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Critique de yowie


yowie
16 février 2017
...et je reviens vers les aventures de Drizzt!

Si vous enlevez les batailles à plus finir des romans de Salvatore alors il ne reste plus grand chose. Non mais c'est vrai que la description minutieuse de chaque mouvement du corps d'un assaillant peut devenir très lourd à la longue.

Mais ce qu'il reste est quand même intéressant.

Ici il s'agit de paix avec les Orques!

Ben oui!

Dans le dernier roman les Orques ce sont pris en main sous le règne d'Obould, un orque énorme. Ils sont sortis de leur trou et conquis tout un royaume en attaquant le royaume des Nains. Les nains se sont finalement retranchés dans leur forteresse.

Mais là c'est l'heure des choix. le roi Bruenor veut repousser ces orques puants dans leur trou et reprendre le terrain perdu.

Mais voilà Obould cesse de progresser. Contrairement au passé de sa race il veut construire sur le futur. Il veut un royaume. Il veut un traité de paix. Il veut des relations commerciales et amicales avec ses voisins.

Que fait-on? Est-ce qu'on va vraiment vers la paix avec les Orques? Est-ce possible?

Là vous avez des tensions dans les deux camps. Autant des Orques ne peuvent accepter cette accord de paix; autant des nains ne peuvent l'envisager!

Bref pratiquement un roman philosophique... Pratiquement...
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