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3,74

sur 122 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
L'habit ne fait pas le moine ! En lisant le résumé et en regardant la couverture, je pensais que j'allais tomber sur une énième histoire de famille un peu loufoque au scénario attendu… Et bien, j'ai pris une belle claque et je félicite l'auteur pour son ouvrage qui m'a aussi bien arraché un sourire qu'il m'a fait serrer le coeur. On a là un très joli roman qui traite de la vie, de la vieillesse, de la maladie, de l'amour et de la famille. Tout commence avec le divorce de Napoléon, un vieil homme de quatre-vingt-cinq ans complètement fou et dans sa bulle. Sans concerter personne, il décide de changer radicalement de vie afin de s'offrir un élan de renouveau. Il se sépare donc de sa femme Joséphine, en fait voir de toutes les couleurs à son fils qu'il surnomme « couilles molles », s'achète un chien à la SPA qu'il va nommer « Point à la ligne », puis fera les quatre cent coups avec Léonard, alias « Coco », son petit-fils. Honnêtement, je n'avais pas lu un ouvrage aussi barré depuis « Dysfonctionnelle » d'Axl Cendres ou « Vieux, râleur et suicidaire : La vie selon Ove » de Fredrik Backman ! Je ne pensais pas me prendre autant au jeu, mais j'ai pourtant été très vite séduire par cet Empereur qui ravage tout sur son passage. La langue bien pendue et la réplique facile, Napoléon est véritablement intenable voire mauvais avec ceux qui lui barrent la route. Que ce soit Irène, l'aide à domicile qui prône la paix et la spiritualité, son fils, le personnel du service de gériatrie ou celui de la maison de retraite, il ne leur laisse pas de quartier ! Napoléon a décidé qu'il n'en faisait qu'à sa tête et qu'il écoutait personne ! On a là un personnage haut en couleur ! Son tempérament explosif ne peut que marquer le lecteur…

Aussi agaçant que touchant, ce vieux « chameau » m'a émue. J'ai beaucoup aimé cette idée d'ultime combat contre la vie ; cette lutte contre la vieillesse, la santé qui flanche ou la mémoire qui joue au yoyo. Napoléon a énormément de mordant et d'assurance. Même lorsque sa carapace se fissure, il repart en scelle pour de nouvelles folies ou projets à réaliser. C'en est presque de l'inconscience ! J'ai surtout adoré la relation entre le grand-père et son petit-fils. Ils ont un lien très fort, drôle, complice, émouvant et original. Tous deux ont même inventé un langage codé pour pouvoir échanger tranquillement. Leur attachement réellement attendrissant est l'une des plus belles choses du roman… Les autres membres de la famille de Napoléon et de Léonard sont également attachants. Ils ont su me conquérir au fil de leurs actes et de leurs discours. Que ce soit la mère qui parle peu et préfère dessiner, « Couilles molles » qui est tout de même très patient ou encore Joséphine, la grand-mère divorcée, à qui il arrive une série d'aventures étonnantes. D'ailleurs, ses courriers à son petit-fils m'ont beaucoup amusée…

Même si cet ouvrage est destiné aux ados, je suis certaine qu'il saura également (surtout ?) atteindre un public plus adulte. Ce sont des sujets qui leur parleront davantage… Quoi qu'il en soit, les réflexions sont aussi drôles que pertinentes, plusieurs passages sont émouvants, tandis que l'intrigue déjantée et originale dégage un sacré peps ! Avec ce livre aussi drôle que triste, je ne suis pas passée loin du coup de coeur… Par contre, je pense qu'avec Napoléon, ça passe ou ça casse ! Son personnage va fortement influencer sur le ressenti général des lecteurs… Pour ma part, la chose qui m'a surtout dérangée, c'est la relation entre Napoléon et son fils. Celui-ci fait de son mieux pour plaire et faire plaisir à son géniteur. Or, il est presque désavoué, se fait ridiculiser et rabaisser sans cesse. Il m'a fait de la peine… J'étais d'ailleurs surprise de voir cette différence entre le père et Léonard ! Il y a un tel écart de conduite… Or, Léonard ne prend jamais parti pour son père. Très en retrait et presque effacé, il laisse son aïeul déverser un flot de paroles sans réagir… Cela m'a un peu choquée. Malgré ce défaut, j'ai passé un merveilleux moment de lecture et me suis régalée ! Honnêtement, ce fut une belle surprise !

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J'ai plus d'appétit qu'un Barracuda
Je boirai tout le Nil si tu n'me retiens pas…..

Quand un homme prénommé Napoléon décide à l'âge de 85 ans de divorcer pour se renouveler….. Et bien cela donne 300 pages de rigolades et 30 pages de larmes….
Préparez-vous à lire ce roman sous le rythme endiablé d'Alexandrie Alexandra de Cloclo !
Préparez-vous à vous amuser avec Napoléon et Léonard Bonheur !
Grand -père et petit-fils ! La transmission de l'amour !
Napoléon cet empereur est le grand père rêvé. Plein de fougue, il dit ce qu'il pense que ça plaise ou non. Et face à lui, son petit-fils Léonard qui l'aime plus que tout et le suit dans tous ses périples loufoques. le petit-fils admiratif de cet ancien boxeur. Et nous avons le reste de la famille Bonheur spectateur de ce désastre.
Mais Pascal Ruter va plus loin avec son roman coup de poing. Il nous chamboule sans prévenir. le lecteur se laisse bercer dans cette ambiance bon vivant.
Bonne de tranche de rigolade ! de sacrés joutes verbales ! Ca saigne avec Napoléon ! On se prend de sacrés uppercut ! Et sous le regard candide de Léonard, le lecteur bascule dans cette terrible vérité. C'est un roman vérité et intergénérationnel. Tout le monde peut le lire et je comprends qu'il a été édité dans deux maisons. Une couverture loufoque pour les jeunes et plus sobre pour les adultes. Mais un seul texte !
Ce roman est bourré d'amour et d'humour. La famille est à l'honneur.
Alors pour moi c'est un coup de coeur malgré quelques remontées. Et oui mon côté exigeant est toujours dans le coin.
Je cherche encore des explications de la relation Rocky/Napoléon/Joséphine. Et je n'ai pas très bien compris le rôle d'Alexandre dans ce roman. Rien de grave, c'est juste que l'auteur insiste bien sur ces protagonistes. Aurais-je l'occasion de le rencontrer ?
Mais cela reste une très belle découverte et un grand OUI à la famille Bonheur !

Un coup de poing ! Un coup de coeur !
Napoléon m'a mise KO en 27 chapitres et un épilogue. Un vrai guerrier qui va marquer les esprits et les coeurs….
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Tout commence par un divorce.
Napoléon, 85 ans veut se renouveler.
Tel est le début de cette histoire attachante entre un papy rock n'roll, ancien boxeur et son petit fils surnommé Coco, 10 ans.
Durant 300 pages le lecteur est embarqué dans la vie tonitruante et déjantée de cet empereur un peu loufoque, incorrigible, bourré d'humour et de répartie.
La relation entre le petit garçon et son papy est unique, émouvante. Ils se parlent en espéranto, scellant ainsi l'intimité et la complicité de leur lien.
La relation épistolaire de la mamie avec son petit fils est un véritable trait d'union.
Une histoire magnifique de transmission, de famille, de vieillesse, la vie...
J'ai bien sûr adoré .
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Lors d'un salon du livre Pascal Ruter nous a confié que lorsqu'il avait commencé à écrire il pensait s'adresser à un public adulte. Cependant devant les refus répétés de publication, ce professeur de français a décidé de présenter son manuscrit à des éditeurs jeunesse, direction le succès qu'on lui connaît aujourd'hui : une trilogie pour le Cœur en Braille mais aussi une adaptation au cinéma. J'ai donc été ravie de découvrir que pour son nouveau livre il bénéficie d'une double mise en place jeunesse et adulte. Et c'est une chance car Barracuda for ever, comme tous les romans de Pascal Ruter est un condensé de tendresse, d'humour et de nostalgie qui touchera sans aucun doute les adultes comme les enfants.
Napoléon, fringant octogénaire, décide de changer de vie. Il divorce de sa tendre Joséphine et secondé par son général en chef, son petit fils Léonard dit Coco, il décide de repeindre sa maison, d'adopter un chien et de kidnapper un animateur radio. On suit leurs folles aventures au travers des yeux de Léonard qui idolâtre son grand-père, son empereur, mais qui se surprend à le voir changer. En effet cette ancienne gloire de la boxe, cette tornade, vieillit, il perd la mémoire, l'équilibre et la tête, mais ça ne l'empêche pas de jouer au bowling, d'embêter son fils, de danser sur du Claude François ou de ressasser son dernier combat contre le grand Rocky. Et gare à ceux qui veulent le déporter en maison de retraite !
Avec Barracuda for ever, Pascal Ruter nous prouve une fois de plus qu'il est un maître dans l'art de créer des personnages, tendres, attachants, drôles, un peu loufoques et cabossés qui savent nous saisir, nous faire rire comme nous faire pleurer quelque soit notre âge.
Lien : http://sauramps.pagedeslibra..
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J'ai acheté ce livre parce j'avais beaucoup aimé " le coeur en braille" du même auteur.
C'est un excellent roman jeunesse qui nous parle d'une belle relation d'un grand-père un peu loufoque Napoléon et de son petit-fils , Léonard dit Coco.
L'histoire est truculente, déjantée, tendre et un peu triste et émouvante sur la fin.
J'ai souri très souvent et j'ai beaucoup aimé les réparties et les jeux de mots de Napoléon. Il est parfois énervant mais il est surtout très touchant.
J'ai adoré le lien très fort qu'il a avec son petit-fils jusqu'à parler ensemble en espéranto pour n'être compris que par eux deux.
Je me suis vraiment régalée avec cette lecture !
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Encore un beau coup de coeur.
J'ai décidément de la chance avec mes lectures en ce moment. (Du coup, je vais devenir difficile !!)
J'ai emprunté le livre à cause de l'auteur, j'avais déjà beaucoup aimé le Coeur en Braille, et du bonheur à l'envers.

Celui-ci est un petit bijou de tendresse et d'émotion.
Je l'ai trouvé si poignant que j'ai eu au début un peu de mal. Surtout si on se place du point de vue de l'homme adulte, père du narrateur, et fils du héros. Qui ne peut se résoudre à "placer" son père, alors qu'il doit sans cesse le rechercher la nuit, faire face aux critiques ... Et d'autant plus qu'il a été souvent humilié (la boxe, puis le bowling, et toujours sa façon de s'adresser à lui).
On a au départ l'impression qu'il ne l'aime pas vraiment, alors que personne ne serait capable de résister à ça, et de le garder à domicile.
Je réagis en personne adulte, voire âgée, je pense que les ados n'y verront pas la même chose que moi.
Mais le personnage du grand-père est extraordinaire, et ses liens avec son petit-fils terriblement émouvants.
On rit, on sourit, on pleurerait presque. La grand-mère réagit de façon admirable.
Et la fin est joliment inattendue.

Vraiment encore un superbe roman de Pascal Ruter.
Lien : https://livresjeunessejangel..
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A l'âge de 85 ans, Napoléon, surnommé l'empereur décide de refaire sa vie.
Il divorce et se prépare à faire les 400 coups.
J'ai beaucoup aimé ce livre parce que c'est un livre amusant. Les personnages sont attachants, il y a de la fantaisie et des émotions fortes.
Je recommande ce livre à ceux qui aiment les histoires drôles.

Missak S.
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Un magnifique roman qui évoque la vieillesse avec humour et tendresse.
Coco partage une grande complicité avec son grand-père : "Je l'admirais. Je me disais que la vie avait ses secrets et que mon grand-père les connaissait tous", "Tout ce qu'un grand-père pouvait donner à son petit-fils, Napoléon me le donnait". Il faut dire que celui-ci a une sacrée personnalité ! Vif et malicieux, il a un répondant qui tour à tour amuse et offusque les gens. Mais ce que n'ose avouer "l'empereur", c'est que "il a la trouille" : l'idée de mourir l'angoisse. Alors il en rajoute dans les pitreries et les excès, voulant prouver à tous - et avant tout à lui-même - qu'il est encore vaillant, et pour longtemps. Coco "l'aide de camp" promu "général" est son complice chargé de maintenir l'illusion de "l'empire" autant que possible : "Tant qu'on lutte, on est en vie".

Et c'est ce qu'il fait courageusement, en observateur attentif et attentionné qui s'efforce d'apporter à son grand-père ce qu'il attend de lui, ce dont il a besoin, le soutenant dans toutes ses entreprises même si on le soupçonne de ne pas toujours les cautionner. Coco est un garçon admirable pour son âge, plein de sensibilité et de maturité. Chacun des personnages a d'ailleurs autant de présence que de singularité. Joséphine, la mamie écartée (et on comprendra pourquoi à la fin), pense à Napoléon chaque minute de sa journée et a bien du mal à tourner la page. Samuel, le père, est touchant car constamment dénigré voire humilié par Napoléon ("couille molle !") alors qu'il rêverait de le rendre fier : "C'est ça que tu voulais que je sois, hein ? Comme ça que j'aurais été ton fils ?". Et il y a la mère, enfin, témoin silencieux de toutes ces scènes familiales qu'elle dessine "en gestes économes et furtifs", exprimant sur le papier "les sentiments à l'intérieur".

Les personnages secondaires ne sont pas en reste, entre Alexandre Rawcziik le camarade de classe de Coco avec son improbable casquette, et Edouard le prétendant de Joséphine "un peu barré mais sympa". Parfois déjantés, parfois attendrissants, tous nous embarquent dans un récit qui ne laisse pas une seconde de répit (à l'image du principal protagoniste !) avec une qualité d'écriture et un style incisif à souhait.

Mais voilà, le compteur de la vie tourne et Coco assiste malheureux et impuissant au déclin de son empereur... "J'avais honte de grandir, et de ne plus nous sentir invincibles, mon grand-père et moi". La mémoire s'effiloche, le physique aussi et peu à peu s'étend "cette toile d'araignée d'oubli dans laquelle il se débattait". Car il se battra jusqu'au bout le Napoléon, en boxeur émérite qu'il est resté, n'en rendant le texte que plus émouvant : "J'avais l'impression qu'il n'y avait plus que des dernières fois entre Napoléon et moi". Alors tout est fait pour accompagner au mieux le vieil homme, pour "retenir l'évanescence des choses de la vie qui sont en train de disparaître". Les derniers chapitres sont à la fois tristes et poétiques, la scène finale très belle, dont on retiendra cette phrase précieuse : "On n'est jamais loin de ceux qu'on aime, même quand on est séparés".
Lien : https://www.takalirsa.fr/bar..
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Avis de Grybouille (Chroniqueur sur le blog Léa Touch Book) :

Pour ouvrir cette chronique, j'ai envie de reprendre une phrase de ce roman, dite par Alexandre, un enfant, l'ami de Léonard : « Tu as bien raconté, prends une bille. »

Pascal RUTER nous livre un roman plein de Tendresse et d'Amour entre un grand-père et son petit-fils.

Le livre commence par un coup de tonnerre, Napoléon a 85 ans et ce matin il décide, d'un commun accord avec lui-même, de divorcer… « Je veux refaire ma vie, avait-il dit au juge chargé de l'affaire. »
Joséphine, son épouse est en pleurs, mais ne peut que se plier à sa volonté : « Enfin…, si c'est son idée, à ce chameau. »
Autour d'elle, pour l'accompagner à la gare de Lyon chercher un train qui va la ramener là où elle est née, près d'Aix-en-Provence, la famille Bonheur est au grand complet.

La famille,

Napoléon, le grand-père, dit « l'empereur », ex-boxeur, ex-taxiteur, ex-champion de bowling ;
Samuel, le père, employé dans une banque, surnommé « couille molle » par Napoléon son père ;
Eléa, la mère, une artiste, dessinatrice qui vit dans son monde, pleine de vie et de joie ;
Le petit bonheur, Léonard, surnommé « Coco », 10 ans, est né un soir d'orage, ses premiers cris n'avaient pas dissipé les ténèbres ;
Et le dernier arrivé « Point à la ligne », le chien adopté par Napoléon, le seul chien à faire le mort lorsqu'il entend une voiture à proximité…

Une petite pensée pour Irène qui va croiser Napoléon. Pourtant c'est une professionnelle « …J'isole, j'enveloppe et j'étouffe… »

Mais qu'est-ce que c'est que ce grand-père remonté comme un ressort qui veut faire « le grand coup » ?


Plusieurs intrigues se mêlent,

· Napoléon va-t-il retrouver sa Joséphine ?
· Qui est Alexandre Rawcziik, avec deux « i », l'ami de Léonard ?
· Quel secret lie Rocky, maintenant disparu et Napoléon, tous deux boxeurs dans leur jeunesse, tous deux rivaux et pourtant si proches ?

Des petits clins d'oeil,

le langage qui régit les échanges entre Napoléon et Léonard, l'espéranto, encore plus de connivence entre eux…

Dans sa fièvre de faire peau neuve, Napoléon impose une partie bricolage dans la maison : « Les travaux nous attendaient, les pinceaux nous tendaient leurs poils et les rouleaux ne demandaient qu'à rouler. » dit Léonard.

Samuel, regardant ses parents dormir : « C'est marrant… endormis ils paraissent drôlement inoffensifs. Mais alors, dés qu'ils ouvrent un oeil, quelle corrida ! »



En conclusion,

Un « chouette » roman, un coup de coeur du p'tit Duc, un fait d'actualité traité avec un immense respect, une humanité touchante et un grand courage car « Tout ce qui est fragile est beau ».

Euh, juste une question, qui a récupéré « Born to win » ?
Vous le saurez ou pas en lisant cette merveille de Pascal RUTER.

@ Bientôt chers (es) lecteurs (trices),
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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L'histoire commence le premier jour de l'automne. Un grand-père de quatre-vingt-cinq ans veut divorcer de sa femme. Ce grand-père se fait appeler « Napoléon ». Il se rend donc devant le juge chargé de l'affaire et lui dit qu'il veut refaire sa vie… Un énorme changement à l'âge de quatre-vingt-cinq ans ! Après le divorce, ce n'est pas fini, avec l'aide de son petit fils qu'il nomme « Coco » il veut refaire sa maison… et installer une salle de sport !

Barracuda for ever est un livre assez rapide lire, malgré que certains passages sont plus longs à lire que d'autres. Les personnages sont simples, l'histoire est réaliste puisqu'elle se déroule à notre époque et cette aventure peut arriver à tout le monde.

Ce livre est un roman sur la vie réelle. C'est un récit équilibré entre humour et émotion.

Je recommande ce livre pour
Les lecteurs qui prennent plaisir à lire car il y a parfois des passages un peu longs.
Celles et ceux qui aiment les aventures drôles et amusantes, mais également sentimentales.

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