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4

sur 917 notes
Un quatrième tome un peu déroutant au niveau de la narration c'est le moins que l'on puisse dire.
Sept chapitres assez fournis en informations et constitués de plusieurs scènes chacun, nous allons d'un personnage à l'autre, bandits, rois, soldats, espions, assassins, magiciennes ou sorciers sans préavis et sans logique apparente, et il faut bien le dire, cela demande pas mal de concentration.
Nous serons, rassurez-vous, assez souvent en compagnie de Geralt et Yennefer, de Jaskier et de Ciri, car le contexte et le monde dans lequel nous évoluons nous est désormais familier et les personnages principaux restent les mêmes.
Si le récit peut sembler confus, il y a heureusement un fil rouge qui se nomme Ciri, Ciri qui apparaît comme le personnage central d'une intrigue qui commence à prendre forme, Ciri dont l'ascendance suscite beaucoup d'intérêt de la part de personnages peu recommandables et pour tout dire extrêmement dangereux et déterminés.
Les scènes se succèdent en alternant tantôt des dialogues vraiment intéressants car relatifs à la politique et aux factions, et tantôt de l'action, souvent brutale, le classement en "Dark fantasy" n'est pas usurpé.
Je continue à apprécier cette saga à l'univers et aux personnages vraiment bien travaillés, j'ai hâte de lire la suite.
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Un tome dans lequel l'action est bien présente et dans lequel on ne s'ennuie pas ! J'ai aimé voir Ciri s'entrainer, évoluer . Un peu regretté de voir finalement peu le sorceleur . Et ça y est cette fois le Nifgaard abat ses cartes et Ciri va se retrouver au coeur de la bataille. Il y a un peu trop de personnages dans ce tome, c'est parfois dur de suivre, entre les elfes et les magiciens, les changements de camps et les trahisons...et j'ai aussi eu un peu de mal à comprendre les choix de certains, notamment de Ciri, à la fin du tome, qui choisit de rester . Parfois j'ai l'impression d'avoir loupé un épisode ! Mais j'ai quand même envie de connaitre la suite, parce que ça se lit bien , très bien même malgré tout !
Challenge Mauvais genres
Challenge séries 2019
Challenge Bragelonne
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Et voilà, le quatrième tome de la série « le sorceleur » est achevé pour ma part.
Je reste clairement toujours fan des personnages principaux : Geralt de Riv, bien sûr avec Ciri, Yennefer et Jaskier…
L'histoire reste intéressante, mais pour la première fois que je lis cette saga, j'ai décroché par moments. En effet, j'ai eu de la peine par moments à suivre, ayant une impression de fouillis. Par exemple, pour l'assemblée des magiciens, avec les nombreux protagonistes, dur de ne pas s'y perdre…. Ce qui a été mon cas, j'ai d'ailleurs du régulièrement revenir en arrière pour relire certaines pages, histoire de ne pas trop perdre le fil.
J'ai un peu regretté le fait que Geralt soit moyennement présent dans ce tome. C'est Ciri que suivrons le plus dans ce tome, vu quel est clairement l'enjeu des factions au pouvoir. On commence à en savoir un peu plus au sujet de son patrimoine génétique (ou de son héritage si vous préférez) et pourquoi elle est l'enjeu des factions au pouvoir et en particulier de Nilfgard.
Un livre d'une qualité inégale donc, mais qui ne m'empêchera pas de poursuivre ma lecture de cette saga, d'autant plus que j'ai les autres tomes dans ma Pal.

Challenge Séries 2020
Challenge Mauvais Genres 2020
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Bon. Je n'avais pas lu ce tome (ou alors je l'ai totalement oublié).

On est assez loin d'un chef-d'oeuvre, il faut pas pousser, du moins je trouve.
Si ça se lit sans déplaisir, ce n'est pas non plus grandiose. Le fait de connaître le jeu, et donc la plupart des protagonistes des bouquins, aide pas mal à la lecture.
Je ne suis pas étonnée d'avoir abandonné après le tome précédent la lecture de cette saga à sa sortie.

Ce que j'ai trouvé être des défauts :
Des ellipses qui sont tellement importantes qu'on ne peut que se demander "que s'est-il passé ?".

Une pléthore de personnages secondaires dont aucun, en fait, n'est réellement développé, et dans lesquels on se perd.

Les quelques personnages principaux, qui pourraient l'être davantage, ne sont pas très approfondis psychologiquement parlant. Si Geralt reste assez cohérent dans ses comportements, ses discours, il n'est pas approfondi du tout. Yennefer non plus. Et Ciri m'est apparue relativement "incohérente" dans ses comportements (surtout pendant les événements choquants de la fin).
Bref, l'auteur me parait très "léger" dans la connaissance psychologique basique nécessaire à décrire des personnages profonds et cohérents. Mais peut-être cela s'améliora-t-il dans les tomes suivants, qui sait...

Certains développements sont vraiment bizarres. L'histoire de la licorne dans le désert notamment, j'ai trouvé ça très "wtf ?" !

Les très (trop) nombreux axes politiques apportent une complexité artificielle à l'ensemble. Presque pénible, même, parce que, si on ne connait pas les jeux (ce qui était mon cas en première lecture) ce n'est pas clair, on se mélange trop facilement les pinceaux entre tous les protagonistes, les diverses alliances, trahisons, complots, du moins dans ce tome, c'est très confus.

Je vais continuer la saga parce que j'ai envie de savoir si les jeux vidéos (très cohérents, eux) suivent l'intrigue des bouquins ou pas du tout. Pure curiosité de ma part. Et je répète, ce n'est pas désagréable à lire, même s'il y a des répétitions, et si je m'y retrouve grâce aux jeux, lol.

En fait, j'ai largement préféré les deux premiers tomes de la série Bragelonne, qui sont les tomes de nouvelles dans l'univers du sorceleur, reprenant des contes classiques, revisités façon humour noir, que j'ai vraiment adorés.
Je suis beaucoup moins convaincue par la saga "Ciri-esque".
Peut-être que les tomes suivants sont meilleurs, mais là, pour l'instant, j'ai un peu de mal.
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Quand je lis un tome de Sorceleur, je n'ai pas vraiment l'impression de lire un tome, ce qui est un peu déroutant. En effet, je n'ai pas la sensation d'un fil rouge avec un apothéose à la fin. Plutôt des morceaux qu'on assemble patiemment et qui trouveront leur conclusion à la fin de la série. Ce qui est génial quand on lit les tomes d'affilée, beaucoup plus complexe lorsqu'on laisse plusieurs semaines voire plusieurs mois entre les lectures. Me voilà donc avertie.

Sur ce tome ci, on reprend donc là où on s'était arrêté. Ciri est avec Yennefer, Géralt a Rience aux trousses, Nilfgaard est de plus en plus menaçante et les rois essayent de s'en sortir indemne.
L'histoire en elle-même a un rythme très varié. On oscille entre les moments de longueurs et les moments haletants. Là encore, c'est quelque peu déroutant. de même que les changements temporels qui arrivent sans crier gare( au moins la série Netflix n'est pas trop discordante sur ce point^^). Une lecture qui demande concentration. D'autant plus avec cette pléthore de noms de magiciens et de royaumes vis-à-vis desquels je me suis un peu perdue.

Si on retrouve Géralt et Yennefer avec plaisir, il est cependant dommage que l'essentiel de l'action se situe autour de leur relation ( j'avoue que leurs montagnes russes sentimentales me lassent un peu). Ciri a la part belle dans ce roman. On en apprend plus sur elle, ce qui fait avancer l'histoire d'un iota.
Pour le dernier chapitre, je reste un peu sur ma faim/fin, voire même un peu dérangée par une scène en particulier dont je ne comprends pas vraiment l'intérêt...
Je lirai cependant la suite avec plaisir, voulant savoir la suite des péripéties de notre trio.

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Challenge Bragelonne
Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge Séries 2021
Challenge Multi-défis 2021
Challenge Pavés 2021
Challenge Féminin
Challenge Duo d'auteurs
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Un ressenti mitigé m'a accompagnée tout au long de cet ouvrage. Malheureusement, je ne ressors pas aussi conquise que je l'aurais cru… Par exemple, je pensais que l'on verrait un peu plus Geralt ou que l'on en apprendrait davantage sur lui. Hélas, on est plus sur sa relation avec Yennefer… À ma grande surprise, ce quatrième opus va faire comme son prédécesseur en mettant en valeur la jeune Ciri. Celle-ci est au coeur des conversations et cherche encore sa place. D'abord aux côtés de Yennefer, elle va parfaire sa formation de magicienne, un talent qui lui sera bien utile, notamment dans le dernier tiers du roman où elle va se retrouver seule et ne pourra compter que sur elle-même. J'ai apprécié en savoir plus sur cette demoiselle que j'affectionnais dans le jeu vidéo « The Witcher III »…

De nouveau, le rythme est plutôt lent, mais est tout de même ponctué par deux/trois temps forts qui vont rendre le récit haletant. On retiendra ainsi ce fameux temps du mépris qui donne son nom au titre du livre. Attendez-vous à voir des complots, des trahisons, une vengeance massive, des morts ainsi qu'une guerre qui va se mettre en place… Au coeur de cette lutte, on suivra énormément de moments avec les magiciennes comme Filippa Eilhart, Triss, Yennefer et bien d'autres… Les femmes auront ici une grande place, volant presque la vedette au sorceleur ou à ses compagnons. C'est un peu dommage… J'ai eu l'impression que l'on était plus sur un tome de transition permettant au lecteur de mieux découvrir Ciri ainsi que les conspirations se mettant en place. Je pensais que l'on verrait un peu plus de créatures face à Geralt ou plus d'escarmouches… Enfin, j'ai été un peu étonnée et choquée de ce qu'il s'est passé avec Mistle… Je n'imaginais pas la première fois de l'un des personnages comme ça. Personnellement, j'appelle ça du viol, même si suite à cela, les deux jeunes femmes vont devenir maîtresses… (Ce que je ne comprends pas étant donné l'attitude froide voir agressive de Mistel auparavant…) Cette scène m'a complètement refroidie, d'autant que c'est presque comme si l'auteur faisait passer ce moment ignoble comme « normal » en faisant naître des sentiments en une nuit… Je lirai quand même le cinquième opus qui m'attend dans ma PAL cependant, j'espère l'apprécier plus que « le temps du mépris ».
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Le sorceleur tome 4 le temps du mépris

Ce tome signe le temps du changement.
Après avoir suivi pour les tomes précédent Geralt de Riv, celui est mis de côté pour laisser la place à Ciri.
Celle ci approfondie sa formation magique au près de Yennefer. Qui a en tête de la confier à l'institut, au main de Tissia et Margarita.
Mais rien ne se passe comme prévu, lors d'un sommet entre magiciens, les personnages principaux se retrouve une dernière fois avant d'être séparé. Les traitres se révèlent.
Les complots sont au rendez vous. le temps de guerre est toujours au rendez-vous.

Ce tome met en lumière Ciri et laisse un peu de côté Geralt, surtout sur la fin du roman.
L'amour de Geralt et Yennefer est fortement présent lorsque ceux ci ceux retrouve une dernière fois. Ce 4e tomes annonce un tournent dans l'aventure. Les chapitres se suivent et on observe quelques accélérations dans l aventure et quelques moments de lenteurs. Beaucoup de personnage nous sont présentés, se qui amène un peu de confusion.
Le roman reste en soit plus rythmé, plus noir et plus Intéressant. L'univers de l'auteur se développe, le temps de l'ennui est révolu
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ça part en quenouille.

Alors que Yennefer et Gerald se sont enfin retrouvés les conspirations vont de bons train pour s'assurer la place sur le trône. Par une énième traîtrise des sorciers le sort du royaume est encore incertain.
Ciri s'est volatilisée, Yennefer est retenue prisonnière on ne sait où et Gerald lutte pour sa vie.

Trépidant !!
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Dans la foulée des tomes précédents, la série du Sorceleur / Witcher se poursuit avec une lecture rapide, donc autant enchaîner rapidement : le tome 4, le Temps du mépris, d'Andrzej Sapkowksi date de 1995, mais a été publié par Bragelonne en 2009.

Fuir ou mourir
Après s'être longtemps caché, le petit groupe autour de la princesse Cirilla, tour à tour entraînée par les sorceleurs, puis par Yennefer, se mêle davantage aux intrigues géopolitiques en cours. Et il était temps, car la tectonique des bas coups est en train de se mettre en place : les renégats elfes, surnommés les Écureuils ou les Scoia'taels, sont aux aguets dans certaines forêts ; l'empire nilfgaardien cherche n'importe quel casus belli pour renforcer ses positions auprès des royaumes du Nord ; enfin, les magiciens tiennent conseil pour savoir quel profit tirer de la situation et de quel côté faire pencher la balance. C'est ainsi que Yennefer, Geralt et Ciri se retrouvent au centre des enjeux en s'approchant trop près des conjurations en cours.

Un monde de trahisons
C'est peu dire que ce tome met en valeur le mépris (comme le titre l'indique), la trahison et la duplicité. Avec des enjeux pourtant simples mais une impossibilité à concilier même quelques personnes, cela donne l'impression que chacun a forcément des intérêts contradictoires et que le « bien commun » est un horrible concept par ici. D'une manière générale, la situation s'améliore légèrement, puisque les protagonistes que sont Ciri, Geralt et Yennefer ont un peu plus de pouvoir. Certes, la solution de facilité est avant tout de fuir, mais ils ont au moins l'occasion de montrer ce qu'ils savent faire face à certains espions tenaces, des ambassadeurs trop escortés, des magiciens aux dents longues et des mercenaires à fort appât du gain, difficile dans ces cas-là de se faire des amis durables, les personnages s'enchaînant à grande vitesse sans qu'on s'attache à certains en-dehors de ceux déjà cités.

Tics de lecture
Dans ce quatrième tome, Andrzej Sapkowski ne révolutionne pas sa série, mais réussit à relancer la machine après un 3e opus plus poussif. L'impression est tout de même que les tomes 3 et 4 ne devraient former qu'un seul et même roman (avec le tome 5 aussi ?) en supprimant des passages en trop, car il est toujours aussi bavard (même si les choses avancent finalement). Ainsi, positivons, nous découvrons enfin les enjeux derrière la personne de Cirilla : non seulement elle possède des dons très particuliers, mais en plus elle est traquée par une horde de guerriers antiques, le tout étant due à une ascendance contestée… On est dans du classique, mais parfois le classique remet les choses sur le bon rail. le double entraînement, sorceleur et magique, que Ciri a reçu la dote qui plus est d'atouts non négligeables, alors qu'elle n'a qu'une douzaine d'années. À côté de cela, à force de côtoyer Geralt, Yennefer et consorts, on commence à cerner ce que l'auteur veut faire de ces personnages et la question se pose : pourquoi déteste-t-il autant les magiciens, et notamment les magiciennes, et Yennefer en particulier ? Quand on ajoute à cela, le fait que les femmes durant la réunion des magiciens ne se focalisent que sur leurs vêtements et leur maquillage, forcément cela ne donne pas une belle image de la fantasy médiévale du Sorceleur…

L'intérêt reprend de la vigueur avec ce 4e tome, malgré toutes les mauvaises habitudes inhérentes à la série elle-même.
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Attention spoil :

Ce quatrième tome de la saga du Sorceleur reprend l'histoire où nous l'avions laissé au tome 3. Ciri et Yennefer sont en route pour l'assemblée des magiciens, Geralt est en quête de Rience, et la guerre est aux portes des royaumes.
On se doutait bien que ce volume tournerait autour des intrigues politiques et d'une déclaration de guerre de la part de l'un des protagonistes. La première partie du roman s'inscrit dans ce thème mais est pour le moins confuse et est très difficile à suivre. Trop de personnages secondaires interviennent, et secondaires, ils le resteront puisque mourant quelques pages plus loin ! C'est nous compliqué l'existence pour pas grand-chose.
La deuxième partie du roman est plus intéressante, tout entière consacrée au personnage de Ciri et permet à l'auteur de développer des facettes de sa personnalité. Un point négatif tout de même, l'absence du personnage de Geralt et, plus délicat, un point incohérent pour ma part, la disparition de Yennefer. Comment envisager crédible le fait qu'elle abandonne sa pupille ? À moins que l'auteur ne veuille créer un effet bien précis. À suivre. Je ne reviendrai pas sur la dernière scène du livre, malvenue, inutile et peu crédible.
Ce tome est toujours bien écrit, et s'inscrit dans ce qui semble être le plan de l'auteur. du moins, je le ressens comme tel. À voir avec la suite.
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