ce livre est trop intéressant, et j'ai besoin de ce livre; il m'a beaucoup appris.
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"Mes neveux" m'ont demandé de prier souvent, et qu'Allah m'aiderait. Je leur répondis que j'attendais de connaître Allah. Alors le plus âgé des deux m'a dit : "Oncle, quand tu étais dans le ventre de ta mère, tu pouvais avec tes pieds, tes mains, ta tête, la toucher. Tu ne la voyais pas mais elle était vivante. C'est après qu'on ait coupé ton nombril pour te détacher de l'obscurité de ses entrailles que tu as pu la voir. Il en va de même pour Allah. Nous sommes tous dans son sein, mais on ne peut pas le voir encore. Plus tard, oui, lorsque la mort viendra couper le lien qui t'attache à l'obscure existence terrestre... La vie, c'est le nombril qui rattache à cette obscurité." Cette comparaison m'a beaucoup aidé à comprendre la limite de l'homme...
On reçoit des coups,il faut savoir les rendre et en donner d'autres encore;et quand le vent tourne,tourner avec lui jusqu'à retrouver son équilibre.L'idéalisme et tout le reste c'est quand on n'a pas réussi et qu'on ne croit pas en Dieu.
Quand on a la main dans la gueule d'un caïman,il est plus sage de le chatouiller que de le battre.
Le malheur vient du ciel,tandis que le mal est en nous-même.