Pour une néophyte dans le monde du jeu vidéo comme moi, ce livre peut sembler complexe. Mais à part qu'il a été assez long à lire pour moi, je l'ai trouvé assez intéressant. Mon conjoint étant fan de jeu vidéos, je connaissais certains jeux de noms et les informations que j'ai obtenu grâce à ce livre m'a permis de beaucoup discuté avec lui d'un sujet qu'il aime. le livre est très bien écrit, il nous plonge particulièrement bien dans le domaine des studios de jeu vidéo. L'auteur nous présente comment cela fonctionne. Je me suis dis que je n'aimerais pas travailler dans ce domaine. Les designers et développeurs sont des passionnés et il en faut de la passion pour se faire virer, voir son studios fermés, etc., le tout plusieurs fois dans sa carrière. La stabilité n'existe pas, mes déménagements sont intempestifs. En soit, j'ai trouvé que l'auteur aurait pu faire un parallèle avec le marché du travail global américain (même si il y a quand même plus de stabilité). Grâce aux diverses histoires narrées par l'auteur, on suit l'évolution de l'industrie vidéoludique et pose des questionnements sur comment celle-ci devrait ou pourrait se transformer pour être plus éthique, plus humaine. Je conseille ce livre pour les passionnés de jeux vidéos qui seront ravis de voir les dessous de cette industrie et qui verront que ce n'est pas aussi rose qu'ils aimeraient. Pour les non passionnés comme moi, c'est un livre intéressant qui mérite d'être lu pour être plongé dans un domaine plus si nouveau que ça et qui végète entre l'art et l'industrie, un peu comme Hollywood d'ailleurs.
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La toxicité des pratiques dans l'industrie vidéoludique (harcèlement, sexisme, etc.) est très documentée, mais c'est à une autre face noire, moins connue, que s'intéresse cet ouvrage particulièrement vivant.
Lire la critique sur le site : LesEchos
Dans son recueil de témoignages, ce spécialiste du secteur gaming raconte les histoires tourmentées des salariés de certains studios de jeux vidéo nord-américains. [...] Les parcours sont différents pour chacun des témoins, mais la conclusion est toujours la même : des licenciements abusifs et une industrie qui se pervertit.
Lire la critique sur le site : Culturebox