J'ai refermé la dernière page de ce livre et me suis accordée quelques jours de réflexion…
457 pages… c'était sûrement trop long pour moi car j'ai mis un certain temps avant de m'intéresser vraiment à ce récit…
Je l'avoue, j'ai " survolé " des pages…par ci, par là…
Le roman débute en mars 1919 et s'arrête en avril 1941. C'est un parcours de 22 années ponctué par une cascade d'immersions dans le passé des différents personnages. Toute l'histoire se construit sur un long "pêle-mêle" de flash back sans aucune chronologie particulière. Les paragraphes se succèdent... l'auteur n'a pas jugé utile d'en préciser ni l'année, ni le lieu….
A nous lecteurs de s'y retrouver ! Pour ma part, ce genre de construction a fini par me lasser pour ne pas dire... m'étourdir. Déception aussi quant au suspens : il est lancé dès les premières pages puis il s'étouffe, s'étiole pour se ranimer sur les derniers paragraphes...
Je vais malgré tout conclure sur une note positive, il faut reconnaitre le talent indéniable d'écriture de Christiana Schwarz.
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Mais quel livre!!!! J'ai été happée dès le début et tenue en haleine jusqu'à la fin ! Une très très belle surprise !!
Il entre immédiatement dans la petite liste des livres que je recommanderais aux personnes cherchant un bon livre.
J'ai plongé dans l'histoire des personnages, et dans l'histoire, racontée habilement sur plusieurs périodes. le suspense tient jusqu'au bout. L'auteur sait perdre le lecteur. C'est son premier livre et je serai intéressée d'en lire d'autres si elle a poursuivi sa carrière d'auteur !
A lire sans hésiter pour ceux qui veulent être surpris!
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J'aime bien les romans avec des flash-backs et des secrets de famille mais là j'ai pas tellement accroché.
Est-ce que c'est parce que j'ai la sale habitude de lire les deux derniéres pages avant...et donc par conséquence je savais déjà le pourquoi du comment... bonne question...
Sinon, lecture fluide.
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Un livre qu'on m'avait conseillé et je n'ai pas été déçu. Une fois commencé j'ai eu un mal fou à le lâcher. Les personnages sont très touchants et on ne peut qu être ému par leur histoire.
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C'était un matin qui empestait le fumier, une odeur âcre, au début, lorsqu'elle pénétrait dans les narines, mais attirante et agréable comme celle d'un bon fromage à mesure qu'elle s'attardait dans l'air. L'école et sa cour de récréation étaient entourées de champs, tous fraîchement épandus et qui séchaient au vent chaud de septembre.