La solitude, on croit en jouir pleinement. Et puis à la longue on déchante, ça suffit, on se rend compte qu’à nouveau on a envie d’affection, de partage.
L’homme doit préserver la forêt. L’homme en a besoin pour respirer.
La souffrance m’a tendu les bras et je m’y suis jetée.
Y en a qui se lavent les mains vingt fois par jour, y en a d’autres qui se donnent un mal fou pour que leurs livres sur l’étagère, leurs papiers sur le bureau, leurs chaussures en bas du placard soient parfaitement alignés. Les vérificateurs reviennent encore une fois vérifier que leur porte est fermée. Paraît que ce sont des malades.
Quand on a vécu une enfance tout encombrée de parents de frères et sœurs et de copains on est satisfait d’en être débarrassé on se sent libéré. À l’âge adulte me retrouver seul ça a été pour moi comme un cadeau.
Citant les vieillards avec indulgence. Ils ont été jeunes eux aussi mais on les préfère disparus. N’existant plus que dans leurs livres. À chacun sa place. C’est normal.
Si on en fait un rituel quotidien il est improbable qu’on remarque un changement. On peut prétendre qu’on ne change pas. Du jour au lendemain j’étais exactement la même. Le lendemain du jour aussi. Pourtant on change.
Qui peut décider d’une place idéale pour des mots brûlants d’amour ? L’amour se niche n’importe où.
Malgré que les cours te débectent t’es un gars plutôt scientifique alors tu ris de ce qui me stresse, moi qui écris des poèmes.
Ben oui, c’est con d’être poète. Vaut mieux s’intéresser aux équations et aux formules.
Des produits de beauté que les femmes préfèrent acheter en cachette comme si le partenaire risquait de découvrir que leur charme n’était qu’artifice, ou des articles d’hygiène un peu vulgaires, déodorant, tampax.