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Innocent tome 2 sur 9
EAN : 9782756071152
224 pages
Delcourt (06/05/2015)
4.34/5   64 notes
Résumé :
À 14 ans, Charles-Henri Sanson est déjà bien loin de l’innocence qui caractérise les enfants de cet âge. C’est une main encore frêle qui doit administrer la justice sur l’échafaud…
Dans le Paris de 1753, à la veille de la Révolution, Charles-Henri Sanson n’est âgé que de 14 ans lorsqu’il doit, pour la première fois, monter sur l’échafaud dressé en place de Grève pour procéder, au lieu de son père, exécuteur des hautes oeuvres de Paris, à un supplice.
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Suite de l'entrée du jeune Charles-Henri Sanson dans sa destin de bourreau déjà tout tracé. Sa première exécution est une catastrophe, une réelle boucherie, même pour la populace qui vient épancher sa curiosité malsaine avec ce spectacle tragique : c'est dire !
Même s'il se résigne de plus en plus à devenir ce que l'on attend de lui, car malgré le rejet et le dégoût que lui inspire cette famille, c'est tout de même la sienne et il veut plus que tout être accepté et aimé de ses pairs. Alors qu'elle n'est pas stupéfaction et son horreur lorsqu'il entend les confidences (sur l'oreiller...) de son père déçu qui préférerait le voir mort et le remplacer par un nouvel héritier mâle.

J'ai trouvé ce tome vraiment brillant.
La mise en scène et le graphisme sont toujours époustouflants. La quête d'identité de l'adolescence et toute l'opposition entre rejet et recherche d'amour dans la quête de soi sont toujours aussi brillamment représentées.
L'auteur fait aussi un petit rappel historique sur le fait que c'est "grâce" aux cadavres des malheureux (ou pas) condamnés à mort que les connaissances en médecine et plus particulièrement en anatomie du corps humain ont pu être approfondies.
Et du point de vue historique, ce tome-ci met aussi particulièrement bien en avant les très fortes inégalités sociales qui existent durant l'Ancien Régime entre les classes dominantes et la populace (le fameux "tiers-état") qui amènent notre adolescent à relativiser ses problèmes existentiels. En dehors de l'adolescent, les scènes qui sont consacrées à cet aspect sont dignes des Misérables de Victor Hugo.
Bien sûr, les scènes scabreuse sont toujours là... mais le reste est tellement époustouflant, et émouvant même, qu'on les oublie vite.
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Critique commune aux volumes 2 et 3.

Retour à Innocent, manga « historique », avec vraiment plein de guillemets, de Sakamoto Shin'ichi, avec les volumes 2 et 3… et, euh, bon, décidément j'ai un peu de mal – et ceci alors même que le sujet est vraiment très, très bon : la destinée de Charles-Henri Sanson, le plus fameux représentant de la plus fameuse des dynasties de bourreaux françouaise, à l'époque charnière qui voit le siècle des Lumières basculer dans la Révolution puis la Terreur. Maintenant, le réalisme historique n'est clairement pas de mise ici – ni au plan du graphisme, où l'auteur et sa flopée d'assistants en font des caisses côté magnificence, luxe, érotisme (et notamment homoérotisme), coiffures L'Oréal qui volent au vent parce qu'elles le valent bien, badasserie baroque-romantique et symbolisto-expressionnisme appuyé, ni bien sûr au plan du scénario, au regard duquel la très élégante formule pré-#MeToo attribuée à Alexandre Dumas que vous savez, eh bien, a quelque chose d'un brin timoré…



Résumons à gros traits l'histoire de ces deux volumes : nous avions laissé Charles-Henri Sanson, le pauvre, en train de se livrer à sa première exécution publique, celle tant qu'à faire de son fol amour Jean de Chartois – et la dernière case laissait comprendre qu'il avait merdé… Oui, c'est peu dire : son premier coup n'a pas tué sa victime, et il faut recommencer – et c'est de pire en pire ! Au point où la foule hypocrite, comme cela a pu se produire, remise sans trop de façons sa soif de sang de côté pour dénoncer vertueusement la boucherie à laquelle elle assiste : l'émeute gronde, et la réputation de Charles-Henri en est aussitôt entachée… jusque dans sa famille, dont certains membres, le paternel à demi-mort inclus, tendent décidément à croire que le rejeton récalcitrant et timide est un raté dans la dynastie ; la grand-mère de Charles-Henri seule s'attache encore à faire de lui le futur bourreau Sanson, certainement pas en raison de son bon coeur (elle est l'antithèse du bon coeur), mais parce que C'EST COMME ÇA, ce qui a toujours été la plus mauvaise des raisons – et Charles-Henri est bien conscient de n'être qu'un outil entre les mains bien trop propres de l'inquiétante et perverse dame. Les mâles n'ont en effet pas l'apanage des fantasmes sanguinolents, ce que démontre de plus en plus ici le portrait de la jeune soeur de Charles-Henri, Marie-Josèphe, créature séduite par la voie du bourreau, que son sexe lui prohibe… mais qui a quelque chose d'un peu punk, en même temps ? Sauf erreur, elle est l'héroïne du spin-off titré Innocent Rouge...



Mais revenons à notre timide Charles-Henri, qui (bien trop brusquement à mon goût…) se ressaisit, et assume enfin sa destinée – et cela tient sans doute au moins pour partie (on nous le laisse entendre assez explicitement) à une sorte de trauma sexuel inextricablement lié à la tâche salissante du bourreau. Mais il y a aussi de l'idéal chez Charles-Henri – qui accepte enfin sa mission, mais l'accompagnera en même temps, sinon d'un militantisme ouvert (mais pourquoi pas, le Charles-Henri Sanson historique a bien pesé dans l'adoption de la guillotine ultérieurement), sinon d'un militantisme ouvert donc, du moins des voeux les plus généreux pour qu'un jour, enfin, on cesse de tuer au nom de la justice, et s'il peut jouer un rôle à cet égard, il ne reculera pas ; d'ici-là, il fera en sorte d'épargner les souffrances à ses victimes désignées... ce qui n'est pas gagné, comme on le verra dès ces deux volumes.



Il faut sans doute y associer un versant parallèle des activités des Sanson – qui est la pratique de la médecine ; un bon bourreau doit parfaitement maîtriser l'anatomie humaine, et plus encore : aussi les Sanson dissèquent-ils en famille des cadavres au cours de leur formation perpétuelle, ce que l'estomac fragile de Charles-Henri tolère (forcément) mal, initialement du moins. Mais cela va au-delà, et les Sanson, occasionnellement, donnent des consultations, gratuites. C'est ce qui amène Charles-Henri à s'occuper d'un enfant très mal en point, qui a le bon goût d'être le fils d'un jeune homme assez sexy, dans un registre un peu plus viril (mais pas trop non plus) que de coutume dans cette BD qui prise autrement l'androgynie.



Et ce jeune homme assez sexy n'est pas n'importe qui : il s'agit ni plus ni moins, la vérole oubliée en route, de Robert-François Damiens ! Oui, le régicide de Louis XV… que Charles-Henri aura la rude tâche de supplicier dans les conditions que l'on sait, et qui ont fourni de belles pages, assurément dégoulinantes, à Michel Foucault, en ouverture de son Surveiller et punir. Ce lien préalable entre les deux personnages est bien sûr totalement fantaisiste – au moins autant que l'allure du régicide, sans même parler de sa motivation (prérévolutionnaire dans le manga, même si cela témoigne avant tout d'une méconnaissance fréquente de ce que serait la Révolution ultérieurement ; or, historiquement, j'ai l'impression que les raisons au geste de Damiens demeurent encore un peu floues, si nous savons tout de même que le personnage gravitait autour de l'opposition parlementaire, ce qui a pu être décisif – et là, souvenirs, souvenirs, j'en avais causé sur ce blog, il y a longtemps de cela, c'était une autre époque…).



Reste que le troisième tome d'Innocent est presque intégralement consacré aux tortures subies par Damiens avant son exécution (le tortionnaire, appelé ici Soubise, créature certes sadique, arbore un étrange tatouage en forme d'étoile et des costumes guère appropriés à sa salissante tâche, qui en font plus une icône glam qu'autre chose, un échappé de Kiss éventuellement – et, euh, là c'était vraiment too much pour moi, bien plus que la violence ahurissante des tortures infligées…), puis aux premiers moments de son interminable supplice (il reste encore beaucoup de marge à la fin du bouquin) ; un supplice donc particulièrement atroce, et atrocement mené par l'oncle de Charles-Henri, Nicolas-Gabriel, exécuteur des hautes-oeuvres de Reims, désireux de faire de la chose un spectacle tellement inouï dans sa brutalité et son horreur, qu'il lui permettrait d'hériter de la charge de son aîné…



Bon.



Je ne suis pas très convaincu. Hein. le premier tome m'avait laissé un peu perplexe, mais quand même curieux de lire la suite – de voir ce que ça pourrait donner. Notamment parce que j'aimais bien le dessin très « photoréaliste » (hors personnages, dont la dégaine baroque me parlait beaucoup moins), parce que le jeu expressionniste de l'ultime chapitre m'avait pris par surprise et emballé, et… ben, parce que j'étais curieux de voir comment Sakamoto Shin'ichi gèrerait l'histoire de France, même passablement malmenée, au fil de sa BD – et tout particulièrement en ce qui concerne la Révolution française, une période pour laquelle j'avais été pris de passion, là encore dans une autre vie...



Or, sous ces trois aspects, la lecture de ces deux volumes m'a beaucoup moins emballé… le dessin reste très bon dans son genre, mais le découpage de Sakamoto Shin'ichi m'a un peu agacé – notamment dans ces planches muettes très récurrentes où il s'attache avant toute chose… à représenter des personnages mi-romantiques mi-sadiens qui tirent toujours invraisemblablement la langue pour exprimer leur douleur interne ? Euh… Et globalement le reste, la force initiale de la BD – les bâtiments, les costumes, les meubles, ce genre de choses –, m'a tout de même laissé bien plus froid, là où le premier volume avait au moins eu le mérite de me surprendre.



La dimension symboliste-truc du dessin (et du coup de la narration) m'a moins convaincu, là encore : l'ultime scène du tome 1 était vraiment brillante à cet égard, avec Charles-Henri qui s'était construit un monde fantasmatique de pantins pour trouver dans l'indifférence la force d'accomplir son sinistre office, une illusion qui cependant donnait beaucoup à penser aussi bien au lecteur qu'au personnage. Mais, dans les deux volumes suivants, si des procédés du même ordre sont récurrents, l'effet est tout autre – la symbolique plus lourde qu'autre chose, et, hélas, trop souvent creuse, avec en même temps quelque chose de systématiquement excessif qui empêche de prendre tout cela vraiment au sérieux. C'était peut-être l'objectif, en même temps – chose qui s'appliquera tout autant et comme de juste au traitement de l'histoire de France –, mais… ouais, décidément, j'ai trouvé ça lourd, et c'est tout.



Et le traitement de l'histoire, donc… Je m'attendais à de la caricature, hein : la BD ne fait pas mystère, dès ses toutes premières pages, qu'elle est forcément au programme – que ça fait partie du truc. Conseillers chargés des « vérifications historiques » ou pas. Reste que ça m'a plutôt déplu ici, à force d'excès – et que, visiblement, la Révolution est encore loin, par ailleurs. C'est que Sakamoto Shin'ichi prolonge les scènes ignobles datant du règne de Louis XV, tout particulièrement celles associées à la torture et au supplice de Damiens (forcément), le tome 3 entier n'y suffisant pas, et ce jusqu'au point de la complaisance – chose qui ne me gêne pas dans l'absolu, merde, j'ai beaucoup lu Sade… et il y a d'ailleurs clairement du Sade dans tout ça. Et c'est indéniablement pertinent. Mais, justement, d'une certaine manière, je me suis rendu compte, au fil de ma lecture, que la seule chose qui me tenait encore, la seule curiosité qui me demeurait, portait sur les atrocités dont Damiens serait encore la victime dans le tome 4. Une sensation pas très agréable – ai-je donc vraiment cette soif, même (rassurez-vous...) seulement littéraire, de sang et de sévices ? Mais c'est surtout parce que je n'en attendais plus rien d'autre à ce stade, oui, c'est ça le souci.



Mon vrai problème, je suppose, émerge en fait de l'association de ces trois aspects (et de quelques autres menus détails) : je ne parviens pas à prendre cette histoire au sérieux. Ça n'est pas forcément le seul fait de l'auteur et de ses choix artistiques et narratifs, plus probablement une conséquence de mes attentes générales en tant que lecteur – mais… non. Je ne parviens pas à prendre tout ça au sérieux – et au point où les choix de Sakamoto Shin'ichi, qui se défendent sans doute de bien des manières dans l'absolu (l'androgynie baroque des personnages, le sous-texte permanent associant la charge du bourreau et la sexualité, la manière de tordre l'histoire pour en dériver un autre sous-texte, davantage en forme de message, tout du long, etc.), ne parviennent guère qu'à renforcer mon impression grandissante… eh bien, de parfait ridicule. Je suppose que le point-clef à cet égard, dans ces deux volumes, est le personnage improbable de Soubise, avec son (mauvais) délire glam-SM – qui m'a illico « sorti » de la BD.



Je ne pense donc pas poursuivre l'expérience à vue de nez. Un brin de curiosité demeure, mais… Bon.
Lien : http://nebalestuncon.over-bl..
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Un manga qui de prime abord peut sembler repoussant puisqu'il suit la vie d'un bourreau. Et pourtant il n'en est rien grâce au trait gracieux et délicat du mangaka. À n'en pas douter, le trait sert vraiment l'oeuvre et lui donne toute sa puissance et sa beauté. J'adore le style graphique de ce manga : fluide, léger, des clairs-obscurs magnifiques. Au final, tout sert à rendre beau ce qui peut l'être et permet aussi de souligner l'horreur quand nécessaire.
Pour ce qui est de l'histoire sur ces trois premiers volumes, nous suivons les débuts de Charles-Henri Sanson, 14 ans, fils de bourreau et qui doit donc reprendre la profession paternelle. Traité de la vie des bourreaux était un choix audacieux, car le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils ont mauvaise réputation (et ça se comprends). Mais dans ce manga, traité de façon historique, une découvre la vie de ces gens bien loin des clichés que véhicule le cinéma. Les bourreaux jouissent de privilèges, sont autant ostracisé que « respecté » pour la tâche qu'ils accomplissent. C'est d'ailleurs le parcours du jeune Charles-Henri, doux et sensible (avec des traits très efféminés), pour se sortir de ce monde hideux tout en acceptant son destin. Personnage intelligent et droit dans ces bottes, il s'évertue à suivre cette voie maudite tout en y apportant « de l'humanité » malgré les horreurs qui lui sont demandées. Note spéciale pour la grand-mère Sanson qui est une vraie tortionnaire et assume totalement son lignage.
Je suis curieuse de découvrir la suite de ce manga.
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Charles-Henri, 14 ans, vient d'hériter de la charge d'exécuteur pour les hautes oeuvres de Paris, sa première exécution publique est déjà annoncée et c'est une connaissance à lui à qui il doit administrer la mort. Charles-Henri flanche et s'est une véritable boucherie. Son père décide de produire un autre héritier car il juge indigne son aîné de le remplacer.

Un second tome où Charles-Henri n'est pas épargné mais il accepte la charge de son métier dans le but futur de faire changer les choses, mais la route sera longue.
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Charle-Henri ne peut pas échapper à sa condition. C'est en place de Grève, devant le peuple avide de morbidité, qu'il doit pratiquer sa première exécution capitale. Impressionné, donnant la mort pour la première fois, le jeune homme se montre maladroit et l'exécution vire à la boucherie. Même le peuple en est choqué…

Le graphisme est toujours somptueux. L'auteur joue habillement avec les cadrages, le flou de mouvement, les nuances de gris. Attention, le réalisme est si intense que les images d'exécution sont parfois presque insoutenable. le scénario n'est pas en reste, ce deuxième tome confirme mes impressions que j'ai eu lors de la lecture du premier opus de cette magnifique série.
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critiques presse (2)
BoDoi
11 juin 2015
A conseiller à tous les lecteurs – adultes et avertis, dans ce cas-ci ! – de bande dessinée au sens large.
Lire la critique sur le site : BoDoi
ActuaBD
18 mai 2015
Avec son trait délicat et mélancolique, et une utilisation de dessins photo-réalistes, Innocent nous plonge dans une ambiance à la fois raffinée et macabre des plus saisissantes.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
"De quel droit, osez-vous me blâmer?! Je ne suis pas responsable de ce qui vient de se passer. C'est vous qui m'avez poussé à commettre cet acte. Je suis innocent." # Charles-Henri
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Il fait de son mieux pour que la douleur du condamné soit la plus brève possible et qu'il n'ait pas à endurer d'atroces souffrances durant son supplice.N'est-ce pas la marque d'un coeur miséricordieux?Si moi aussi,un jour,je devais être exécutée j'aimerais que ce soit par ses soins.(p.167)
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Il n'y a rien de bas ni d'humiliant à répandre le sang humain...quand le bien de l’État le demande.
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Durant l'Ancien Régime, la population française était divisée en trois ordres.
L'existence des individus était davantage prédestinée par leur "état" et leur "extraction" que par leur mérite personnel.
Sous la monarchie absolue, le tiers état, qui représentait 98% de la population, était exploité par les 2% restants.
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Tout ce que je souhaite à présent, c'est montrer à tous ceux qui nous méprisent... que nous autre aussi, on existe, et qu' on travaille dur, dans la poussière et dans la boue...
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#Manga #romangraphique #lagriffenoire @zoethorogood
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