d'habileté politique au point d'être aujourd'hui encore un sujet d'étude pour les militaires.
Hannibal est celui qui a osé s'opposer à la puissance Romaine et qui a bien failli réussir. Pendant plus de dix ans il va rester en Italie narguant les Romains et les faisant trembler.
On va terminer le voyage au Caucase, face au Mont Ararat, l'ultime exil d'Hannibal.
J'ai énormément aimé ce livre, qui marie l'histoire d'hier et des péripéties d'aujourd'hui. Ah la révolte des habitants de la Vallée de Suze contre le TGV /TAV !! je vous recommande cet épisode là car Paolo Rumiz en bon journaliste ne peut pas traverser une région sans avoir un oeil un peu inquisiteur.
Deux autres écrivains voyageurs apparaissent dans le livre, Ryszard Kapuściński, ami de Paolo Rumiz et Patrick Leigh Fermor que l'auteur admire. C'est un parrainage qui a lui seul peut vous donner envie d'ajouter ce livre à votre bibliothèque.

Lien : http://asautsetagambades.hau..
Commenter  J’apprécie          161
Col du Clapier, entre Bramans (France) et Giaglione (Italie), un jour de l'année 2000. Paolo Rumiz lit l'épisode de la traversée des Alpes d'Hannibal, relaté par Polybe, à ses compagnons de randonnée et aux chasseurs italiens rencontrés sur place … Moment hors du temps, moment de grâce … Il décide alors de laisser le monde continuer sa course sans lui, et abandonne son boulot de journaliste pour retrouver les traces d'Hannibal, quelque deux mille deux cent ans après sa mort.

L'Italien se met en route et marche dans les pas d'Hannibal, refaisant le voyage du Phénicien de Carthage aux portes de Rome. Il sillonne les routes de l'Europe du Sud, du Nord de l'Afrique et de l'Asie, découvrant que partout le général africain a laissé des traces dans la toponymie, dans les patronymes, dans les légendes locales, … Ainsi, à Rocca di Papa, une prairie s'appelle le « champ d'Hannibal » ; à Tornimpart, tous les ans, une grande marche est organisée, appelée « la marche d'Hannibal » ; à Montepulciano d'Abruzzo, on produit un vin rouge baptisé Hannibal. Et encore : à Casteggio : fontaine d'Hannibal ; à Modigliana : puits d'Hannibal ; deux ponts d'Hannibal sur l'Arno et sur le Sieve. Un lieu-dit d'Hannibal dans le Mugello. Un Monte Annnibolina près des rivages de Rimini. A Carthage, en Tunisie, on parle encore de Sidi N'bal (Sidi qui veut dire Seigneur). Et j'en passe …

Ce n'est pas un essai historique (comme le livre de Brizzi, « Moi, Hannibal… »), non, mais un voyage romancé dans le temps et dans l'espace. Rumiz nous questionne sur l'héritage matériel et immatériel (au travers du mythe toujours vivant en Italie du Sud, encore toujours aussi hostile au pouvoir centralisé de Rome, du héros défiant la Cité Eternelle) de l'Antiquité, sur la mémoire des hommes, sur notre modernité, sur la finitude des hommes et des civilisations …

Et au terme de ce livre, Hannibal garde son halo mythique, sa part mystérieuse, puisque aucune des énigmes de sa vie ne sont résolues : qui est ce stratège génial, ce bâtisseur de ville, toujours solitaire ? pourquoi se lance-t-il dans une guerre contre Rome ? où a-t-il franchi le Rhône et les Alpes ? pourquoi, au terme de sa vie, ne parvient-il pas à fuir vers l'Orient et retourne-t-il à l'endroit où les Romains l'attendaient ? où sont ses cendres ?

Et c'est tant mieux …

Commenter  J’apprécie          131
Beaucoup de choses à la fois...
Un beau livre de voyage qui est bien des choses en même temps..
Un récit de voyage au trajet un peu plus compliqué que la normale. Ici on ne va pas forcément d'un point A à un point B. Mais on est bien dans ce type de récit avec ce qu'il implique de descriptions, de couleur locale...
Un livre gentiment érudit. Par gentiment je veux dire que Paolo Rumiz part sur les traces d'Hannibal en ayant les auteurs antiques dans sa poche (Polybe..) et c'est en leur compagnie également que nous voyageons.
Une enquête policière sur les traces disparues d'Hannibal. C'est passionnant.
Un livre ouvert. Ouvert sur les autres comme toujours chez Rumiz dont j'avais déjà beaucoup apprécié son livre consacré aux frontières de l'Europe. Ici on rencontre des historiens, des archéologues..Et Rumiz ne leur fait pas la leçon, il les écoute patiemment.
Un livre non égotiste. Rumiz, je reviens sur ce point, ne s'intéresse pas à lui mais aux autres. Cette dernière option peut d'ailleurs donner de bons livres, Tesson en est la preuve. Il y a la une forme de modestie qui me rappelle un peu les livres de Kaufmann.
Un livre d'actualité, périmé certes, mais le livre publié en pleine guerre en Irak est en filigrane une réflexion sur la guerre. Celle du passé, et celle du présent d'alors, dont on a pu mesurer les répercussions jusque dans les villes européennes.
Commenter  J’apprécie          160
L'ombre d'Hannibal, ou le voyage d'un écrivain et journaliste Italien, admirateur du grand borgne Carthaginois. Il nous emmène de la Tunisie à la Turquie sur les traces du général qui fit trembler Rome pendant de longues années.

J'avoue le pitch me plaisait bien, étant assez novice en la matière je voulais apprendre l'Histoire en me promenant à ses côtés, découvrir les lieux où Hannibal est passé et faire revivre sa mémoire. Sur le papier c'est ce qui se passe : on apprend pas mal de choses, tout en visitant bien des endroits en compagnie de l'auteur et d'autres passionnées qui le rejoignent. Et pourtant je n'ai pas vraiment aimé le bouquin...

Des pluies de noms Italiens qu'on ne connait pas (ou je), des noms de fleuves, de villes, de monts à n'en plus finir… et aucune carte, rien. A part pour les personnes connaissant parfaitement l'Italie c'est franchement pénible à suivre. On sort bien la tablette pour voir, une fois, deux, dix, vingt… ça devient chiant, et on ne regarde plus que la région où il est pour situer globalement l'endroit qu'il visite.

Il parle d'Histoire, mais donne vraiment peu de dates. Etrusque, Celtes, Espagne, Maures… si on ne connait pas la chronologie des choses c'est à se perdre, et il faut donc des connaissances pour s'embarquer avec lui, surtout qu'il n'hésite pas à sortir du vocabulaire bien spécifique… On fini par se sentir un peu exclu de ce qu'il raconte, semblant partir du principe qu'on a les mêmes connaissances que lui, et ne comprenant pas toujours ce qu'il essaye de peindre comme paysage.

Les vrais moments captivants et passionnants sont bien sûr ceux ou il nous parle du Général, en citant Tite-live et Polybe (ses bibles), et en nous inondant de sa passion qui fait chaud au coeur. Ces passages sont malheureusement trop rares à mon gout, se concentrant plus sur l'aspect carnet de route qu'Histoire. Je pense qu'un tier à peine du bouquin m'a vraiment plu, le reste du temps il nous parle de bouffe locale, de vent et de paysages dur à visualiser, en maugréant ad-nauseam sur le monde actuel et en se plaignant des “Italiens moyens” (sic), finissant par faire des amalgames entre grands hommes d'hier et gens du commun d'aujourd'hui, comme si l'Antiquité était un monde rose et qu'aujourd'hui l'humanité n'était plus qu'un déchet.

Bref, un voyage qui sonne un peu Petitrenaud, terroir et bon vin, saupoudré d'Histoire.

Je n'ai rien contre (bien au contraire) son voyage physique et spirituel à la poursuite de son idole, moi aussi je suis tombé en pamoison devant mes fantasmes historiques lu des dizaines de fois, en voyant par exemple de mes propres yeux émus cette dalle où ont été couronné les plus grands Byzantins… mais le format papier ne convient pas. Une série de reportages sur vidéo (genre Arte) serait infiniment plus adapté, plus visuel, plus tangible et communicatif. Ou à la limite un grand livre, papier glacé et plein de photo magnifiques de ses visites. Quand il nous parle des grandes étendues de Zama ou de Cannes, avec toute l'imagination du monde on ne peut pas comprendre, surtout qu'il ne se donne pas la peine de faire un petit schéma pour nous aider.

La toute fin est bien meilleure, presque triste, mais il est pour ma part trop tard.

PS : le 5 n'est pas tant la qualité intrinsèque du bouquin que mon degré d'intérêt pour un voyage qui n'a pas maintenu mon éveil de manière constante (n'étant vraiment pas friand de ce genre de récit à la base), mais qui m'a donné une foutue envie d'en lire plus sur Hannibal. Pas une lecture perdue donc.
Commenter  J’apprécie          21


critiques presse (1)
Lexpress
07 juin 2012
Un passionnant jeu de piste sur fond d'histoire antique, de mythologie et de géopolitique.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
Je raconte la fuite hors de Carthage, l'océan avec le temple d'Hercule consacré au couchant, le rêve du monstre couvert de serpents, le passage du Rhône, la traversée des Alpes avec les éléphants dans la neige. J'y ai mis toutes mes facultés de narrateur. Une situation homérique s'est créée, comme quand Ulysse raconte ses aventures aux Phéaciens. Zarian, ravi, traduit, Vardges apporte un surcroît de vin, le petit Armen, aux cheveux roux, écoute, les yeux écarquillés.
"Mais finalement, il atteint son but ?", demande le berger.
"Oui, dis-je, puisqu'il est vrai qu'aujourd'hui, on parle encore de lui. Hannibal croyait seulement à l'immortalité de la mémoire." Puis j'ajoute : "Vois-tu, Vardges, si cet homme n'avait pas existé il y a deux mille deux cents ans, nous ne nous serions jamais connus."
Commenter  J’apprécie          100
Je découvre que l'Italie est pleine de lieux portant son nom. Des Alpes à la Calabre, une myriade de "pont d'Hannibal", "champ d'Hannibal" ou "fontaine d'Hannibal". Le moteur de recherche m'offre une épidémie de toponymes. C'est incroyable : à plusieurs siècles de distance, au Moyen Âge ou en pleine Renaissance, on baptisait encore des endroits en son honneur. Qu'est-ce que ça veut dire ? Il ne peut quand même pas être allé partout. Et alors ? Peut-être a-t-il accompli l'impossible : laisser sa trace, même dans les lieux où il n'a jamais mis les pieds, se réincarner dans d'autres lieux qui n'avaient rien à voir avec lui. Il n'est pas exclu que ce soient justement là les traces les plus intéressantes.
Commenter  J’apprécie          110
Les éléphants sont faits pour s'incruster dans les mémoires et personne ne m'ôtera de l'idée que c'est pour cette raison qu'Hannibal les a emmenés avec lui. Notre homme voulait créer le modèle, l'archétype de la traversée des Alpes. Il savait fort bien qu'après cette prouesse, aucune autre armée ne pourrait faire autant d'effet en franchissant ces montagnes. C'est d'ailleurs exactement ce qui est arrivé à son propre frère, Hasdrubal, dont personne ne se souvient et qui a pourtant franchi les Alpes quelques années plus tard, avec deux fois plus d'éléphants et beaucoup moins de pertes. Et on peut en dire autant de Jules César, Charlemagne et Napoléon. Tous réduits à l'état de piètres imitateurs.
Commenter  J’apprécie          110
C'est ici aussi que Rome – au IIIe siècle – se heurte à un phénomène oriental, ou plutôt "grec" : le stratagème, la ruse de guerre, faite pour surprendre l'adversaire par un mouvement auquel il ne s'attend pas. "Stratagème" est le mot qui résume les défaites de la Trébie et du lac Trasimène, la moquerie de Callicula, mais surtout la déroute de Cannes. En latin, ce terme n'existe pas, ce qui indique bien qu'au cours de cette phase de la République romaine, on ne songeait pas encore à mettre de la finesse dans la guerre. Voilà pourquoi ce malin d'Hannibal – si étroitement lié à la culture hellénistique – est pour les Romains le "perfidus" par antonomase. Le violeur de la "fides", un mot qui en latin signifie "confiance".
Commenter  J’apprécie          90
Un livre c’est comme un père: il vous sèvre, il vous rend fort, il fait croître en vous la curiosité du monde, mais c’est aussi un piège qui vous pousse à vous contenter des merveilles qu’il contient. Pour partir, il faut parfois renier son père, parce qu’on ne peut affronter le monde quand il pèse de tout son poid sur vos épaules.
Commenter  J’apprécie          200

Videos de Paolo Rumiz (14) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Paolo Rumiz
https://www.laprocure.com/product/1064126/rumiz-paolo-le-fil-sans-fin-voyage-jusqu-aux-racines-de-l-europe
Le Fil sans fin, voyage jusqu'aux racines de l'Europe Paolo Rumiz Éditions Arthaud
« La ville de Trieste, qui est maintenant en Italie, mais qui fut longtemps Autrichienne, a toujours été le berceau, le creuset de très grands talebnts, on pense à Boris Baor récemment décédé à plus de cent ans. Et bien, Paolo Rumiz est l'un de ces écrivains un peu héritiers de cette génération à laquelle il doit tant et, en plus d'être un très bon écrivain, c'est un etrès bon marcheur. C'est donc un vrai récit de voyage qu'il nous propose en éditions Arthaud dans LeFil sans fin. La toile de fond, c'est un voyage qui commence à Nursi, la patrie de saint Benoît de Nursi, patron d'Europe. le voyage commence en 2017 au lendemain d'un tremblement de terre qui dévasta toute cette région... » Bertrand, libraire à La Procure de Paris
+ Lire la suite
autres livres classés : italieVoir plus
Notre sélection Non-fiction Voir plus




Quiz Voir plus

Devenez très fort en citations latines en 10 questions

Que signifie Vox populi, vox Dei ?

Il y a des embouteillages partout.
Pourquoi ne viendrais-tu pas au cinéma ?
J'ai un compte à la Banque Populaire.
Voix du peuple, voix de Dieu.

10 questions
528 lecteurs ont répondu
Thèmes : latin , Citations latines , antiquitéCréer un quiz sur ce livre