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Critique de lecassin


Éric-Emmanuel Schmitt nous a habitués, dans son théâtre à des rencontres insolites, pour ne pas dire improbables… « le visiteur », » Hôtel des deux mondes »… Mais là, avec « La trahison d'Einstein », il y va un peu fort : Albert Einstein se lie d'amitié pour un vagabond plus ou moins alcoolique ! Et pourquoi pas , finalement… deux paumés dans leur vie, en fait.

On l'aura compris, voilà une rencontre bien commode pour exposer les théories pacifistes et les questionnements intérieurs d'un « génie » encensé par tous, au moment où sa découverte ouvre la voie aux plus grands massacres d'êtres humains jamais perpétrés sur cette Terre.

« La trahison d'Einstein », une pièce (si c'en est vraiment une dans la mesure où elle est divisée en chapitres et ou les didascalies apparaissent comme du texte…), une pièce (si, si, c'en est bien une) qui fut donnée (la preuve…) pour la première fois au « Théâtre Rive-Gauche » le 30 janvier 2014, mise en scène par Steve Suissa, et interprétée par , pour les rôles principaux : Francis Huster (Einstein), et le génial Jean-Claude Dreyfus ( le vagabond).

Il me tarde d'aller voir ça a Bordeaux, si jamais une tournée provinciale devait se mettre en route : un texte n'est jamais aussi fort que lorsqu'il est dit avec talent.
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