Nagatacho strawberry, Tome 1

☼ Mon Avis ☼

Nagatacho Strawberry est un shôjo basique qui ne m'a pas conquise.
La couverture est assez simple et présente les personnages de la série ainsi qu'une information très importante, car celle qui a réalisé ce manga est l'auteure de la saga " Rockin' Heaven " qui est également un shôjo aux éditions Panini Manga.
En ouvrant le livre, on peut apercevoir un petit mot de l'auteur qui d'habitude sert à se présenter, au final, l'auteur à préférer expliquer le bonheur de se reposer, une fois le manuscrit envoyé.
J'aurais aimé voir à la place une présentation toute simple de Mayu Sakai malheureusement, ce n'est pas le cas.
Il manque également des pages en couleurs, je trouve que la maison d'édition Panini manga pourrait faire un minimum d'effort pour ces oeuvres parce que payer environ 7 €, c'est un peu cher pour la qualité fournie.
Il manque de plus un sommaire qui est remplacé par une introduction, en gros un résumé rapide de l'intrigue qu'il ne faut surtout pas lire avant de commencer l'histoire.
L'auteur à quand même pensé à afficher le staff et ça, c'est plaisant.
On voit aussi une page bonus " Blabla " qui personnellement n'explique pas grand-chose d'intéressant.
Je n'aime pas vraiment ça façon de présenter son manga tout au long, on voit des textes à tout bout de champ et c'est lassant.
Elle démarre son récit pour le couper et continue à Parler.
Parlons enfin du scénario qui est rempli de clichés et de stéréotypes sans oublier le triangle amoureux situé au milieu du récit.
Les différentes situations ne sont pas très crédibles et sont assez prévisibles pour certains.
Je trouve que l'ensemble du manga n'est pas assez naturel, tout est surjoué.
Ce premier tome manque de dynamisme, les dessins sont trop enfantins, fouillis et pas assez détaillés.
Les décors ne sont pas vraiment présents.
Le physique des personnages se ressemble tous que ce soient les filles ou les garçons.
Ils n'ont pas l'apparence de lycéen, mais plutôt de collégien.
Les insultes de l'héroïne sont typiques d'une élève de ce2.
L'histoire aurait été plus sympathique à lire si le récit était plus mature.
Je n'adhère pas à la rédaction ou la protagoniste est amoureuse au bout de quelques pages.
J'ai l'impression de voir ce genre de livre qu'aux éditions Panini et ça en devient agaçant.
Pour moi, Nagatacho Strawberry est un fiasco qui contient cinq tomes au total.
À la fin de l'histoire, on peut découvrir un court récit du nom de " le violon d'Oria "

En conclusion : Nagatacho Strawberry est un manga à l'eau de rose qui contient des dessins simplistes.
L'ensemble du titre est assez fade et malheureusement, je la déconseille...

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Himé Ichinosé n'est pas une adolescente de quinze ans comme les autres : en effet, son père est le huitième premier ministre du Japon. Quand la nouvelle a circulé alors qu'elle était encore au collège, son quotidien est devenu extrêmement difficile à gérer et à supporter. Ses camarades de classe la prenaient à partie, certains lui reprochaient son statut, on ne la regardait plus de la même façon et le garçon dont elle était amoureuse lui a brisé le coeur parce que, pour lui, il n'y a rien de pire que les filles de riches. Pour ne plus revivre ça et pour profiter pleinement de ses années lycée, elle a pris une décision : celle de choisir un établissement scolaire tellement éloigné de son domicile que personne ne la connaîtra. Elle doit donc faire quatre heures de trajet par jour — ce qui est une source de fatigue non négligeable — mais peu lui importe. Elle est prête à faire ce sacrifice si ça peut lui apporter une vie normale et des ami(e)s. Malheureusement, après avoir fait des pieds et des mains pour que les enseignants gardent son identité secrète, un garçon prénommé Natsuno Kirihara va découvrir la supercherie. Pire encore, il va aller jusqu'à lui faire du chantage et lui demander de l'argent si elle veut qu'il garde le silence. Va-t-elle céder ? Ou, au contraire, l'histoire va-t-elle se répéter ?

L'héroïne est un personnage attendrissant. Elle a beaucoup souffert par le passé et maintenant, elle est prête à tout pour qu'on l'accepte.. quitte à cacher qui elle est vraiment. Elle ne veut plus que les gens la voient comme « la fille de » mais juste comme « Himé ». Pourtant, pas sûr qu'elle y parvienne. Natsuno, en ce qui le concerne, est assez mystérieux. Un coup on a l'impression qu'il veut l'aider, un coup on dirait qu'il veut lui mettre des bâtons dans les roues. Quant à Yoshiki Takigawa, on devine facilement qu'il cache quelque chose. Ses intentions ne sont pas totalement claires et le lecteur en vient à se méfier. Que veut-il exactement ? Est-il aussi sincère et honnête qu'il veut nous le faire croire ?

En soi, l'histoire n'a rien de spécial et nous sommes face à un shōjo plutôt classique (voire stéréotypé) qui parle d'une mignonne petite adolescente qui veut absolument que ses années au lycée soient extraordinaires et qui finit prise en sandwich dans un triangle amoureux (avec bien sûr les deux plus beaux et populaires garçons). Mais le rendu est sympathique et on se prend vite au jeu. La preuve, j'ai la saga complète en ma possession.
Lien : http://madameratou.com/nagat..

Ce manga est fait pour les enfants ou les jeunes adolescents. Il prône de nombreuses valeurs, comme la tolérance ou le respect. Évidemment, tout l'ouvrage parle d'amour. Dès les premières pages, le lecteur remarque la relation ambiguë entre Himé et Kirihara. Il n'est pas bien difficile d'imaginer comment tout cela évoluera. Les dessins des différents personnages sont bien trop semblables à mon goût. Il est aisé de confondre deux protagonistes. Je trouve ce manga assez mignon et aimerais bien pouvoir lire la suite, mais je ne sais pas quand cela sera possible.