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San Antonio tome 68 sur 175
EAN : 9782265043497
255 pages
Fleuve Editions (01/05/1990)
3.97/5   45 notes
Résumé :
Bérurier, ex-interne des hôpitaux de Paris ?
Ça vous la coupe, hein ?
Et pourtant vous allez voir que le Gros sait aussi bien manier le stéthoscope que le saucisson à l'ail.
Surtout quand il a comme vieille bonne une sémillante donzelle nommée Pinaud.
Et si ce bouquin vous détraque la rate, vous savez maintenant par qui vous faire soigner.
Paru en 1968 n°SA68
(Quatrième de couverture de l'édition Fleuve Noir 1968)
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Le médecin malgré lui...
Après un très moyen « Zéro pour la question » qui suivait « L'archipel des Malotrus » et « Béru contre San-Antonio », moyens également, il fallait remonter à « Y'a de l'action » pour trouver quelque chose de convenable. Ça ne pouvait pas durer ou alors je m'étais complètement berluré en prétendant que les années 60 et début 70 étaient la période faste de la série…

Voilà en deuxième trimestre 1968 « Bravo Docteur Béru » : du grand, messieurs dames… du vrai…

D'abord parce qu'il y a Pinaud, et que Pinaud, c'est un indispensable. Premièrement au commissaire, parce qu'il est d'une efficacité redoutable, ensuite à Fréderic Dard et à l'intrigue parce que ça leur fait des possibilités de rebondissements augmentées, comme dirait une réalité qu'on rencontre de nos jours…
Et puis Pinaud, un personnage haut en couleurs surtout quand on lui donne le rôle de réceptionniste, standardiste du Docteur Béru.
Béru, ex interne des Hôpitaux de Paris pour la circonstance. Un médecin conventionné pas conventionnel du tout. Les deux médecins qui l'ont précédé aux cabinets ont été refroidis.
Une sombre affaire de trafic de mégatzornium thermossiphil, un minerai utilisable pour la confection de bombes nucléaires.

Enfin un San-A digne de ce nom. Tout y est ou à peu près : le trio San-A, Béru, Pinaud, et tout le reste de la recette qui nous à donné « Bérurier au sérail » (entre autres) en 64.
Allez ! On sort du ventre mou des années 60 pour en attaquer la fin dans de bonnes conditions ; vivement le prochain : « Viva Bertaga » Où on verra Berthe Bérurier (BB pour les intimes) jouer les vedettes et l'arrivée de Marie-Marie, sa fille…
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On parle, depuis quelques temps déjà, de littérature "filgoude", comprenez des auteurs qui publient des romans légers et optimistes qui donnent ou redonnent le moral.

Et bien, en ce qui me concerne, ma littérature "filgoude", il y a déjà un bon moment que je l'ai trouvée avec l'Oeuvre de Frédéric Dard, sous le pseudo de San-Antonio (et pas "Santantonio", merci !).

Car, comme le disaient les spiqueurines de ma jeunesse quand elles annonçaient le film du dimanche soir (en alternance ; de Funès, Pierre Richard, et les Charlots) cela n'engendre pas la mélancolie !

Quand un petit cabinet médical de province voit ses médecins se faire assassiner les uns après les autres, le commissaire San-Antonio, place un cheval de Troie dans ledit cabinet.

Je devrais plutôt dire un bourrin de trait, puisque c'est Alexandre-Benoit Bérurier qui sera le médicastre, assisté d'une charmante demoiselle : Pinaud.

Evidemment, il se trouvera bien des grincheux pour dire que cela ne vole pas toujours très haut, mais un peu comme les films cités plus haut, la prose de Dard atteint son but ; divertir le lecteur et lui faire passer un bon moment.

Voilà !
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68ème San-Antonio, paru en 1968, dans lequel Bérurier devient médecin pour les besoins de la cause, à savoir élucider les meurtres successifs des médecins d'un cabinet médical. Sa secrétaire n'est rien moins que Pinaud en personne. Donc, une enquête assez délirante dans laquelle les amateurs de la bande trouveront leur compte.
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68ème roman de San-Antonio publié en 1968 (2è trimestre 1968).

L'histoire se déroule à Caducet-sur-Parbrise (Cher-et-Tendre) et Angers fin septembre 1967.

Mission : 3 médecins dont assassinés à la suite dans le même cabinet médical dans le village de Caducet-sur-Parbrise. Afin de mener à bien cette enquête, San-Antonio demande à Béru d'endosser le rôle de médecin.

Le fameux trio est de nouveau réunit !!!

Un très bon San-Antonio : une bonne enquête, des excellents diagnostiques de Bérurier et un retour de Pinaud.

Bref, un Frédéric Dard inspiré.

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Dans un petit village du centre de la France, trois médecins sont assassinés, dans le même cabinet qu'ils avaient repris les uns à la suite des autres. le commissaire San-Antonio imagine un stratagème pour coincer le, la ou les coupables : l'inspecteur Bérurier va devenir médecin dans cette maison bourgeoise qui sert de cabinet de consultations, et l'inspecteur Pinaud... la secrétaire. Ce duo de choc, couplé à une très bonne intrigue policière, compose un très bon polar, truculent, où la verve de Frédéric Dard fait merveille !
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
"la plupart de mes contemporains aiment ou détestent. moi pas: j'aime ou j'emmerde. la nuance est capitale. pour haïr, il faut mobiliser sa bile, tandis qu'emmerder vous laisse paisible. ça ne vous empêche pas de dormir. mieux :cela vous confère inexplicablement un sentiment de béate supérioté. être en position d'emmerdeur vous permet de dominer toutes les situations, de braver toutes les mauvaises rencontres de vaincre toutes les viscitudes. ça vous préserve des autre et de vous même. bref c'est une forme de sagesse, car il faut dans le fond une belle sérénité d'âme pour emmerder les gens qui vous emmerdent " san-a (bravo,docteur béru)
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C'est notre lot à tous, dirait M'man. Un matin, tu vois le jour se lever, mais un soir, tu ne le vois pas se pieuter.
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Si un truc me survolte l'énergie, c'est quand on vient me dire que ma chance perd son éclat.
Immediately, je me mets à cracher le feu. Parce que la chance, ça se fabrique comme le reste, retenez bien ce que je vous dis. Il n'y a d'irrémédiable que la soumission.
Avec de la volonté, une femme moche peut se rendre belle, une vieille se rajeunir, un bossu avoir l'air svelte et un percepteur ne pas passer pour un répugnant personnage. La veine, faut la faire filer droit ; jamais lui permettre de relâchement, lui sanctionner toutes les incartades. A ce régime là, les coups fourrés prennent peur et vous évitent.
Ca se répète, chez les démons, qu'on a cette mentalité intraitable, ils finissent par vous ignorer, manière de pas perdre leur prestige chez Belzébuth.
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Je suis bourré d’idées géniales, je vous dis. Si les cons étaient moins cons, je les déciderais à repeindre le monde.
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C'est moins grave que si c'était pire.
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*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* : San-Antonio, _Réflexions définitives sur l'au-delà,_ morceaux choisis recueillis par Thierry Gautier, Paris, Fleuve noir, 1999, 120 p.
#SanAntonio #FrédéricDard #Aphorismes #LittératureFrançaise #XXeSiècle
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