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André Guyaux (Éditeur scientifique)
EAN : 9782070377558
501 pages
Gallimard (23/09/1986)
3.68/5   22 notes
Résumé :
Après avoir entendu une lecture de Volupté à Nohant, au milieu de ses enfants qui jouent, de ses amis " écoutant religieusement, étendus sur l'herbe ", elle-même " fumant pour avoir les idées plus nettes " (?), George Sand écrit à Sainte-Beuve : " Je ne crois pas qu'aucune lecture m'ait émue autant que celle-là. Si je me laissais aller à mes émotions et à mes sympathies, je vous dirais que Volupté est une oeuvre parfaite. A en juger sévèrement et froidement, je croi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique

volupté / Charles Augustin Sainte-Beuve (1804-1869)
Alors que son navire fait route une nouvelle fois vers l'Amérique pour un retour définitif, un homme qui a embrassé la prêtrise se confie vingt ans après les faits à un ami pour lui conter ses passions coupables et ses hésitations, le combat entre le besoin de Dieu et ceux fébriles de la chair qu'il a connus.
Le narrateur, orphelin de père et de mère dès le bas âge, Amaury apprend-on par la suite, avait dix-huit ans lorsque, après les désastres de la Révolution, il quitta le statut d'étudiant rêveur pieux et pur, animé d'une grande ferveur religieuse. Silence, régularité, travail et prière marquaient les heures de cette chaste existence avec Montesquieu en toile de fond de la petite chambre sise toute en haut de la maison familiale. Ses héros étaient Cyrus et Alexandre, puis Constantin et Théodose, et plus tard les missionnaires chrétiens partis pour les Indes. L'étude du grec après celle du latin lui ouvrit alors de nouveaux horizons de lecture et notamment celle d'Ésope.
Mais alors comment dans une vie aussi frugale et bien réglée l'idée de volupté vint à effleurer l'adolescent, pour le gagner peu à peu par mille détours et sous de perfides dissimulations ? Il se rappelle alors son professeur de latin et les passages de l'Énéide qu'il lisait à l'insu du maître avant de se les faire expliquer en même temps que les odes voluptueuses d'Horace et les vers licencieux d'Ovide. Ces passages suscitaient déjà une certaine volupté qui lui chauffait le corps avant qu'il ne découvre Properce.
Paradoxalement son naissant désir lui fait fuir les jeunes filles, son trouble rendant rédhibitoire toute approche, cette excessive pudeur prenant alors des allures de maladie.
Puis peu à peu au fil du temps cette espèce d'hystérie morale va se dissiper…
Ses promenades à cheval le mènent souvent du côté de la Gastine, ferme dont est propriétaire la famille de Greneuc. le vénérable et très fortuné couple de Greneuc héberge leur petite fille âgée de dix-sept ans, Amélie de Liniers, ainsi que sa cousine germaine Madeleine de Guémio âgée de sept ans. Toutes deux sont orphelines, leurs parents ont été emportés par la tourmente révolutionnaire. Les visites répétées d'Amaury à la ferme sont toujours des moments de douce familiarité animés de conversations diverses par Amélie dont le charme et l'esprit vif et cultivé s'allient à une beauté qui ajoute séduction et tendresse à ces moments délicieux. Un lien délicat s'instaure et flotte entre Amélie et Amaury qui régulièrement rejoint M.de Greneuc à la ferme pour une partie de chasse.
Ainsi égrène le narrateur les souvenirs de douces années où l'amour lui tendait les bras mais où sa nature le poussait à la recherche de l'action et de la gloire, assoiffé qu'il était des saintes lettres, en songeant au studieux asile qu'est le cloître. « Un pressentiment douloureux jusqu'à la défaillance s'élevait du fond de mon être, et, dans sa langueur bien intelligible, m'avertissait d'attendre, et que pour moi l'heure des résolutions décisives n'avait pas sonné. » Et plus loin : « Tendre François de Sales j'étais né pour marcher vers le salut sur vos traces embaumées. » Mais à la vérité, il s'égare en convoitant les gynécées.
À quelque temps de là, au cours d'une partie de chasse, Amaury fait la connaissance du marquis de Couaën et fréquente son domaine régulièrement. Revenu d'Irlande vers la Bretagne après la Révolution avec une jeune femme charmante, déjà mère, le marquis mène une vie assez secrète. Amaury fait des séjours de plus en plus longs au manoir du marquis et notamment au sein de la bibliothèque richement pourvue. Et peu à peu « Madame de Couaën éloigne mademoiselle de Liniers sans régner elle-même » précise notre visiteur qui est pris chaque fois d'un trouble à sa vue. D'une sensibilité extrême, il est encore à un âge où il désire tout ce qui flatte les sens et où il croit pouvoir aimer tout ce qu'il désire. C'est alors que le bonheur d'une promenade avec elle lui est offert par Madame de Couaën alors que son mari est retenu pour affaires. Lucy se confie et tandis qu'elle souhaite faire une halte pour prier dans une petite chapelle but de la promenade, Amaury rêve au soleil couchant et la douceur de ces instants devient le cuisant aiguillon des nuits qui suivent.
Et dans le même temps, il veut fuir le domaine pour ne pas succomber à la séduction de Lucy qui quant à elle, va tenter de lui faire rencontrer d'autres jeunes filles. Jusqu'au jour où le couple de Couaën se rend à Paris en compagnie d'Amaury et des deux enfants chez une tante, Madame de Cursy, ancienne supérieure d'un couvent de Rennes et vivant là en communauté avec quelques religieuses. C'est un enchantement pour Amaury : « le dépaysement surtout et la variété des lieux, quand on commence d'aimer, tournent au profit de l'amour. » Et puis il découvre visuellement les mondes de corruption de la capitale au cours de ses promenades en solitaire.
Lorsque le marquis est arrêté accusé de complot contre le Consulat, Madame de Couaën demande à Amaury, son ami le plus intime comme il se le dit, de l'accompagner à Paris avec les enfants. Au cours de ce séjour assez long, les pensées attendries d'Amaury demeurent pures encore, mais il termine ses soirées dans les quartiers du milieu, alternant ainsi de la convulsion grossière à l'aspiration platonique. Il acquiert ainsi peu à peu une connaissance raffinée du bien et du mal, en cette double voie qu'il pratique, tantôt en des courses lascives dans les fanges de quartiers et tantôt sur les nuées éthérées.
Et puis entre en scène Mme R. une amie de Lucy, belle femme dans sa parure ce soir-là au cours d'une soirée dansante, suscitant une ivresse chez Amaury fasciné par tant de grâce. S'exaltant dans une attente stérile d'un geste de Lucy, il rentre chez lui souvent de guerre lasse à la nuit close pour ressortir et aller chez Mme R. Deux femmes alors le troublent tour à tour, avec la crainte furieuse de les voir lui échapper toutes les deux. le temps passe...
Les retrouvailles à Blois où s'est installée la famille Couaën promettaient d'être un grand moment pour Amaury mais il s'étonne que Lucy ne fasse pas allusion à ses lettres où il s'épanchait hardiment. Elle est soucieuse de la santé de ses enfants et lui ne le comprend pas.
La relation avec Mme de R. suit son cours avec des hauts et des bas. La jalousie entre les deux femmes s'immisce dans les comportements et rend le statut d'Amaury un peu délicat dont la vie est tiraillée par l'une et par l'autre, lui pris au piège des amours illégitimes qui suscitent une angoisse telle une fièvre lente dont il compte les battements. « Voilà où mène le séjour dans ces situations fausses auxquelles on condamne sa jeunesse ; elles portent avec elles et en elles une expiation terrible. »
Bientôt ce sont trois femmes qui se rencontrent, Mme de R., Mme de Couaën et Amélie de Liniers et resserrent leur cercle autour d'Amaury. Trois femmes rivales tenant peut-être entre leurs mains la destinée d'un homme dont la vie est devenue un orage, un tourment, un conflit, un renversement presque perpétuel.
La relation avec Mme R. ne va pas toujours dans le sens de la facilité : « La défense opiniâtre et graduelle qu'elle opposait aux assauts , en ôtant toute ivresse à l'égarement , ne faisait que m'enhardir aux violences calculées . Si frêle et si brisée qu'on l'eût pu croire , elle avait une grande force de résistance comme de réticence . Ce n'était pas une de ces femmes que surmonte à un certain moment un trouble irrésistible , et sur qui s'abaisse volontiers le nuage des dieux impurs au mont Ida . »
Jusqu'au jour où la rupture semble inévitable…C'est le début d'une évolution pour échapper aux « navigations obscures » et Amaury se consacre à des lectures chrétiennes sentant que « la persuasion au christianisme est innée en lui après avoir été infidèle avec révolte dans son juvénile accès philosophique. »
L'entrée au séminaire, lui procure une grande paix une manière d'enivrement de frugalité et d'innocence. Plus tard ordonné prêtre, il apprend qu'Amélie a épousé un parti avantageux sur les conseils de sa grand-mère et que Mme de Couaën est souffrante, déclinant de jour en jour. Sept années ont passé depuis sa dernière visite et il choisit un bref retour au pays « afin de s'incliner vers son berceau et se rafraîchir un peu aux vierges ombrages de l'enfance, et enfin se repentir le long du sentier de convoitise de l'adolescent qu'il fut. »
Un détour pour respirer encore une fois l'odeur des bruyères et « s'imprégner de cette fleur éparse des vives années et du souvenir sans fin de quelques âmes. »
Après une visite à Mme de Couaën et à tous ces lieux impossibles à oublier, Amaury s'entretient un moment dans le jardin avec M.de Couaën au sujet de la santé de Mme et alors que Amaury s'apprête à partir, il apprend qu'elle a eu un malaise. À peine remise elle demande à Amaury de la confesser et la communier, sentant sa mort prochaine. C'est de cette femme tant aimée qu'Amaury, prêtre depuis six semaines, va pour la première fois entendre une confession, puis à elle aussi qu'il va pour la première fois administrer l'extrême onction… « Avec le premier frisson du matin, dans le premier éclair de l'aube blanchissante, au premier ébranlement de la cloche, au premier gazouillement de l'oiseau, cette âme vigilante venait de passer ! »
Quelques jours plus tard, Amaury quittait la France pour l'Amérique…Un premier voyage…
L'objet de ce roman publié en 1834 est la description d'un penchant par lequel une âme détournée de Dieu, ne sachant plus vouloir, s'étiole en rêveries et langueurs. Un roman philosophique et d'analyse au cours duquel le narrateur Amaury y raconte son ancien état de voluptueux, proche de la mélancolie, et sa rédemption par une conversion au christianisme..
Sainte-Beuve nous offre dans cet ouvrage une prose riche et lumineuse, parfois déconcertante et même difficile à suivre en raison des nombreuses digressions. Un livre à lire lentement en restant concentré.
Extrait 1:
« Aimer, être aimé , unir le plaisir à l'amour, me sentir libre en restant fidèle , garder ma secrète chaîne jusqu'en de passagères infidélités ; ne polir mon esprit , ne l'orner de lumières ou de grâces que pour me rendre amant plus cher , pour donner davantage à l'objet possédé et lui expliquer le monde : tel était le plan de vie molle auquel en définitive je rattachais tout bonheur. »
Extrait 2 :
« O vents qui avez passé par Bethléem qui vous êtes reposés au Pont sur la riante solitude de Basile ? , qui vous êtes embrasés en Syrie , dans la Thébaïde , à Oxyrinthe , à l'île de Tabenne , qui avez un peu attiédi ensuite votre souffle africain à Lérins , et aux îles de la Méditerranée , vous aviez réuni encore une fois vos antiques parfums en cette vallée , proche Chevreuse et Vaumurier ; vous vous y étiez arrêtés un moment en foyer d'arômes et en oasis rafraîchi , avant de vous disperser aux dernières tempêtes ! »
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Voila un ouvrage que je désirais lire depuis longtemps,c'est chose faite.Je ne regrette rien.
J'ai été très émue,ce livre est tout en délicatesse,en non-dit et laisse une large place à l'imagination.La tournure des phrases est réfléchie mais laisse notre esprit vagabonder. C'est un roman comme on en fera plus jamais car le monde a changé et les mentalités de même.

A lire
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Alors que son navire fait route vers le nouveau monde, un homme ayant embrassé la prêtrise écrit à un juvénile ami, un témoignage en manière de confessions. Il lui parle d'un jeune homme ardent, plein de fougue et d'ambition alors que le pays vivait sous le consulat. Il lui compte sans détour la passion coupable qu'il entretenait, ses velléités, son inconstance et ses inconséquences.

Sainte-Beuve a été un critique littéraire sévère. C'est oublier qu'il a aussi écrit ce roman célébré par ses pairs. Difficile de lui trouver une classification : roman de formation, roman philosophique, roman d'analyse, roman à clé, roman autobiographique, c'est un peu tout cela à la foi pour cette oeuvre qui se veut édifiante. La prose de l'auteur est vraiment particulière, contournée, déroutante. le dénouement du roman est très réussi, il en est émouvant. de la belle ouvrage.
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Nous sommes là au sommet de la littérature: un langue parfaite, riche, colorée d'adjectifs innombrables et parfois inattendus. Un vrai bonheur de lecture! Sainte Beuve en fait même parfois un peu trop, poussant son style et les associations de mots jusqu'à la limite de la contradiction, et même parfois du non-sens.... Mais comme c'est beau ! Le récit, en lui-même, c'est-à-dire l'histoire d'un homme amoureux, mais timoré, qui ne saura concrétiser son bonheur en raison d'une retenue excessive, a son intérêt. Mais ce qui compte, dans un livre, est la façon dont il est écrit, plus que ce qu'il raconte. Et ici, la façon de raconter, est génialement parfaite.
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Sainte-Beuve était tellement assoiffé de tout, que Volupté s'en ressent, il s'analyse et s'égare dans de nombreux sujets, certains qu'il maîtrise à peine..........
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Mon ami, vous désespérez de vous ; avec l’idée du bien et le désir d’y atteindre, vous vous croyez sans retour emporté dans un cercle d’entraînements inférieurs et d’habitudes mauvaises. Vous vous dites que le pli en est pris, que votre passé pèse sur vous et vous fait choir, et, invoquant une expérience malheureuse, il vous semble que vos résolutions les plus fermes doivent céder toujours au moindre choc comme ces portes banales dont les gonds polis et trop usés ne savent que tourner indifféremment et n’ont pas même assez de résistance pour gémir. Pourtant, vous me l’avez assez de fois confié, votre mal est simple, votre plaie unique. Ce n’est ni de la fausse science, ni de l’orgueilleux amour de la domination, ni du besoin factice d’éblouir et de paraître, que vous êtes travaillé. Vos goûts sont humbles ; votre cœur modeste, après le premier enivrement des doctrines diverses, vous a averti que la vérité n’était pas là, bien qu’il y en eût partout des fragments épars. Vous savez que les disputes fourvoient, que l’étude la plus saine, pour fructifier, doit s’échauffer à quelque chose de plus intime et de plus vif ; que la science n’est qu’un amas mobile qui a besoin de support et de dôme ; océan plein de périls et d’abîmes, dès qu’il ne réfléchit pas les cieux. Vous savez cela, mon ami, et vous me l’avez exprimé souvent dans vos lettres ou dans nos dernières causeries, mieux que je ne le pourrais reproduire. Vous n’avez non plus aucune de ces sottes passions artificielles qui s’incrustent comme des superfétations monstrueuses ou grotesques à l’écorce des sociétés vieillies ; vous êtes une nature vraie, et vous avez su demeurer sincère. Arrivé jeune à un degré honorable dans l’estime publique par votre esprit et vos talents, vous appréciez ces succès à leur valeur ; vous ne prenez pas là votre point d’appui pour vous élever plus haut, et ce n’est nullement par cette anse fragile que vous cherchez à mettre la main sur votre avenir. Exempt de tant de fausses vues, libre de tant de lourdes chaînes, avec des ressources si nombreuses, ce semble, pour accomplir votre destination et vous sauver du naufrage, vous vous plaignez toutefois ; vous ne croyez plus à votre pouvoir, à votre direction, à vous-même, et sans qu’il y ait pour vous encore de quoi désespérer ainsi, vous avez, je l’avoue, quelque raison de craindre.
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C'est que la jeunesse est ingrate naturellement, d'humeur fugace et passagère. Elle tourne vite le dos à ses jeux d'enfance, à la verte haie de clôture, à ce champ nourricier dont elle a butiné le miel et mangé les fruits. Elle va, elle part un matin, comme l'essaim qui ne doit plus revenir, comme le corbeau de l'Arche qui ne rapporta pas le rameau ; elle garde du passé la fleur et la dissémine au-devant. Rejetant bien loin, et d'un air d'injure, tout ce qu'elle ne s'est pas donné, elle veut des liens à elle, des amis et des êtres rien qu'à elle et qu'elle ne soit choisis ; car elle croit sentir en son sein des trésors à acheter des coeurs et des torrents à féconder. On la voit donc s'éprendre pour la vie, d'amis d'hier inconnus jusque-là, et prodiguer l'éternité des serments aux vierges à peine entrevues. Toujours excessive et hâtée, elle est peu clémente envers ce qu'elle quitte ; elle déchire ce qu'elle détache ; elle rompt les anciennes racines plutôt que de les laisser tomber. Dans son essor vers les préférences agréables, dans ses chaînes imprudentes au foyer de l'étrangère, elle méprise la bonne nature qui aime sans savoir pourquoi, et parce qu'on est plus ou moins proche par le sang.
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La miséricorde et l'amour sont le redressement des deux excès contraires,la guérison souveraine de tout orgueilcomme de toute volupté.La miséricorde ou le pardon de l'injure est l'orgueil dompté,l'amour est la volupté rectifiée;le mot divin de charité les comprend l'un et l'autre.
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Comme les amitiés humaines sont petites, si Dieu ne s'y mêle ! Comme elle s'excluent l'une et l'autre ! comme elles se succèdent et se chassent, pareilles à des flots !
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Répétons-nous souvent: Oh! que nos âges d'autrefois, ces jeunes amis morts, s'ils revenaient au monde, rougiraient de nous voir ainsi déchus!
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Videos de Charles-Augustin Sainte-Beuve (13) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Charles-Augustin Sainte-Beuve
CHAPITRES : 0:00 - Titre
R : 0:06 - RÉFLEXION - Jean Cocteau 0:14 - REMARIAGE - Armand Salacrou 0:28 - REMORDS - Pierre Reverdy 0:39 - REPOS - André Prévost 0:50 - RÉVOLUTION - Maurice Chapelan 1:06 - RICHESSE - Félicité de Lamennais 1:18 - RIDICULE - Jules Noriac 1:32 - RIRE - Jean de la Bruyère
S : 1:42 - S'AIMER - Henri Duvernois 1:52 - SAGESSE - Frédéric II 2:04 - SAVOIR-VIVRE - Saint-Évremond 2:15 - SCEPTICISME - Louis-Désiré Véron 2:24 - SE COMPRENDRE - Romain Coolus 2:34 - SE TAIRE - Comte de Voisenon 2:45 - SE TUER - Théophile Gautier 2:56 - SINGE - Jean-Baptiste Say 3:08 - SOLITUDE - Maurice Toesca 3:18 - SUICIDE - Alexandre Dumas fils
T : 3:29 - TEMPS - Jean Martet 3:41 - TÊTE - Yves Constantin 3:54 - TOMBE - Xavier Forneret 4:04 - TRAVAIL - Jules Renard 4:19 - TROMPERIE - Sainte-Beuve
V : 4:30 - VALEUR - Marivaux 4:40 - VÉRITÉ - Louise d'Épinay 4:51 - VERTU DES FEMMES - Ninon de Lenclos 4:59 - VIE - Louis Aragon 5:10 - VIE ET MORT - Rastignac 5:22 - VIEILLE FEMME - Charles de Talleyrand-Périgord
5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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