Ce livre ce compose de 4 parties de longueurs inégales. A part l'Empreinte, dont l'intrigue s'apparente presque à une enquête ayant pour protagoniste un fumeur d'opium, les autres récits sont plus ou moins des variations autobiographiques sur la contemplation de la nature, et un rejet du monde.
La nouvelle intitulée "L'empreinte", que je trouve un peu confuse, est celle que j'ai le moins aimée. En revanche, celle qui donne le titre au recueil, "
Mornes saisons", et la dernière "Clair de lune", sont celles que je préfère pour leurs descriptions contemplatives de la nature.
Haruo Sato s'inscrit pleinement dans son époque.
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