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Usagi Yojimbo tome 9 sur 33
EAN : 9782888900689
142 pages
Paquet (02/03/2006)
4.23/5   13 notes
Résumé :
L'épée du Samouraï est plus que son arme : c'est son âme. Et chaque samouraï doit se montrer digne de son daisho, la paire de sabres assortis. Depuis ses débuts, Miyamoto Usagi a prouvé qu'il méritait amplement ses lames, en combattant l'injustice et en cultivant ses talents spirituels et martiaux. Les aventures de ce volume l'amènent à étudier auprès d'un moine zen la pratique du shakuhachi, une ancienne flûte, et partager avec lui son souhait ultime, entendre la m... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Dans "La Musique du Paradis" (avril 1994) Usagi rencontre le moine musicien Omori Kazan qui après la musique des hommes et la musique de la nature recherche la musique du paradis, et le lancier de Shi en quête de vengeance. Un seul survivant pour une fin encore une fois belle mais triste...

"Le Joueur, la Veuve et le Rônin" (juin 1994) est la suite du récit "Le Duel" (voir tome 6). le parieur de vies humaines recommence sa combine avec un nouveau comparse, mais il est passé d'un véritable samouraï à une vraie brute et cherche un moyen de s'en débarrasser... La veuve de Shubo l'a reconnu et attend l'occasion propice pour l'empoisonner et venger la mort de son époux qui voulait tout abandonner pour se consacrer à sa famille... Et Usagi arrive dans le même village qu'eux et reconnaît l'un et l'autre ! D'une manière ou d'une autre justice sera faite !!!

"Les Esclavagistes" (août à octobre 1994) ressemblent un épisode de "L'Agence tout risque" : un troupe de bandits sans foi ni loi mené par un patron voyou sans scrupule mettent en coupe réglé un petit village et font bosser ses habitants comme de damnés pour récupérer le gros lot avant de les éliminer. le justicier solitaire Usagi est leur seul espoir non de victoire mais de survie, et le lapin rônin car devoir les organiser et les diriger pour triompher ! Il est édifiant, et ce n'est sans doute pas un hasard, que les discours du monstrueux Général Fuji ne soient pas très éloignés des discours sur le management du sinistre PDG de General Electric Jack Welch, dit « Jack Neutron » pour sa capacité à éliminer les employés mais à laisser les bâtiments intacts comme une bombe à neutron (son credo ? virer chaque années 10% des employés, car c'est aussi efficace que les coups de fouet). Il a été désigné "manager du siècle" selon le magazine Fortune en 1999, tout en ne cessant de clamer que « le réchauffement climatique est une névrose de masse, et constitue une revanche du socialisme contre le capitalisme » (sic). Tant que ces requins en costard cravates qui n'ont rien d'humain ni de près ni de loin seront acclamés et adulés par la ploutocratie mondialisée, l'humanité sera mal barrée !!!

Le récit intitulé "Bâtards" encadre les deux parties du récit intitulé "Daisho" pour former une véritable mini-série parue entre décembre 1994 et février 1995 . En introduction nous voyons un maître artisan forger les lames du daisho qui reviendra au Seigneur Mifune avant d'être offert à Usagi Miyamoto qui poursuit avec rage le Général Fuji qui continue en bon patron voyou ses déprédations... Il est guidé par la belle paysanne Hanako avant de tomber sur Gennosuke et Inukai qui se chamaillent déjà au sujet de la prime mise sur la tête du Général Fuji. Outre la confrontation entre Usagi et Fuji, tout le récit nous montre un Inukai orgueilleux et arrogant , qui ne croit en rien, qui ne fait confiance en personne, et qui est prêt à tout et au reste pour l'argent.

"Les Fugitifs" (avril à juin 1995) est un récit d'un classicisme ô combien plaisant : celui de la princesse rebelle et du chevalier servant... Au passage de Dame Hirano, Usagi se souvient du temps où elle était la princesse Kinuko et où en plein chagrin d'amour après le mariage de Kenichi et Mariko il devait escorter son convoi jusqu'à son futur époux quand ce dernier tomba dans une embuscade menée par les ninjas neko du chunin Shingen (une petite incohérence dans le saga, mais c'est la conséquence naturelle des guest stars qui deviennent des personnages récurrents ^^). Durant la cavale la peste tombe le masque et s'ouvre au samouraï auquel elle doit la vie sauve, et elle découvre la vie simple des gens du communs maîtres de leur destin, et s'en enivre au point de tomber amoureuse d'Usagi et de lui proposer de tout abandonner et de s'enfuir avec elle... Entre le devoir et l'amour le lapin samouraï doit faire un choix ! (quel tombeur cet Usagi ^^)

"La Nature de la vipère" (octobre 1994) est un petit conte noir qui annonce le retour imminent de Jei !!!

Un recueil sans sommaire est une faute professionnelle de la part d'une éditeur, et malheureusement c'est le cas ici...
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Ce tome comprend les épisodes 7 à 14 de la série publiée par Mirage, initialement parus en 1994/1995, tous écrits, dessinés et encrés par Stan Sakai. Ces histoires sont en noir & blanc.

The music of Heaven – Usagi Yojimbo rencontre Omori Kazan, un prêtre d'une secte zen, en train de jouer de la flute (Shakuhachi) en pleine forêt, son visage recouvert d'un casque en osier (tengai). Mais celle-ci dissimule également un assassin appartenant au groupe Shi. The gambler, the widow and the ronin – Dans un village, Usagi Yojimbo se retrouve malgré lui impliqué dans la mésentente entre un organisateur de pari et son combattant au sabre. Slavers – Usagi Yojimbo sauve un enfant d'un groupe d'esclavagistes. Il lui promet d'aller aider son père lui aussi fait esclave par ce même groupe.

Daisho – Usagi Yojimbo s'est lancé aux trousses du général Fujii qui lui a dérobé sa paire de sabres (appelée Daisho, c'est-à-dire la paire d'épées traditionnelles portée par les samouraïs). Les circonstances l'amènent à accepter l'aide d'Hanako, une femme du village qui connaît les environs, et de 2 chasseurs de prime Gennosuke et Stray Dog. Runaways – Dans un autre village, Usagi Yojimbo doit s'écarter pour laisser passer le palanquin de Lady Hirano. Il se souvient de la première fois où il avait croisé son chemin, alors qu'il lui servait d'escorte.

Il est possible qu'il faille un petit temps d'adaptation au lecteur pour se plonger dans un recueil d'Usagi Yojimbo. Stan Sakai écrit des histoires tout public. Il a donc choisi sciemment d'édulcorer la violence. Lorsque 2 personnages se battent à l'épée, les blessures ne sont pas représentées, le lecteur ne voit jamais la lame taillader la chair. Il ne voit pas non plus le sang couler des blessures (une seule exception lorsqu'un ninja est blessé à la gorge). Quand les personnages meurent au combat, ils s'écroulent par terre en faisant des grimaces outrées, presque comiques.

L'autre particularité de la narration de Stan Sakai est d'avoir choisi de représenter les personnages sous la forme d'animaux anthropomorphes. Certes, le lecteur subodore que ce choix tient autant de l'envie de leur donner une apparence agréable à l'oeil, que des limites techniques du dessinateur, pas forcément à l'aise pour représenter la forme humaine avec exactitude. Oui, les personnages ont des têtes évoquant celle d'un lapin (Usagi), d'un rhinocéros (Gennosuke), ou d'un ourson (Omori Kazan), ou tout autre animal qui passe par la tête du dessinateur. Oui, parfois, ils ont une tête qui ressemble vaguement à celle d'un animal, sans qu'il soit possible de déterminer avec exactitude lequel, et ils ont tous 4 doigt au lieu de 5.

Si le lecteur est allergique à ce genre partis pris (violence édulcorée + personnages un peu mignons), il vaut mieux qu'il lise autre chose. Sinon, il peut se laisser guider par sa curiosité et se fier à l'introduction dithyrambique de James Robinson (scénariste réputé de comics, telle que la série "Starman"). Dans la première séquence, il se retrouve confronté à une autre bizarrerie de cette série : la présence de Tokage, des lézards de grande taille, un peu facétieux, une race d'animal inventée par l'auteur. Il contemple également un rônin avançant sur un sentier boueux, revêtu d'un vêtement pluie, et d'un chapeau à large bord. Ce dessin a une apparence simple, facilement lisible, avec une représentation basique de la texture des écorces.

Ce simple dessin comprend également beaucoup d'informations visuelles, malgré son apparente simplicité : tenue historiquement exacte, réalité des déplacements (surtout à pied sur des chemins de terre), importance du milieu naturel (faible densité de population). Effectivement, le lecteur a le plaisir de découvrir tout au long de ces histoires que s'il écrit pour un public jeune (y compris des enfants), il ne prend pas son public pour des idiots. Sans avoir l'air d'y toucher, dans cette première histoire, il évoque l'art musical, par le biais de ce moine jouant de la flûte, ce dernier expliquant ce qu'il essaye d'exprimer par sa musique. Quand on y pense, il s'agit d'un propos ambitieux pour un musicien d'expliquer ce que ses compositions instrumentales essayent de refléter (d'autant plus qu'ici le musicien le fait avec humilité).

Dans le même ordre d'idée, ce personnage explique pourquoi il voyage avec un tengai sur la tête, masquant son visage. On est loin d'un comics récupérant les conventions graphiques et les stéréotypes des mangas pour les utiliser sans les comprendre. Par la suite, le lecteur bénéficie encore d'une explication sur la fabrication (artisanale) des sabres, ainsi que d'une mise en scène de la force des classes dans ce Japon féodal (ce comics se déroule au début du dix-septième siècle). On est dans une reconstitution historique effectuée par un auteur qui maîtrise son sujet. Les histoires ne prennent jamais la forme d'un cours, mais le lecteur peut repérer les éléments qui attestent de la connaissance de Stan Sakai. Il s'agit souvent de détails, comme les techniques de construction des bâtiments (les toits lestés par des pierres), ou les occupations des villageois, souvent des travaux des champs, avec des outils réels.

La forme de la narration reste celle d'un récit d'aventure mettant en scène un héros, un rônin errant (un samouraï sans maître) parcourant le pays, et s'attaquant aux injustices, dans sa volonté de s'améliorer. Il se retrouve souvent mêlé à des intrigues entre fiefs, ou à des pratiques plus communes comme l'esclavagisme, ou des drames personnels (une personne souhaitant se débarrasser d'une autre de manière définitive). Dans ce tome, il n'y a pas d'intervention surnaturelle, de type fantômes ou yokais.

Malgré le dispositif très traditionnel du héros redressant les torts, Stan Sakai sait introduire des variations, élevant les histoires au-dessus de la simple dichotomie Bien / Mal. le joueur de shakuhachi introduit une composante spirituelle à la fois concrète et mystique. Celle avec les paris sur les combats montre Miyamoto (son vrai prénom) Usagi essayant par tous les moyens possibles d'éviter de se battre (la confrontation physique ne résolvant pas tout). Dans la suivante, le lecteur rencontre un chasseur de primes antipathique, mais aux motivations inattendues. Avec ce personnage, Stan Sakai rappelle que l'art du sabre a pour fonction de tuer des individus, et que ses pratiquants payent le prix de cet objectif (comme dans les meilleurs mangas de sabre). Dans la dernière, le scénariste oppose les élans du coeur aux aspirations des individus et à leur culture. Tout compte fait, il s'agit de thèmes ambitieux et adultes, sous couvert d'une narration tout public.

La lecture de ces différentes histoires fait bien ressortir le dispositif générique qui veut qu'Usagi effectue un pèlerinage du guerrier qui l'emmène de village en village, et donc d'aventure en aventure. Néanmoins Stan Sakai se renouvelle à chaque histoire avec des personnages secondaires, et des intrigues qui ne se ressemblent pas. Si son caractère reste un peu générique, le lecteur constate qu'il est sensible à l'aspect spirituel de l'existence, qu'il n'est pas bagarreur pour le plaisir de se battre, qu'il n'est pas au-dessus de chercher à se venger, qu'il peut tomber amoureux, et qu'il exècre l'injustice, ou encore la tyrannie de la loi du plus fort. du fait de sa compétence principale (le maniement du sabre, c'est-à-dire tuer), Usagi Yojimbo échappe à la caricature du personnage mignon et gentil.

Outre la qualité de la reconstitution historique, la lecture de ces épisodes procure le plaisir de se promener dans des lieux d'une autre époque. Il y a bien sûr ces cheminements en forêts, ces petits villages rustiques à faible population, les routes en terre, les grandes étendues herbeuses. Comme le montre la première image, Usagi Yojimbo progresse en devant supporter l'inconfort de la pluie (il n'est pas sec à la page suivante). Si l'artiste ne le montre pas allant aux toilettes, il le dessine en train de se restaurer, ou en train de se reposer. Lorsqu'Usagi séjourne dans une ville, le lecteur peut admirer les différents motifs des vêtements, à l'opposé d'un dessinateur qui représenterait tout de manière standardisée.

Au détour d'une situation, le lecteur peut prendre conscience que l'auteur n'utilise pas cette époque comme un simple artifice décoratif, ou un raccourci narratif. Par exemple lorsqu'un parent indique à un enfant qu'il faudra aller quérir un médecin, Stan Sakai rappelle qu'à l'époque se faire soigner tenait de l'aventure, à la fois parce que les médecins étaient rares et éloignés, mais aussi parce qu'il n'y avait pas d'ambulance. Cet exemple montre également que Stan Sakai prend soin d'établir que les actions des uns et des autres ont des conséquences qui ne disparaissent pas une fois la page tournée.

Pourquoi ce tome de cette série plutôt qu'un autre ? Il n'y a que le premier pas qui coûte. Alors qu'il s'agit d'une série au long court (> 200 épisodes en 2015), chaque tome peut se lire indépendamment, sans rien perdre à l'intrigue. Dans ce tome, Stan Sakai fait ce qu'il sait faire, et le fait bien. Il invite ses lecteurs (quel que soit leur âge) à suivre Miyamoto Usagi (un lapin anthropomorphe) qui croise la route d'un joueur de flûte, de ninjas pas commodes, d'une belle princesse, d'esclavagistes, au Japon, au dix-septième siècle. L'auteur trouve un équilibre délicat entre aventures, combats au sabre, reconstitution historique et moments plus intimes.
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Miyamoto Usaji croise un moine bouddhiste qui joue du shakukachi, flûte traditionnelle qui reproduit les sons de la nature. « C'est un son mélancolique, il vous hante... Mais il exprime l'esprit de notre terre. » (p. 7) Il paraît également qu'elle permet d'entendre la musique du paradis, et le pauvre moine l'apprend à ses dépens. Comme toujours le samouraï errant rend justice aux faibles et aux innocents. Il libère un village de cruels esclavagistes. Il combat toujours avec une force fine, mesurée et intelligente, ce qui lui assure une victoire méritée sur les brutes et les irréfléchis. La clairvoyance du courageux lapin lui permet aussi de voir quand un adversaire combat pour une cause noble, et de le respecter dans la victoire comme dans la défaite.

Un épisode de cette bande dessinée détaille la fabrication d'une lame d'épée. Cela tombe à propos pour rappeler qu'une arme de qualité ne peut être maniée que par un homme de valeur. Aussi, quand Usagi se fait dérober ses lames, c'est plus que son bien qu'il veut récupérer, c'est son honneur.

C'est avec plaisir que j'ai revu Gen, le samouraï chasseur de prime, ami comme chien et chat avec notre fier et beau lapin en kimono ! Et c'est avec angoisse que j'ai compris que la fin du volume 9 annonce le retour d'une ancienne menace. Prends garde, Usagi, de nouveaux dangers sont à venir !

Dans cet album, Stan Sakai s'essaie à des formes nouvelles, comme des cases plus grandes, longues sur deux pages. Chaque album reste un véritable plaisir de lecture et je reluque déjà les suivants sur les étagères des librairies...
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Pas trop mal ce récit.L'histoire avec Fuji est vraiment sympa (le côté humiliant de la perte des épées est très intéressant), et celle avec la princesse est sympa aussi (surtout par son lien avec les étoiles), mais le tout me semble un peu anecdotique.
9782723487092"
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Un samouraï ne doit jamais se laisser emporter par ses émotions.
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- Tu ne fais jamais confiance à personne, chien errant ?
- Non... C'est pour cela que j'ai survécu tout au long de ma carrière !
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- Sensei, voilà vraiment une arme exceptionnelle !
- Une arme ? Non, c'est l'âme d'un samouraï.
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« C’est un son mélancolique, il vous hante… Mais il exprime l’esprit de notre terre. » (p. 7)
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- Tu as ma parole d'honneur, chien errant !
- Bah ! Ta parole n'a aucune valeur, rônin !
- C'est tout ce que j'ai.
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Vidéo de Stan Sakai
Un monde dans lequel les hommes cis peuvent aussi tomber enceints ?! C'est l'univers qu'imagine Eri Sakai, dans "La Grossesse de M.Hiyama", un shôjo manga prochainement disponible en série télé sur Netflix, et que nous sommes ravis de vous proposer en prépublication numérique dès ce jeudi 21 avril 2022, en attendant la publication au format papier courant 2023 !
Résumé : Cela fait environ dix ans que, suite à une évolution naturelle, tous les hommes fertiles peuvent tomber enceints. Et jusqu'à ce que ça lui arrive, Kentarô Hiyama n'avait jamais envisagé cette éventualité. Salaryman chargé d'un poste à responsabilité, coureur de jupons célibataire, il profitait de la vie sans réfléchir aux conséquences. Mais quand son médecin lui annonce qu'il est enceint d'environ dix semaines, il devra tout remettre en question. Réalisant alors à quel point la société est inégalitaire, il décide de porter l'enfant à terme et de créer sa place lui-même !
#Netflix #InstantShôjo #LaGrossesseDeMHiyama #HesExpecting
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