Les oeuvres d'
Orion Scohy, c'est à n'y rien comprendre. Cela tombe bien, je n'ai rien compris à «
Volume ». Au-delà de quelques pages plus ou moins vaguement lisibles, le reste n'est que bouts de machins non identifiés, non identifiables, y compris au niveau de la syntaxe ou de la langue. Déroutant.