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EAN : 9782840968122
236 pages
Parigramme (07/03/2013)
3.63/5   28 notes
Résumé :
Paris, décembre 1924. Un crime est commis rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie dont la mise en scène intrigue les enquêteurs. Il est suivi d un autre puis d un troisième, tout aussi étranges. Les victimes n ont pas de rapport apparent entre elles et la police ne dispose d aucun indice si ce n est que le meurtrier s inspire manifestement du tableau de Max Ernst, Au rendez-vous des amis. La toile est un portrait de groupe des principaux animateurs du courant surréaliste... >Voir plus
Que lire après La mort n'a pas d'amisVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Pour une fois, je précise la date de parution car j"ai eu la surprise et la joie de recevoir,envoyé par la maison PARIGRAMME que je remercie il y a quelques semaines, sans que je l'aie demandé, le nouveau roman de Gilles Schlesser. Vous pensez bien que je ne pouvais qu'être excitée étant donné l'excellent souvenir que m'a laissé son précédent roman "Voyelles mortelles".

Je retrouvais Oxymore Baulay, tout allait bien....Eh! Pas si vite!! Non, ce n'est pas Oxymore Baulay mais Camille Baulay,dite Oxy pour les intimes.Nous ne sommes pas de nos jours mais en 1925...Voilà qui commençait bien et aiguisait ma curiosité car pour une fois, il n'y a pas de personnage récurrent mais un nom récurrent. Et un tel patronyme ne peut que vouloir dire filiation ...Cette Camille serait donc la grand mère de notre Oxymore Baulay.

Nous voilà donc en 1925. Des meurtres sont commis , mis en scène , comme sortis d'un tableau de Max Ernst" Au rendez vous des amis"
Nous sommes en pleine période surréaliste et je suis sûre que des noms comme André Breton, Louis Aragon, Paul Eluard, Jacques Prévert, Salvator Dali pour ne citer que quelques uns de ces artistes engagés dans un mouvement qui remet en question l'art et la société ,qui emploient de nouvelles techniques d'écriture ou de peinture comme l'écriture automatique, ces noms, donc, ne vous sont pas inconnus.

L'histoire..Camille Baulay est journaliste et de ce fait appelée quand un crime est commis pour qu'elle puisse en avoir la primeur par le commissaire Gardel avec lequel elle a des rapports privilégiés. Camille est la femme qui fait rêver par son audace, son indépendance, sa liberté de ton et de vie.Ne pas oublier l'époque...Elle est la maitresse secrète, évidemment, de Blanche ,femme du député Dieuleveult. Elle est un paradoxe à elle toute seule et c'est ce qui fait son charme et capte le lecteur.

Pour les besoins de l'enquête, les meurtres se succédant un peu trop au goût des policiers et des élus, elle plonge chez cette bande de personnes bizarres , les Surréalistes, les premiers à être soupçonnés évidemment. N'ont ils pas publié une nouvelle revue "La révolution surréaliste" dans laquelle on peut lire:

Nous sommes nés pourris dans le corps et dans l'âme,nous sommes congénitalement inadaptés;supprimez l'opium, vous ne supprimerez pas le besoin du crime,les cancers du corps et de l'âme, la propension au désespoir,le crétinisme-né,la vérole héréditaire, la friabilité des instincts,vous n'empêcherez pas qu'il n'y ait des âmes destinées au poison quel qu'il soit" signé par un certain Antonin Artaud? .Ne disent ils pas que " le véritable surréalisme consiste à descendre dans la rue armé d un revolver pour tirer sur les passants"

Et c'est ainsi que nous voyons vivre ces grands Hommes ..Imaginez! Vous allez avec Camille chez Paul Eluard ou Louis Aragon. Vous êtes sous le charme de Robert Desnos , tout comme Camille ...Hehehe...De là à penser que Oxymore Baulay de 2010 , journaliste également, je vous le rappelle, est le petit fils de....Non, tout de même pas... mais...

Voilà que Blanche est assassinée, également à la manière surréaliste, et, cette fois, tous les indices convergent vers Camille qui n'a plus qu'à disparaître et se mettre à la recherche de l'assassin ou des assassins...

Je sais que je ne vous parle pas trop de l'intrigue qui , comme pour "Voyelles mortelles", est extrêmement bien menée. L'intérêt que j'ai porté à ce roman est pour le monde dans lequel nous évoluons.Tout est prétexte à approfondir les connaissances sur ce mouvement qui a marqué son temps. Chaque citation est vraie, c'est sur un véritable travail de recherche qu'est basé le roman, et ce dès le titre! La véritable citation est : "La mort n'a généralement pas d'amis sincères" et est de Alexandre Vialatte , journaliste et écrivain du début du XXeme siècle.

Gilles Schlesser, érudit, esthète, amoureux de Paris qu'il nous fait découvrir comme Woody Allen nous l'a fait voir avec son" Minuit à Paris" et les rencontres avec d'autres monstres sacrés de la littérature et de la peinture, nous entraîne et nous fait entrer dans ce petit cosmos d'extra terrestres qui font peur , nous fait assister à des réunions , à une séance d'écriture automatique ou rêve éveillé avec Desnos, à la création d'un cadavre exquis, le premier semble t il.

Il nous montre l'Ego parfois démesuré de certains, les faiblesses des autres,les mesquineries, les rivalités entre eux. Il m'a incitée à me documenter tout en ne négligeant pas l'aspect purement polar. J'ai jubilé en le lisant tout comme je jubile en vous en parlant.Je ne peux que vous dire de dévorer ce roman, lire ou relire ses "Voyelles mortelles" en attendant que paraisse un 3ème tome avec ,cette fois ci,un autre Bauley qui ferait le lien entre Camille et Oxymore, la boucle serait alors bouclée.

Un livre riche qui nous donne l'impression d'être plus cultivé avant qu'après , ma foi, ce n'est pas tous les jours que cela se produit.


Lien : http://passionsenpelemeledep..
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Surréalisme ? Vous avez dit « Surréalisme » ? Vous n'y connaissez rien, me dites-vous ? Bien, alors ce livre est fait pour vous. le groupe surréaliste parisien est ici au centre d'une enquête policière. Et l'auteur se fait le plaisir d'utiliser toutes les figures de rhétorique : oxymore, tautologie, anaphore, allusion et autre litote, célèbre pour sa tête. Sans parler de tous ces jeux de langages auxquels s'adonnaient les surréalistes : anagrammes, allitérations, rébus, calembours, contrepèteries, cadavres exquis. Vous voulez un exemple d'anagramme ? Avec les lettres composant Salvador Dali, Pablo Picasso avait trouvé l'anagramme : Avida Dollars.
Au fil des pages sont abordées quelques-unes des personnes importantes du groupe et de l'époque (les Années folles). Paul Eluard qui se débat dans une histoire d'amour à trois, avec le peintre Max Ernst et sa muse Gala. Oui, oui, Gala, le futur tiroir-caisse de Salvador Dali. André Breton, omnipotent, omniscient, omnivore et obnibulé par le pouvoir et la magie du hasard. Robert Desnos, poète transi d'amour et de peur. Louis Aragon que Breton déteste mais supporte parce qu'il a du talent et surtout de l'entregent.
Les influences (Sigmund Freud, Arthur Rimbaud, Karl Marx, dada), les reproches des détracteurs, les peintres liés aux écrivains sont également évoqués. Sans oublier les marginaux de l'époque : les drogués, les alcooliques, les apaches, les féministes, les gays et lesbiennes. Bref, nous sommes également devant un portrait du Paris de 1925.
Du coup, le quadruple assassinat, moteur de l'intrigue, passe un peu à l'arrière-plan, ce que certains amateurs de romans policiers regretteront. Mais pour la simple raison que le fil rouge de l'histoire est « Au rendez-vous des Amis », un tableau de Max Ernst (aujourd'hui conservé à Cologne), ce livre m'a séduit. Je le conseillerais à tous les étudiants que leur anthologie de littérature assomme. Rien n'est plus porteur que d'apprendre en s'amusant.
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Vous noterez ma manière toute personnelle de rédiger mes avis très largement en retard. Il faut dire que, contrairement à d'autres lecteurs, je n'avais jamais lu de romans de Gilles Schlesser, je ne connaissais pas grand chose en matière de peinture, n même de surréalisme… En revanche, je suis une grande lectrice de romans policiers, de romans historiques, je ferai donc avec mes compétences… littéraires.
Camille m'a fait penser au personnage de Louis Denfert, de Brigitte Aubert (l'art de se raccrocher à ce que l'on connaît) dont la compagne se nomme… Camille. Cette Camille Baulay, en revanche, n'a pas besoin d'un homme dans sa vie, et surtout pas pour prendre des décisions à sa place, ou prendre des risques inconsidérées. Elle y parvient très bien toute seule, et devrait surprendre les lecteurs qui pensent que les femmes des années 20 étaient toutes soumises et dociles. Camille assume ses choix, ses amours, même si ce n'est pas toujours évident (pas pour elle, pour ses partenaires) et doit faire avec le fantôme qui peuple ses nuits. On oublie trop souvent de nos jours le traumatisme laissé par la première guerre mondiale, et les conséquences, pas toujours négatives il est vrai, pour les femmes qui ont su prendre leur destin en main.
Autant dire que Camille et sa manie d'enquêter dérange, et pas seulement les policiers. Les rivalités qui déchirent les surréalistes, leurs petites méchancetés presque gratuites ne donnent pas d'eux une image reluisante. Nous sommes bien loin de la littérature ou de la peinture quand les préférences de certains les font écarter du mouvement sans ménagement.Bref, dans ce Paris des années 20, ils ne valent guère mieux que ceux qu'ils critiquent.
Cette intrigue me renvoie à un précepte qui m'est cher : il faut s'intéresser aux victimes et à leur vie pour découvrir le coupable. Nous ne sommes pas ici dans une intrigue où la surenchère de cadavres sert de prétexte à une course contre la montre pour arrêter un tueur et où l'identité des victimes devient secondaires. le mobile du crime, fort ou léger, puise sa source dans leur passé – ce qui ne veut pas dire que le meurtrier se trouve excusé, loin s'en faut.
Après cette découverte, je compte me lancer prochainement dans la lecture de Mortelles voyelles.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Un crime est commis en plein Paris. La disposition du corps est particulièrement soignée, elle est la copie de la pose d'un des personnages du tableau surréaliste « Au rendez-vous des amis » de Max Ernst.
La journaliste Camille Baulay et le commissaire Gardel enquêtent chacun de leur côté. Et ses investigations mènent notre reporteur à entrer en contact avec des membres du mouvement surréaliste composé autres entre de poètes reconnus tels que Louis Aragon, Paul Eluard, Robert Desnos, Jacques Prévert, André Breton son fondateur et bien d'autres encore. Une belle brochette de bons parleurs ces messieurs, l'assassin se cacherait-il parmi eux ?
Et bien voilà, un roman policier que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir avec deux héros fort attachants. Je me suis plongée avec ravissement dans ce Paris de 1920 à redécouvrir le surréalisme en côtoyant des grands poètes français en compagnie de notre reporter.
Une femme émancipée cette journaliste, bien en avance sur son époque, libre d'aimer à sa guise ou de vivre sa vie comme elle l'entend. Nullement femme au foyer comme beaucoup à cette époque car rappelons-le l'histoire se déroule entre les deux guerres où d'ailleurs les fiacres à chevaux laissaient progressivement place aux voitures à manivelle.
La première partie du roman est davantage axée sur le mouvement surréaliste et ses membres, l'enquête piétine mais à partir de la seconde moitié du livre tout s'accélère et l'enquête reprend ses droits. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant à mener l'enquête avec l'inspecteur Gardel ou avec Camille qui déambule dans les rues de Paris à bord de sa Citroën Trèfle.
Un roman policier qui sort un peu des sentiers battus je trouve, il y a bien crime et enquête mais pas que, il nous plonge aussi dans un milieu artistique et culturel où l'auteur redonne vie à quelques grands auteurs et les références historiques se succèdent à foison et ce, pour ma plus grande joie ; très belle découverte livresque.
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Un polar à la sauce surréaliste, je dis pas non, moi, lecteur ! ‘faut dire, j'avais pas l'âge de coucher que je rêvais déjà de mettre Desnos dans mon lit et je savais pas encore me battre que j'aurais mis des baffes à Breton. Mon foie était pas encore formé que je buvais déjà cet infect mandarin-curaçao, alors cette petite escapade dans le Paris d'entre-deux-guerres, souvenir ramené de ma visite aux Catacombes, ça a été une parenthèse vintage bien savoureuse…

Attention, lecteur, je dis pas que ça plaira à tout le monde. Ce petit air désuet et cette tonalité un tantinet ironique à prendre au degré trois de l'écriture, ça peut en refroidir plus d'un, mais moi, j'avoue, j'ai adoré revêtir mon petit bibi et traîner mes guêtres dans les vapeurs chanelisées numéro 5.

Alors, t'en veux, du cadavre exquis ? C'est par ici que ça se passe, lecteur. On tente d'élucider des meurtres en série à la mise en scène très surréaliste et, au passage, on a droit à un véritable portrait du Paris de l'époque, le beau et le mondain, le rance et le marginal en prime. Et c'est pas tout, y paraît que deux autres opus m'attendent sagement sur les étagères poussiéreuses d'une vieille librairie : j'enfourche ma petite Trèfle orange et j'y cours !
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
– Merci pour la primeur.
– C’est un plaisir, fillette. Je suppose que tu as déjà trouvé ton titre ?
– Oui. « Au rendez-vous avec la mort », qu’est-ce que vous en pensez ?
Le patron du café tend l’oreille. Parfait. Rien de tel qu’un bon meurtre pour attirer les curieux et faire marcher le commerce.
– Pas mal, pas mal, répond Gardel. Tu m’appelles au Quai lorsque tu as rédigé ton article ?
Camille lui adresse un sourire figé. Certainement pas. Aucun besoin d’un correcteur. Elle parcourt les rides, les poches sous les yeux, les cheveux gris. Elle le trouve fatigué, il travaille trop. Pas de femme, pas d’enfants, il n’a que son métier pour ne pas sombrer dans un pessimisme sans fond. Et elle, quand il veut bien.
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Elle avait encore rêvé des "quatre sans cous". Comme chaque nuit. Les têtes sur la table portaient toutes un Stylomine caché derrière l'oreille droite. Le juge était furieux : comment allait-on faire pour leur couper la tête ?
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Camille se réveille en sursaut, hoquette en reprenant ses esprits. La forme emmitouflée à sa droite respire paisiblement, ne laissant apparaître hors des draps qu’une vague de cheveux blonds répandue sur l’oreiller. Elle se lève précautionneusement, s’enveloppe d’une couverture et titube dans la pénombre en direction du combiné qui poursuit sa plainte à l’autre bout du studio. Un coup d’œil à la pendulette : six heures et demie. Il n’y en a qu’un qui puisse l’appeler à une telle heure.
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De retour au studio, Camille hésite à se recoucher. Écrire ou faire l’amour ? En chemin, rue de Rivoli, elle s’est arrêtée dans une boulangerie, tant pour se réchauffer qu’en prévision du petit déjeuner.
– C’était quoi ?
Deux poings et deux yeux sur le même plan semblent posés sur le bord de la couverture. Camille se déshabille, se glisse dans le lit.
– Un meurtre dans le Marais. Plutôt étrange. Un peu… théâtral.
– Tu es gelée, viens, je vais te réchauffer.
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Blanche attire Camille contre elle, pose ses lèvres contre sa bouche et ferme les yeux. La main de son amie caresse son genou, remonte vers la hanche, s’empare du sein gauche puis redescend vers le ventre. Blanche râle de bonheur, remonte complètement drap et couverture au-dessus d’elle, une vraie petite maison.
Une demi-heure plus tard, deux têtes blondes réapparaissent. Radieuses et épuisées. Camille se penche vers la table de nuit, cherche ses cigarettes.
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Vidéo de Gilles Schlesser
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