L'impression que c'est le livre le plus personnel de
Lydie Salvayre. Sa verve et ses colères y sont encore bien présentes. La narratrice va s'enfermer dans un musée face aux sculptures du suisse Giacometti. Mais surtout elle va se remémorer son enfance avec un père violent. Des réflexions très fortes sur l'art, la tv, les écrivains, la maladie et le monde actuel d'une grande liberté. Un bon cru 2019.
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