Je ne connais pas très bien cette auteure. Je l'ai découverte en lisant son roman "
Cueilleuse de thé" pour lequel j'avais eu un immense coup de coeur. Alors en voyant l'annonce de la sortie de ce livre, avec ce titre intriguant et cette magnifique couverture, j'ai décidé de me le procurer sans même savoir de quoi il parlait. J'ai donc commencé la lecture de ce livre, sans vraiment savoir à quoi m'attendre.
Le livre commence en nous entrainant en pleine seconde guerre mondiale dans un petit village de Haute-Savoie, le
Villaret, où un jeune peintre, Steffen Witzberg essaye de se cacher des Allemands.
Avec ce prologue,
Jeanne-Marie Sauvage-Avit nous plante bien dans le décor et nous fait rentrer directement dans une histoire intéressante.
Par la suite, nous nous retrouvons des dizaines d'années plus tard avec Jessy, une jeune femme qui vient de se faire licencier et qui décide de quitter sa ville pour venir se réfugier au
Villaret pour se consacrer à la peinture.
Au fil des pages, les histoires vont s'entremêler. Jessy est une grande admiratrice des oeuvres de Steffen Witzberg. Elle décide donc d'en apprendre plus sur le peintre qui a séjourner dans la même maison qu'elle de nombreuses années auparavant.
Une histoire passionnante et très prenante.
Jeanne-Marie Sauvage-Avit est très doué pour planter le décor, on a l'impression d'être nous aussi au
Villaret. Les personnages sont tellement vivants qu'on a l'impression de les connaître.
J'ai eu d'abord du mal à bien entrer dans l'histoire, les premières pages m'ont parues trop longues. Puis, au fil de ma lecture, j'ai été totalement prise dans l'histoire et je me suis laissé emporter par la plume de
Jeanne-Marie Sauvage-Avit. Au final, j'ai adoré ce livre et je pense que je le relirais sans hésitation plus tard ! Je le conseille :)