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Les chroniques de Blackstone tome 1 sur 7

Philippe Laporte (Traducteur)
EAN : 9782290047040
125 pages
J'ai lu (04/01/1999)
4.14/5   7 notes
Résumé :
Blackstone, New Hampshire : un journal, une banque,
des maisons de style victorien. Et, dominant le tout, l'ancien asile Ce jour-là, les habitants sont réunis devant l'imposante bâtisse qu'on s'apprête à démolir Mais le projet est ajourné.
Bill McGuire, l'entrepreneur, s'inquiète : sa femme attend un deuxième enfant, comment boucler les fins de mois ? C'est alors qu'on livre chez l u i un cadeau anonyme. A qui e destinée cette poupée de porcelaine ? A ... >Voir plus
Que lire après Les Chroniques de Blackstone, tome 1 : La poupéeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Vite lu, et, je pense, aussi vite oublié.
On dirait un banal épisode de Chair de poule, mais avec une intrigue clichée, des personnages clichés, et un décor tout aussi cliché.
Ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas bon non plus. C'est le type d'histoire qui ne peut fonctionner qu'avec la plume d'un grand auteur, qui sait prendre le temps de construire quelque chose, de donner de la substance, du corps, des détails, du relief et surtout des émotions.

On dirait vraiment qu'il y a eu ici un travail d'écriture afin de correspondre uniquement à ce que veut le grand public de manière "facile". Un mélange de Marc Levy, Guillaume Musso et de n'importe quel scénario de feuilleton et téléfilm de TF1. Vous mixez le tout et vous obtenez ce premier tome. Inutile de préciser que je ne m'aventurerai pas plus loin. Il y a bien trop de livres à découvrir pour que je perde mon temps ici.

Je me sens déjà trop frustré pour en écrire davantage.
Allez circulez, il n'y a rien à voir !
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Je vous parlais hier des Chroniques de Blackstone, écrites par John Saul suite au succès remporté par La Ligne verte de Stephen King. J'en disais aussi que j'avais beaucoup aimé cette mini-saga. L'histoire se passe dans un asile désaffecté de cette petite ville des États-unis, dans laquelle rode une énigmatique silhouette qui récupère des objets pour les envoyer à des expéditeurs triés sur le volet.
Et donc, le tout premier objet est une poupée. Ce premier épisode nous permettra de nous immerger dans l'atmosphère de la cité et de faire connaissance avec les principaux protagonistes que nous suivrons tout au long des six épisodes que compte cette série. Nous avons donc Oliver Metcalf, journaliste dont la famille est implantée à Blackstone depuis plusieurs générations, ainsi que Jules Hartwick, le banquier. Nous croiserons rapidement les deux bibliothécaires. Voilà pour les personnages principaux.
Dans "La poupée", nous apprendrons que l'asile doit être détruit, du moins ce qu'il en reste, à savoir des ruines, en vue de la construction d'un centre commercial. La population mise énormément sur ce nouvel élément de leur environnement pour redonner vie à la ville qui tombe en décrépitude. Et à propos de donner vie, un couple : Bill et Elizabeth McGuire, attend un heureux événement. Or, leur bonheur est entaché par la réception d'une magnifique poupée blonde leur arrivant de nulle part, cadeau empoisonné... vous le verrez en lisant le livre.
Oh, que je plains les lecteurs qui ont dû attendre un mois entre chaque sortie d'un nouvel épisode. Moi j'ai tout dévoré goûlument, et je vais vous dire, je n'en ai même pas honte.
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* Il y a quelques jours, j'ai vu passer cette mini-serie de 6 livres qui m'a tout de suite interpellé et j'ai décidé de me la procurer.

Aussitôt reçu, aussitôt lu et franchement je ne regrette pas du tout. Six tomes, de petites tailles, qui se lit très vite. L'histoire, la plume de l'auteur, l'ambiance, l'intrigue et le dénouement, tout y est pour passer un super moment.

* Juste pour vous donner envie à vous aussi, un petit résumé.

Blackstone, petite ville dans le New Hampshire abrite un ancien asile désinfecté qui surplombe la ville.

Un projet de centre commercial doit se réaliser en détruisant celui-ci mais va être ajourné par quelques détails administratifs. Pendant ce temps, des cadeaux empoisonnés ou maudits arrivent sur le seuil des portes de certains habitants.

* Nous allons apprendre à connaître nos personnages dans le premier tome, et découvrir déjà la première surprise.

Bien sûr les autres tomes vous révèlent de nombreuses surprises.

Un suspense à chaque fin de tome pour nous donner l'envie de lire le prochain.

Immersion totale dans cette histoire, avec l'ambiance tournant autour d'un asile et de ces personnages.

A savoir lors de la sortie de cette mini-série, il fallait attendre 1 mois afin de pouvoir découvrir la suite.

Ouf pour ma part, je n'ai pas eu besoin d'attendre, juste essayer de se freiner afin de ne pas la terminer trop vite.

Et on en parle de ces couvertures!

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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Prologue
Aujourd'hui, grâce à Stephen King et au succès de son formidable roman-feuilleton, La ligne Verte, de nouvelles possibilités apparaissent, de nouvelles perspectives désormais s'ouvrent à tous les écrivains. Le principe du feuilleton ne date pas d'hier : des romans de Dickens publiés par épisodes dans Blackwookd's Magazine, entre 1850 et 1860, aux feuilletons télévisés du samedi après-midi, qui ont tant marqué les gens de ma génération, tous les genres ont utilisé cette forme si particulière à un moment ou à un autre. (...
Aussi, c'est avec un plaisir et une curiosité grandissants que j'ai dévoré un à un les épisodes du feuilleton littéraire de Stephen King : ils prouvent indiscutablement que cette forme de récit est toujours aussi efficace et passionnante qu'à l'époque de Dickens. L'idée de m'en servir à mon tour m'est venue très vite.
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- Lorsqu'on parle d'émotion, on parle des gens, lui avait-il expliqué alors qu'il n'avait que dix ou onze ans et qu'il était venu passer Noël chez lui. Et quand on parle des gens, ça devient vite du commérage. J'essaie d'éviter les commé-rages, et tu devrais en faire autant.
Pour Oliver, le message était clair : il y avait beaucoup de choses dont son oncle n'avait pas senvie de parler.
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On ne peut pas expliquer ces choses-là. Elles arrivent, c’est tout. Et surtout, on ne peut rien y changer. Tout ce qu’on peut faire, c’est jouer les cartes qu’on a en main, de la meilleure façon possible.
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Lorsqu’on parle d’émotion, on parle des gens... Et quand on parle des gens, ça devient vite du commérage.
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Je ne crois pas qu’un homme puisse réellement comprendre ce que la perte d’un enfant représente pour une femme. Surtout lorsqu’elle sait qu’elle ne pourra pas en avoir d’autre.
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