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EAN : 9782234093966
270 pages
Stock (29/03/2023)
4.27/5   42 notes
Résumé :
C'est une histoire d'amour, de vie et de mort. Sur quel autre trépied la littérature danse-t-elle depuis des siècles ? Dans Son odeur après la pluie, ce trépied, de surcroît, est instable car il unit deux êtres n'appartenant pas à la même espèce : un homme et son chien. Un bouvier bernois qui, en même temps qu'il grandit, prend, dans tous les sens du terme, une place toujours plus essentielle dans la vie du narrateur.
Ubac, c'est son nom (la recherche du just... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Pinpin tombe sous le coup de quelques mots d'une annonce de journal : des chiots bouviers bernois en vente. Comment résister ? La suite est une histoire d'amour entre un homme et un chien, une histoire un peu semblable à la mienne, celle avec ma chienne depuis un peu plus de trois ans.
Plus que l'histoire elle-même , c'est la prose singulière et enchanteresse saupoudrée d'humour de Sapin-Defour qui rend ce livre délicat et émouvant. Pourtant il n'est pas vraiment poète, ses réflexions et ses ressentis sont très terre à terre mais étrangement il a toujours les mots justes pour les exprimer , et la composition phrasée de ses mots est surprenante et plaisante. Une prose naturelle, singulière, imagée, qui rend une histoire au fond courante , la vie tout simplement d'un homme avec son chien, passionnante . Un texte pudique qu'accompagnent de très belles réflexions sur nos sensibilités perdues que notre cohabitation avec les animaux aident à raviver, “Ce chien me réapprend à lire le vivant autour, à écouter les musiques de la nature, ses amplitudes, ses respirations, à mesurer ses états, à déchiffrer ses codes.”
Très touchant aussi la solidarité du trio de chiens, Pinpin ajoutant au Bouvier bernois deux autres, dont un labrador et l'autre sa fille.
Un monde magique, magnifique, un amour illimité qu'on partage avec eux quand on les aime , le tout un texte bouleversant avec une fin d'une tristesse et beauté infinies. Sapin-Defour est un homme émouvant dont l'espèce sur cette terre est en voie de disparition , un écrivain à suivre dans ses pérégrinations à travers La Vie.


« …. à quoi bon la vie si ce n'est un peu la manoeuvrer. »

Merci infiniment aux Éditions Stock et NetGalleyFrance pour l'envoie de ce livre magnifique !

#Sonodeuraprèslapluie #NetGalleyFrance
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Un titre et un bandeau qui vous accroche pour peu que vous soyez sensible à nos amis les chiens.
D'abord un titre Son odeur après la pluie qui sent bon le retour de balade avec son chien. L'odeur d'un temps de connivence, de dépense, de moments partagés .
Et puis la photo de profil d'un bouvier bernois. La tendresse,la délicatesse, la gentillesse.
Ce gentil bouvier bernois s'appelle Ubac. Il est né en 2003 et va partager la vie de Cédric puis de Mathilde et Cédric.
Partager la vie n'est pas le verbe juste. Ce sera plus que cela. Une osmose, une fusion entre l'homme l'animal.
Cédric Sapin-Defour nous entraîne dans tes torrents d'émotions d'humanité ou comment une relation avec un animal nous dit le vivant.
Bien évidemment ce livre touche au plus profond et nous invite sur les routes de la différence, de la tolérance, de la vie mais aussi de la séparation et de la mort.
L'auteur nous parle de tout cela avec délicatesse mais aussi avec force.
Ubac est une vie qui fait irruption et devient indispensable. Un lien essentiel entre l'homme et l'animal .
Un compagnonnage intense qui touche au coeur.
Jean Paul Dubois qui préface le livre de Cédric Sapin Dufour a obtenu le Prix Goncourt pour son roman :Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même facon .
C'est bien le cas de Cédric. Avec Ubac il habite le monde au plus près de son regard, au plus près du sol, de la nature et de cette relation partagée.
Ce livre nous touche car il parle d'un compagnonnage respectueux qui grandit les uns et les autres.
Pour toute personne ayant compagnonner avec un chien, ce livre est un baume apaisant qui nous rappelle tout ce que pous nous apporter une présence animale.
Plus que touché par cette histoire car elle emprunte quelques chemins que nous avons vécu avec notre chien Fjord.
Fjord était un berger australien avec lequel nous avons comme Ubac et Cédric marchés sur les chemins du Beaufortain.
Comme Ubac, Fjord a respiré le grand air du Beaufortain et s'est extasié de la vue allant du Mont- Blanc au Lac de Roselend.
Comme pour Ubac, nous avons du descendre Fjord à la clinique des Quatre vallées à Albertville.Pas pour des tiques mais pour un épilé.
Fjord nous a quitté il y a 3 ans.
En reprenant les termes de Cédric Sapin Defour, Fjord a du rejoindre Ubac d'arbres en âmes et que le plus de vous persiste.
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Ubac était un bouvier bernois, une race de chien malheureusement promise à une longévité trop brève. Cédric Sapin-Defour revient dans ce beau livre grave sur le déchirement qu'a été pour lui, pour sa compagne Mathilde et leurs entourages, la perte de cette part essentielle de leur vie.

Une annonce parue dans un journal gratuit local, à moins que ce ne soit le destin, guide l'auteur vers ce chiot, dernier disponible d'une vaste portée de douze Et ce sera dès le départ un coup de foudre partagé.

Les moments heureux ne manquent pas, d'autant plus que Cédric est un passionné d'alpinisme et que les occasions de partir en balade sont fréquentes. Quelques mois après avoir accueilli Ubac, il fait la rencontre de Mathilde, qui deviendra sa compagne. La « famille » s'agrandit encore avec Cordée, une chienne labrador et Frison, qui est fille d'Ubac.

Ce récit est donc avant tout un essai sur la place que tiennent les deuils dans nos vies. Qu'il s'agisse d'un animal ou d'un humain chaque être vivant peut nous manquer terriblement lorsque la mort survient… J'ai aimé le style relevé de Cédric Sapin-Defour, qui abonde en références bienvenues et éclairantes. Et la superbe préface de Jean-Paul Dubois est un plus certain !

#Sonodeuraprèslapluie #NetGalleyFrance
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2003. Alors qu'il est dans un café, le narrateur saisit un journal de petites annonces. L'une d'elles propose des bouviers bernois. Il compose le numéro. Même si parcourir deux cents kilomètres pour aller voir les chiots évoque un acte impulsif, il n'en est pas vraiment un. Il a déjà « eu » un chien, Ïko, un labrador qu'il avait adopté à la SPA. « Depuis cette absence escorte chacun de mes jours et je ne trouve pas tout à fait normal que la vie continue. Alors je sais. de quelle entreprise affective il s'agit. » (p. 24) Il connaît l'importance du moment de la rencontre et le savoure. Quand celui qui partagera sa vie apparaît, leurs regards peinent à se séparer.


Son odeur après la pluie dépeint la merveilleuse relation entre celui qui sera appelé Ubac (après de nombreuses tergiversations) et Cédric Sapin-Defour.


Le livre est introduit par une préface de Jean-Paul Dubois, qui évoque, magnifiquement, l'essence du message de l'auteur. Elle m'a émue. Puis, j'ai lu les premières pages et j'étais un peu perturbée par l'écriture. Les mots n'étaient pas toujours à la place à laquelle je les attendais. Cependant, ils m'ont très vite apprivoisée et ce style, qui m'a perturbée au début, m'a emportée. Il apporte une valeur poétique au récit.


J'ai été très émue par ce roman. J'ai aimé la relation entre l'homme et son chien et entre le chien et son compagnon humain. J'ai été touchée par le respect, l'amour et l'attention que l'auteur a prodigués à son chien. J'ai été particulièrement sensible à l'écoute qu'il lui a apportée. Il n'a pas modelé son ami par rapport à des critères d'éducation. Mon ancien vétérinaire a souvent dit que je faisais de l'anthropomorphisme, aussi, je me suis retrouvée dans ses pensées, ses actes, mais aussi ses sentiments de culpabilité au sujet de ses absences. Ses mots m'ont parlé de mon regretté Valmy, ils ont fait vivre son absence et ont fait défiler les merveilleux souvenirs dans ma tête, dans mon coeur et dans mon corps. Même son odeur m'est revenue, surtout celle des jours de pluie ; mais aussi, celle qui m'a alertée, quand ses reins ont dysfonctionné. J'ai entendu ses griffes sur le carrelage, je l'ai vu attendre sa part quand je mangeais, j'ai ressenti son soutien quand ma mamie est décédée et qu'il m'a collée, pendant plusieurs jours, simplement parce qu'il percevait que j'en avais besoin.


Arrivée à la dernière partie, j'ai versé des torrents de larmes. Je ne pouvais plus m'arrêter. Je ne savais pas si j'allais pouvoir continuer à lire. J'ai choisi de poursuivre, poussée par la peur de pleurer une nouvelle fois, le lendemain. Je ressentais la douleur physiquement. Je pensais épuiser mes larmes. Mais elles ne sont pas taries. le lendemain, j'ai voulu confier mes émotions à mon mari : les sanglots m'ont empêchée de parler. Mon coeur saigne et est empli de doux souvenirs de Valmy, mon chien adoré. C'est beau et bouleversant. Je suis, à la fois, apaisée et meurtrie.


Son odeur après la pluie est une magnifique déclaration d'amour. C'est un coup de coeur pour moi.


Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
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Stop, arrêtez tout. Vraiment.Faites comme moi, fermez « La chambre des merveilles » et ouvrez ce livre. Voilà le livre que je rêvais secrètement de lire. Un bijou, un pas comme les autres, fendant les codes des romans mièvres et sentimentaux. Ces textes embellis et naïfs. Comment cet ouvrage et son écrivain ne font-ils pas encore la Une? Ce n'est pas seulement le récit de ce lien si intense qui unit le chien à l'homme, ou inversement. C'est une poésie, une ode attendrissante, éloquente et poignante. Il y a d'abord la préface de Jean-Paul Dubois, de laquelle s'échappent déjà des émotions indicibles. Dès lors nous savons que nous danserons dans un festival où l'animal sera roi, où la douceur sera reine. Attention, ce livre s'adresse uniquement à ceux qui, comme moi, considèrent leur chien comme leur double. Il ne tombera certainement pas dans les mains des trop nombreux goujats aux corps gras, usant de leurs chiens comme de leur pauvre vie. L'histoire célèbre l'amour, pour une fois pas conjugal, ni marital, ni filial ni extra conjugal. Et que ça fait du bien de lire autre chose, que c'est jouissif de découvrir une plume si unique, intense et romantique. Je suis de ceux qui vouent aux chiens un amour véritable, préférant le règne animal aux faux-semblants de l'humanité. Tout dans ce texte est beau, noble, et aérien. Cédric Sapin-Defour fait partie des écrivains qui disent avec une facilité déconcertante ce qui unit deux coeurs, c'est fort et sans ambages ; c'est une histoire dont nous rêvons tous. Une histoire dans laquelle on ne vivrait pas la pesanteur de l'autre, mais on la rêverait nuit et jour. Cet autre c'est un chien, une truffe humide, une patte posée au creux de l'aine, un regard fixe qui vous ravit, une odeur après la pluie, la plus fidèle des compagnies.
C'est un des livres dans lesquels je surligne au moins un extrait par page, tant c'est merveilleusement bien écrit. Des formulations si percutantes et si précieuses.
On apprend toujours des chiens les secrets d'une vie apaisée.
« L'amour des chiens, improbable affinité qui dépasse et relie tous les incompatibles de cette terre ».
Bravo et merci pour ça, Cédric Sapin-Defour, c'est un chef d'oeuvre.
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critiques presse (4)
Marianne_
22 mai 2023
Parce que son chien Ubac était le grand amour de sa vie, Cédric Sapin-Defour lui a consacré un roman tout entier (Stock). Cette histoire, la sienne, la leur, universelle autant qu’atemporelle, est une ode alerte et sensible au lien indéfectible entre homme et animal.
Lire la critique sur le site : Marianne_
LeFigaro
16 mai 2023
L’histoire d’un amour qui se passe de mots entre un homme et un chien.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeMonde
15 mai 2023
Un roman en fusion, qui fait sa révolution, écrit non à hauteur d’homme mais en réalité augmentée, nouant l’humain à l’animal et à la nature tout entière – « il est elle ».
Lire la critique sur le site : LeMonde
Bibliobs
21 avril 2023
Avec « Son odeur après la pluie », l’alpiniste Cédric Sapin-Defour adresse un chant d’amour à Ubac, son bouvier bernois disparu il y a cinq ans. Un récit tendre et griffu, préfacé par Jean-Paul Dubois, prix Goncourt 2019.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Surfiler son existence de la présence d'un chien, c'est entendre que le bonheur façonne la tristesse...c'est accepter que chaque minute volatile soit vécue sept fois plus intensément qu'à l'habitude
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Mais il y aura de nets reculs. À certaines secondes et en des lieux inconvenables, sans crier gare, des rivières sur les joues, chante Souchon ; elles seront des crues gigantesques de n’avoir pas pleuré une semaine et auront une allure sans fin faisant croire au recommencement vif, plein et vengeur des morsures, pourquoi pas d’ailleurs. Je les accueillerai volontiers, qu’elles m’étrillent à nouveau ; laisse aller, disait papy Lulu, la vie est une valse.
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Un chien, de son passage, augmente votre existence et, non pour l'en remercier mais pour s'élever à lui, un geste suffit, deux seringues, une de cran, une de dignité.
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Un chien, de son passage, augmente votre existence et, non pour l’en remercier mais pour s’élever à lui, un geste suffit, deux seringues, une de cran, une de dignité, et nous en sommes incapables, jouant de cette malhonnête confusion que piquer serait voler. En vrai, c’est rehausser.
Et le souffle de cette foutue vie venait de façon opportune nous aider à être lâches. Ubac, par séquences, devenait plus alerte. Il avait ses fulgurances et se mettait à vouloir attraper les balles de sa bouche, bientôt seule rescapée des paralysies ; nous voyions là un regain quand il ne s’agissait peut-être que d’un retour aux petits chevaux pour résident sénile. Il aboyait avec vigueur des notes qui ressemblaient à la joie et toute la maison résonnait de son retour aux affaires. Dans ce contexte, le plus modique des redressements était une victoire. Puis il posait calmement sa tête sur mes jambes, ma main dans son pelage à l’odeur inchangée, nos cœurs ralentissaient et c’était bien cette douceur. Je pensais aux résurrections, quelqu’un là-haut devant tant d’une rare ferveur allait bien, par une juste ordalie, faire son œuvre, on ne perdait rien à le croire. Nous allions tous mieux de le voir vivant et d’oublier, ne serait-ce qu’un instant, comme nous n’étions pas à la hauteur. Ce manque de vaillance, je me débats avec lui encore aujourd’hui et je le crains, nous avons signé tous les deux un bail emphytéotique. Qu’en pensait-il lui mon cher Ubac ? Était-il flatté de notre amour tenace ? Était-il sidéré de notre égoïsme ? Nous mourrons à notre tour sans savoir.
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Je n’en ai pas immédiatement parlé à ma mère car la comparaison était hasardeuse, mais cet épisode de sauvetage du monde, à l’intention louable et aux effets désastreux, m’a rappelé une affaire vécue quelques semaines auparavant, au cours de laquelle Tex Avery sembla un instant s’emparer de ma vie. Nous marchions en bord de route avec Ubac et il aperçut un escargot. Celui-ci était en passe de finir la traversée de la départementale, chose pour laquelle il était parti, à la louche, la veille au matin. Il s’agissait donc d’un miraculé. Ubac, conscient du danger pour ce petit-gris d’évoluer sur l’asphalte, l’attrapa par la bouche et sans en fendiller une parcelle de coquille le ramena en sécurité de l’autre côté de la route. Deux jours aller, cinq secondes retour.

Une fois redéposé avec délicatesse au sol, l’escargot, resté recroquevillé pendant tout le transport, sortit de son habitacle, quasiment vite, les tentacules furieux, et je crois, de l’autre côté, avoir ressenti sa colère de devoir s’engager à nouveau pour une transatlantique. Il nous faudrait prévenir sa famille qu’il aurait un peu de retard. Ubac, lui, était assez ravi de ce rapatriement sanitaire, je lui dis que c’était bien car l’idée d’aider était manifeste mais je doute qu’il jouisse désormais d’une grosse cote auprès de la communauté des gastéropodes. Lorsque mon chien fut bien devant, je retournai auprès de l’escargot et le ramenai à sa ligne d’arrivée, aucun de ses compagnons ne croira au voyage du jour. Je ne sais toujours pas comment raconter cette histoire à ma maman sans qu’elle ne se vexe. Attendre sans doute. Ou lui dire que c’est surtout la route qui m’a fait y penser.
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