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Critique de MaggyM
Sacrée Tata Lucie ! Non contente de casser sa pipe la veille des vacances d'été, voilà qu'elle oblige, par notaire interposé, ses quatre neveux à habiter dans sa bicoque branlante, au fin fond du Béarn, et à s'atteler à une chasse au trésor délirante s'ils veulent toucher l'immense héritage qu'elle laisse, à la surprise de tous. Ce sera à la fois les meilleures et les pires vacances de leur vie !
Dès le début de l'Héritage de Tata Lucie, Joseph, 14 ans, nous entraîne dans le sillage de sa famille pour notre plus grand bonheur. Entre le maire qui aime bien s'envoyer un petit coup de rouge de temps en temps, Gégène, l'employé municipal au rire tonitruant et à l'esprit un peu simple, Maïté, la dame de compagnie aux allures de serial killeuse et Joyeux, le chat devenu agressif depuis qu'on l'a privé de sa virilité, le lecteur passe du rire à l'émotion tout au long du roman de Philippe Saimbert.
Comme tout le roman est rédigé à la première personne, le lecteur est entièrement immergé dans cette famille tout à fait normale, et donc, un peu toujours au bord de l'explosion.
L'Héritage de Tata Lucie, c'est drôle , léger et optimiste avec un petit brin de nostalgie tout au long des pages. Finalement, nos pires souvenirs sont parfois les meilleurs...
Dès le début de l'Héritage de Tata Lucie, Joseph, 14 ans, nous entraîne dans le sillage de sa famille pour notre plus grand bonheur. Entre le maire qui aime bien s'envoyer un petit coup de rouge de temps en temps, Gégène, l'employé municipal au rire tonitruant et à l'esprit un peu simple, Maïté, la dame de compagnie aux allures de serial killeuse et Joyeux, le chat devenu agressif depuis qu'on l'a privé de sa virilité, le lecteur passe du rire à l'émotion tout au long du roman de Philippe Saimbert.
Comme tout le roman est rédigé à la première personne, le lecteur est entièrement immergé dans cette famille tout à fait normale, et donc, un peu toujours au bord de l'explosion.
L'Héritage de Tata Lucie, c'est drôle , léger et optimiste avec un petit brin de nostalgie tout au long des pages. Finalement, nos pires souvenirs sont parfois les meilleurs...
