Près de la porte Saint-Martin, à Strasbourg-Saint-Denis, il y a la rue Blondel. Or, dans la rue Blondel, y avait une demoiselle. Elle avait l’uniforme que porte la profession : une jupette ultra-courte et puis un boléro ayant peine à cacher un soutif en dentelle deux tailles trop étroit. Elle se postait toujours en haut de ses trois marches, dans le creux d'une porte. On aurait dit un peu comme une pauvre madone dessus son piédestal.
Elle s’appelait Lucienne,... >Voir plus