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EAN : 9782253937883
224 pages
Le Livre de Poche (01/03/2023)
3.84/5   344 notes
Résumé :
Après des années d'absence, Jacky Toudic est de retour à Besançon pour s'occuper de sa mère malade d'Alzheimer. Les vieux souvenirs et copains resurgissent. Les vieux travers aussi. En effet Jacky ne gagne pas sa vie comme les honnêtes gens. Son métier : faire Mathieu Kassovitz. Car Jacky est son sosie parfait, et vu que Jacky est escroc, ça fait un bon combo. Depuis des années, se faisant passer pour l'acteur, il monte des arnaques très lucratives. Ce retour au ber... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (93) Voir plus Ajouter une critique
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Les fans de Jacques Brel, nostalgiques de Vesoul et de J'arrive, ou les lecteurs de Pierre Pelot liront avec jubilation le dernier opus de Jacky Schwartzmann qui les mène à Besançon avec Mathieu kassovitz préparant le tournage, tant attendu, du second épisode de la Haine.

Bonne occasion pour découvrir le fabuleux destin de Jacky Toudic, sosie de l'acteur, de retour en Franche-Comté, pour aider sa maman atteinte de la maladie d'Alzheimer. Plongée nostalgique dans les années 80/90, au volant d'une Ford Taunus dotée de fauteuils en cuir, en découvrant les méandres du Doubs et une ville qui a peu changé depuis que Victor Hugo y est né….

Précisons que L'ordre et la Morale ne sont pas les guides de Jacky et que cet accro de Tinder ne se contente pas de regarder les femmes tomber … au risque de se perdre dans les pièges de Zoé et les tromperies d'Airbnb et se faire plumer par plus diabolique que lui.

Je me suis régalé avec ces deux cents pages qui se lisent en 2h06, le temps d'un trajet TGV entre Besançon et Paris, entre le bas monde des Beaufs et l'univers huppé des Bobos, entre la Cancoillotte et les meringues du neuvième arrondissement.

Mais cet agréable divertissement, écrit par un véritable Rabelais, aborde, sans avoir l'air d'y toucher, les enfers de notre époque en révélant les brutalités d'un EHPAD, de la morgue et du crématorium et le romancier, fin connaisseur de l'univers cinématographique, s'inscrit dans la lignée d'Edgar Hilsenrath, auteur de l'inoubliable autobiographie « le Nazi et le Barbier ».
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C'est parce que l'une de mes librairies préférées recevait l'auteur ce weekend que je me suis penchée sur ce roman. Je ne connaissais l'auteur ni d'Eve ni d'Adam, mais la pub était si bien faite que je me suis laissée tenter. Et j'ai franchement bien fait.

Moi qui aime l'humour noir et caustique, j'ai été gâtée. Ça pique, ça fait sourire, ça détend et ça dépayse. Enfin pas tout a fait parce que l'intrigue se passe chez moi... Et puis là où se situe l'appart de haut standing ou habite Jacky le sosie de Mathieu kassovitz, c'est là où est placé mon ophtalmo.... Et puis un tel roman ça fait revivre les troquets. Il rend hommage aux gens de la nuit, aux figures emblématiques de la ville, aux libraires a sa façon... Enfin a tout ce que j'aime dans cette ville.

L'histoire en elle même est sympa, mais décapante a souhait.

J'aime cette écriture incisive, ce monde burlesque.
Un énorme moment de bonheur en ce qui me concerne.
Je vais bien sûr me plonger avec avidité sur les autres romans de l'auteur.
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Alors que Jacky Toudic a retrouvé Marseille avec plaisir, qu'il est sur le point d'atteindre son unique objectif, son projet ultime, disposer de cinq cent mille euros pour une retraite dorée dans les îles Marquises, voilà que sa mère, d'une certaine façon, vient tout foutre en l'air. Il vient d'apprendre qu'elle est atteinte de la maladie d'Alzeimer et que le mieux pour elle, d'après le gériatre Paul Jeune qui vient de l'appeler, serait d'être placée en maison, c'est à dire en Ehpad, pour la somme de trois mille euros par mois. Impensable pour lui d'abandonner sa mère à son sort. Il va donc devoir retourner à Besançon, cette ville qu'il a fuie il y a presque vingt-cinq ans parce qu'il y étouffait !
Jacky s'était trouvé un job très particulier. En parfait sosie de Mathieu Kassovitz et surtout en parfait escroc qu'il est, il se faisait passer pour l'acteur et montait ainsi des arnaques très lucratives, réussissant à extorquer de l'argent à des pigeons assez crédules pour investir dans la production cinématographique.
Il profite donc de son retour au bercail pour revoir quelques potes bisontins, draguer des femmes sur Tinder en se faisant passer pour l'acteur, faire une petite pause en quelque sorte… C'est alors la rencontre avec la belle Zoé, cette avocate fiscaliste aux dents longues. Entrant dans son jeu, elle l'incite à monter un coup beaucoup plus lucratif, mais évidemment, plus risqué…
J'avais beaucoup apprécié Pension complète de Jacky Schwarzmann, aussi, quand j'ai vu Kasso sur les rayons de ma médiathèque, n'ai-je pas hésité et bien m'en a pris car j'ai passé encore un excellent moment avec cet auteur.
Difficile de ne pas être captivé par toutes les situations rocambolesques et cocasses dans lesquels se démène notre héros et séduit par le regard acéré que porte Jacky Schwartzmann sur ses contemporains. L'auteur, en effet n'a pas la langue de bois et n'hésite pas à tirer à boulets rouges sur tout ce qui l'exaspère dans notre société et les sujets ne manquent pas. Mais il n'a jamais « La haine » ; pas de méchancetés mais beaucoup de moqueries et de railleries.
Quand la mère de Jacky Toudic, cette ancienne prof de philo, atteinte d'Alzheimer bien prononcé, prend Nagui pour son fils et son fils pour son médecin, cela donne lieu à quelques dialogues particulièrement jouissifs.
Sans être arrogant et en aucun cas donneur de leçons, il appuie de façon souvent irrévérencieuse, là où ça fait mal ! C'est toujours de manière humoristique, inattendue et très drôle qu'il brosse les portraits de ses personnages ou de la société, chacun en prenant pour son grade.
Si Jacky Toudic est le sosie parfait de Mathieu Kassovitz, d'où le titre Kasso, il est également un peu le clone de Jacky Schwartzmann. Comme lui, à la cinquantaine, il revient sur sa terre natale Besançon où il est né et où il a grandi.
Si Kasso est un polar absolument décapant, souvent déjanté, avec de nombreux rebondissements inattendus, il est aussi un fabuleux roman, drôle, caustique, à l'écriture rythmée, incisive, dans lequel on va de surprises en surprises, la plus grosse, dans tous les sens du terme étant pour la fin !

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Babélio est décidément une mine de découvertes via sa communauté de lecteurs et leurs avis !
Pour commencer il y a eu ces billets enthousiastes, et puis il y a eu aussi (et surtout) le fait que l'intrigue se déroulait à Besançon, il n'en fallait pas plus pour le bisontin de naissance et de coeur que je suis ;)
J'ai doublement aimé cette lecture car disons le, il s'agit d'une super bonne pioche, le style de l'auteur m'a procuré exactement tout ce que j'aime dans une lecture et pour commencer une "accroche" rapide.
Le scénario n'est certes pas original mais il est parfaitement rythmé et d'une vraisemblance réelle sans aucune outrance, les personnages sont d'un naturel parfait et... Bon d'accord, il sont aussi un peu "barrés" mais juste ce qu'il faut.
J'adore ce type de scénario conté à la première personne avec un narrateur lucide sur lui-même et pratiquant volontiers l'auto-dérision, j'adore cet humour omniprésent et ce regard pertinent sur la société, j'adore cette façon de semer quantité d'anecdotes philosophico-sociétales qui nous instruisent en passant l'air de rien.
Jacky Toudic est le parfait sosie de Mathieu kassovitz, ce qui constitue son gagne-pain et sa principale activité. Après des années d'absence, il est de retour à Besançon car on peut être un escroc et avoir une conscience malgré tout, or il se trouve que maman Toudic est malade...
J'ai adoré retrouver Besançon raconté par l'auteur qui est lui-même natif de cette ville, aimé retrouver tous ces noms de rues ou d'endroits que j'ai connus, ces anecdotes autour des quelques célébrités locales (il y en a eu !) et cette ambiance si bien décrite accent en prime :)
J'aurais aimé que l'auteur parle du magasin "Surboum", qui fut longtemps le seul magasin de "farces et attrapes" de l'Est de la France et pour lequel j'ai gardé une affection particulière...
Voici donc un avis résolument positif même s'il est en partie très partial :)
Cette histoire dont je dis bien sûr le minimum est bigrement bien menée, crédible et suffisamment surprenante pour vous emmener au bout sans que votre intérêt se relâche, pour ce qui me concerne c'est 5 étoiles parfaitement méritées, je suis ravi de cette rencontre avec Jacky Schwartzmann.
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Un sosie nostalgique.
Jacky Schwartzmann n'a pas la plume triste et côté volatile, son personnage aime plumer les bons gros pigeons, ceux qui sont prêts à dégainer le carnet de chèques comme un exhibitionniste ouvre son imperméable dès qu'on leur fait miroiter un sésame pour le septième art et la célébrité. Miettes de pains devant les bancs publics et miroir aux alouettes dans la volière.
Jacky Toudic, son avatar, est aussi le sosie de Mathieu Kassovitz, une ressemblance comme deux gouttes d'eau et trois verres de Suze, qui lui permet de vendre des projets de films bidons à des entrepreneurs de province.
Problème, il doit interrompre son tour de France de la magouille et rentrer dans sa ville de Besançon pour s'occuper de sa mère qui a la mémoire qui flanche. Ses principaux symptômes : elle le prend pour son toubib et se persuade qu'un animateur célèbre de jeux télévisés est son fils.
Ce retour aux sources permet à Jacky Schwartzmann de nous raconter la jeunesse de son héros et la sienne par la même occasion, dans le Doubs. Comme Victor Hugo, l'auteur est né à Besançon. Pas évidente, la succession littéraire. Bon, on comprend vite que si tous les chemins mènent à Rome, ce n'est pas le cas de la préfecture de la cancoillotte. Néanmoins, les pages consacrées aux vieux copains dans les deux trois spots incontournables de la ville sonnent justes, comme un vieux tube sur Radio Nostalgie dans un embouteillage, au retour de la transhumance estivale.
Comme le romancier a plus d'appétence pour les bras cassés que pour les misérables, son sosie rencontre une ravissante créature, dotée d'autant de scrupules que lui, et elle l'incite à changer de braquet dans la vente de rêves hors de prix. Les yeux deviennent plus gros que le ventre, ce qui est souvent le cas, quand le cerveau migre dans le pantalon et à la manière du Dortmunder de Donald E Westlake, le plan ne va pas manquer d'accrocs.
Dans la famille décomposée de la comédie policière, Schwartzmann brille une nouvelle fois par l'originalité de son histoire. Sans prendre grand-chose au sérieux, il ne se cantonne pas à des clones fatigués qui chantent en playback dans des costumes à paillettes trop serrés.
Il n'a pas la vanne gratuite ou discount et si le dénouement est un peu prévisible au royaume des arnaqueurs, je me suis laissé porter par le rythme léger du récit.
Kasso ne devrait pas trop avoir la haine s'il lit ce roman amusant.






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critiques presse (6)
Telerama
24 juillet 2023
Blague à deux balles et écriture décapante, l’auteur détourne les codes du polar et parvient à faire rire sans mépriser.
Lire la critique sur le site : Telerama
Telerama
17 avril 2023
Derrière la blague à deux balles et l’écriture décapante, Jacky Schwartzmann parle aussi d’une société bancale, avec ses losers parfois débrouillards et ses petites villes désertées.
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
29 mars 2021
Combats et métamorphoses d'une femme, portrait d'une mère et repentance ; "Kasso", un polar malin et gouailleur tout en humour noir ; En URSS avec Gide, des errements des intellectuels de 1924 à 1937.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Telerama
22 mars 2021
Le dernier ouvrage de Jacky Schwartzmann, Kasso, vient de paraître. Cet auteur de polar n’est pas le seul à être à la fois formidable styliste et observateur narquois, ayant pris le parti du rire. La preuve par cinq plus lui !
Lire la critique sur le site : Telerama
LeSoir
01 mars 2021
Avec « Kasso », Jacky Schwartzmann nous entraîne dans les aventures d’une bande de pieds nickelés rassemblés autour du sosie de Mathieu Kassovitz. Un polar plein de surprises et d’humour vache.
Lire la critique sur le site : LeSoir
OuestFrance
19 février 2021
Avec Kasso, Jacky Schwartzmann nous emmène dans le sillage d’un sosie de l’acteur. Un polar réjouissant.
Lire la critique sur le site : OuestFrance
Citations et extraits (64) Voir plus Ajouter une citation
Dans le quartier, nous nous sommes amusés, Zoé et moi, d'une rue que nous avons rebaptisée « la rue la plus bobo du monde ». Rendez-vous compte. Deux pâtisseries se font face, l'une dont la spécialité est le chou à la crème, l'autre la meringue. La première ne prépare et ne propose que des choux à la crème, avec des parfums qu'on n'imagine même pas ; la seconde ne prépare que des meringues, avec un délire similaire sur les variantes. Et il y a des gens sur terre – à Paris en fait... qui sont clients et estiment que, attention, une meringue, c'est pas juste une meringue, c'est un art, une religion, mieux encore : une cosmogonie. Ils votent EELV, sont parfaits et en connaissent un rayon en développement durable. Ils pensent qu'il faut multiplier les voitures électriques et fermer les centrales nucléaires. Ils pensent que l'éolien doit être étendu en province. Ils pensent que l'on pourrait recouvrir les toits des maisons de panneaux solaires, sauf à Paris, parce que Paris c'est trop beau. Ils estiment qu'il faut baisser la consommation d'énergie et chargent, chaque nuit, deux MacBook Air, deux tablettes et quatre smartphones. Ils pensent qu'en Allemagne, vraiment, tout est bien. Berlin est leur capitale mondiale du bien-être, New York étant reléguée au rang des villes beaufs, puisqu'il faut prendre l'avion pour s'y rendre. Et l'avion, c'est mal. Eux l'ont pris des centaines de fois, ils ont voyagé partout, parcouru le monde de long en large et ont un bilan carbone proche du taux de gamma-GT dans le sang de Charles Bukowski. Mais maintenant, ils se sont ressaisis. Réveillés. Alors ils te demandent à toi, petit gilet jaune, de ne pas trop te déplacer, de ne pas fumer, de te débarrasser de ta vieille Citroën Xantia diesel et de consommer local. Il n'y a rien dans ta campagne abandonnée à la 2G ? Encore mieux. C'est tellement important que l'on arrête tous de consommer à outrance et que je puisse manger mes petits choux à la crème parfumés aux pissenlits.
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J’ai toujours été persuadé que l’on ne pouvait pas devenir corse. Il est des statuts qui ne se décrochent pas, c’est comme être marseillais, breton ou lyonnais. C’est le problème des identités fortes. Ce que je comprends, d’ailleurs.
Il y a en arrière-plan une sorte de gymnastique de l’éthique, que l’on pourrait résumer ainsi : si tu veux devenir ce que je suis, c’est que tu ne respectes pas ce que tu es, et si tu ne respectes pas ce que tu es, tu ne mérites pas de devenir ce que je suis. Enfin, quelque chose dans ce goût-là. Et c’est vrai. Les types qui ne sont pas fiers de leur ville ou de leur pays, qui errent apatrides de l’âme et qui se cherchent un autre drapeau, une autre histoire, eh bien ces types sont des chiens culturels. Parce que toi, c’est toi, c’est pas l’autre qui brille, là-bas, à mille kilomètres de toi et des tiens.
On n’est pas corse, on naît corse.
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Financièrement, je n’existe pas en France. Je suis un fantôme. Je ne touche que de l’argent en cash que j’envoie dans de bêtes enveloppes, par coursier, dans la capitale du grand-duché. C’est si simple, de dissimuler des capitaux au Luxembourg. Je paie une société fiduciaire qui réceptionne mes plis et injecte l’argent liquide dans le système bancaire international. Ainsi, à l’instar de tout bon salopard en col blanc qui se respecte, je suis à la tête de quelques sociétés écrans, grâce auxquelles mon argent ne m’appartient pas.
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Marco Lapoutre a été victime d'un arrêt cardiaque en pleine démonstration de ses talents, au salon de l'érotisme qui se tenait à Micropolis. Il est mort hier, ici, et c'est aussi incongru que si Rocco Siffredi décédait à Soustons, dans les Landes. Hugo est né à Besançon, il n'y est resté que les vingt-quatre premières heures de sa vie et la ville en fait tout un foin, avec sa maison natale transformée en musée et force marketing autour de cet accouchement miraculeux. Feront-ils quelque chose de similaire pour la mort de Marco? "Le roi de la levrette a choisi de casser sa pipe dans la capitale du Doubs, nous devons absolument exploiter ce coup du sort!" J'aimerais tellement être présent au conseil municipal, le jour où ils en débattront.
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Le soir venu, alors que mes parents faisaient la queue devant mon lit pour me souhaiter bonne nuit, j'ai demandé le caillou à papa. Il l'a sorti de sa poche, me l'a rendu et, comme je le glissais sous mon oreiller, m'a demandé:
— Bon alors Jacky ? Tu veux en faire quoi ?
— Je vais arnaquer la petite souris.
Je ne me souviens pas comment l’idée m’est venue. Le plus intéressant dans ce genre de situation, c’est la réaction des parents, ce qu’ils font d’un truc pareil. Parce qu’on ne déconne pas avec la petite souris. Elle charrie trop de choses, supporte la psyché des minots, et y toucher, la pervertir ou la dénigrer, c’est porter atteinte à l’enfance elle-même. Mes parents ont fait le choix de glisser une pièce de cinq francs sous ma tête à rêves. D’une certaine façon, ces cinq francs représentent les premiers sous de mon pactole actuel. Avec cette pièce, Maman et Papa ont rendu l’arnaque magique à mes yeux.
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Vidéo de Jacky Schwartzmann
Existe-t-il des règles pour écrire, ou faut-il improviser au fur et à mesure ? Les règles de la dramturgie formatent-ils les histoires, ou, au contraire leur permettent elles de se renouveller ?
4 auteurs francophones explique comment ils utilisent certains principes pour construire leurs histoires : Jacky Schwartzmann (auteur de romans noirs), Susie Morgenstern (autrice jeunesse), DOA (auteur de polar), Franck Thilliez (auteur de thrillers).
00:09 Jacky Schwartzmann 00:44 Susie Morgenstern 01:40 DOA 03:20 Franck Thilliez 04:53 Susie Morgenstern 06:23 DOA
Réalisé en avril 2023 à Quais du Polar et à La Fête du Livre Jeunesse de Villeurbanne
Interview & Caméra : Lionel Tran & Amoreena Winkler - Montage : Ryu Randoin.
QUI SOMMES-NOUS ? Les Artisans de la Fiction sont des ateliers d'écriture situés à Lyon. Nous prônons un apprentissage artisanal des techniques d'écriture et avons pour objectif de rendre nos élèves autonomes dans l'aboutissement de leurs histoires. Pour cela nous nous concentrons sur l'apprentissage et la transmission des techniques de base de la narration en nous inspirant du creative writing anglophone. Nos élèves apprennent en priorité à maîtriser : la structure de l'intrigue, les principes de la fiction, la construction de ses personnages… Nous proposons également des journées d'initiation pour vous essayer au creative writing et découvrir si cet apprentissage de l'écriture de fiction est fait pour vous. Retrouvez tous nos stages d'écriture sur notre site : http://www.artisansdelafiction.com/
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