Une belle histoire
Une belle histoire d'une ado qui est éduquée sur la sexualité un peu débridé et sado masochiste par sa tante et son oncle.
Le langage est un peu cru mais pas choquant.
En le lisant vous passerez par toutes les émotions du rire aux larmes
Bonne lecture
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Une très belle histoire que je recommande a tous en espèrent lire une suite
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Une très belle histoire d'une famille sans tabou comme il devrait y en avoir plus de nos jours Beaucoup d'humour Vous vous sentirez proche de certains personnages
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Tous simplement super avec un langage bien cru. Une très belle histoire qui tiens le route
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Une petite histoire en famille très sympa qui ne laissera personne indifférent une bonne histoire pour se changer les idées
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Attention peu choquer les plus sensibles
Demain j’irai payer mon loyer. Le propriétaire du petit trois pièces où je vis habite à 5mn de chez moi, dans un pavillon sans jardin. Me connaissant, vous pouvez facilement vous imaginer que je ne lui verse pas un centime. Je lui donne du plaisir, d’abord en lui faisant une longue fellation puis en le laissant me pénétrer. Il me prend chaque orifice, avant de me ligoter sur une chaise percée, les bras dans le dos. C’est une chaise ancienne, en chêne massif. Il n’y pas de seau en dessous, j’ai donc le cul et la chatte à l’air, et le peu de chair qui s’appuie sur le cercle est mortifié par les clous à pointe aplatie planté dans le bois.
Comme me disait l’une de mes amies, particulièrement volage : Pourquoi manger au menu quand on peut se payer la carte ? ! Pourquoi, en effet ? Pourquoi se contenter d’une seule amante, d’un seul amant, alors que la vie passe si vite, qu’on a tendance à se perdre en route, de perdre nos désirs, nos rêves, nos ambitions, happés que nous sommes par la monotonie du quotidien et les exigences d’une société dénaturée ?
Je commençais à avoir des crampes aux mollets. Mon visage était inondé de larmes, un sourire lubrique éclairait pourtant mon visage. Si j’étais crispée et avais l’impression de manquer d’air, je n’en étais pas moins étourdie de plaisir. Marie - Christine décida que j’en avais assez fait. Elle me relâcha et me dit d’aller m’assoir. - C’est à mon tour de te faire jouir avec mon pied ! m’annonça - t - elle aussitôt après, en plaçant le bout de son escarpin sur ma vulve.