Peut-être par fierté, Sylvia Sacré ne dit jamais que, depuis l’enfance, son existence fut accablée. Par la démence maternelle, par l’abandon paternel. Par le quotidien dans une cité de banlieue. Puis par la misère, la désillusion d’un mariage mixte, les jours précaires de mère devant assurer seul le devenir de sa fille tout en se frayant une voie professionnelle… Peut-être par pudeur aussi ne dit-elle pas tout, dans le détail… Parce que ce serait trop à nous faire s... >Voir plus