Un essai sur la peine de mort qui prend la forme d'une histoire: en 1937, donc en pleine période fasciste, se déroule le procès d'un homme qui a tué de sang-froid 3 personnes dont sa femme. On assiste parallèlement aux réflexions du juge qui préside ledit procès, ouvertement contre la peine de mort, et donc en proie à un terrible dilemme car la société fasciste prône la peine capitale comme la solution ultime, ce qui fait écho au titre lui-même selon l'adage fasciste qui stipule que, grâce à la peine de mort (entre autres), il est possible de dormir avec les
portes ouvertes.
Un livre très court, qui peut se lire vite, sachant que le style de l'auteur comporte beaucoup de phrases à rallonge.
À lire de toute façon.
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