Avec ces textes,
Mumia Abu-Jamal brise le silence que lui impose l'administration pénitentiaire. En effet, tout se passe comme si les règlements (qui n'existent parfois même pas !) prévalaient sur la Constitution, notamment le 1er amendement garantissant la liberté d'expression, pour l'empêcher de s'exprimer dans les médias depuis sa cellule, les autorités de Pennsylvanie exerçant « une censure politique » pour le baîllonner. «
En direct du couloir de la mort,
Mumia Abu-Jamal vous parle. »
(...)
Cette dénonciation et cette analyse par
Mumia Abu-Jamal de la justice de classe américaine, justice raciste, sont implacables.
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