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Citations sur Vivre en ville en pleine conscience (14)

Toucher l'histoire d'une ville

La ville est un trésor d'endroits qui nous invite à faire appel à notre toucher ainsi qu'à notre vue et notre ouïe. Les jardins botaniques et les parcs publics sont des lieux qui s'imposent d'eux-mêmes. Mais les fontaines, les sculptures et les vieilles briques peuvent également nous offrir du plaisir sensoriel. Passer sa main dans un jet d'eau vif scintillant dans les rayons du soleil est un plaisir ludique et enfantin. Plus encore, nous réalisons cette action de tendre la main de manière instinctive, qui nous apporte un plaisir simple et nous permet également de nous ancrer davantage. (p. 67)
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J'ai souvent comparé la ville à un petit ami incroyable, mais inadapté : charmant, drôle, captivant, mais pas bon à marier. (...)Enrichissante, inventive, en perpétuelle évolution et infiniment sociale, la communauté urbaine créée une énergie inspirante qui m'a permis de toujours regarder vers l'extérieur plutôt que vers l'intérieur. Elle m'a permis de rester connectée au monde. (p. 9)
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Se créer des souvenirs d'âme

Observer les gens est une fenêtre donnant sur une réalité plus douce de la vie urbaine; une réalité dans laquelle tout ce dont nous avons besoin c'est d'un peu de temps pour la comprendre ou la ressentir. (p. 99)
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Passer sa retraite en ville

Pour ce monsieur [octogénaire, ancien ingénieur en génie civil à la retraite ], la ville donnait à ses jours de la hauteur et de la profondeur. (...)
Ce fut pour moi un rappel de la valeur des réseaux urbains, et de la chance que l'on a, en tant que citadins , d'être capables de gérer une multitude de communautés qui reflètent nos passions et participent à notre bien-être, particulièrement vital pour celles ou ceux qui vivent seuls. (p. 93)
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Un refuge pour les introvertis

La ville est un endroit où il est tout à fait admis de passer du temps seul. Indépendamment de tout le reste, les gens sont souvent tellement occupés dans leur vie que personne ne s'intéressera à vous et ne s'interrogera sur votre manière de profiter de la ville. (p. 104)
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Maîtrisez l'art de l'observation

Les transports publics nous offrent la liberté de regarder ce qui me manque cruellement à la campagne, où pour survivre, une voiture est aussi importante qu'une tenue imperméable. (p. 37)
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Respirer avec les arbres

Même si je suis bien enracinée dans la ville, je continue aujourd'hui encore à aimer m'appuyer contre un vieil arbre lorsque j'en croise un. Comme un grand-parent protecteur, les vieux arbres donnent l'impression d'être chaleureux et mystérieusement confortables malgré la rugosité de leur écorce. S'installer près d'un d'entre eux et se souvenir des générations de personnes qu'il a vues aller et venir et qu'il continuera à observer est une petite leçon de perspective pour les mauvais jours, et nous montre à quel point notre vie est brève dans l'ensemble, même comparée avec celle d'autres êtres vivants. (p. 18)
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Il vous suffit de penser aux tables dans un café très fréquenté pour apprécier la notion de vie urbaine en tant que rivière d'expérience. Les gens vont et viennent en permanence, pour retrouver des amis, parler affaires, lire un journal ou regarder la vie suivre son cours. (p. 44)
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Aimer l'espèce urbaine

Les villes sont des communautés qui nous tirent en dehors de nous-mêmes. Bien souvent, elles peuvent être des lieux qui portent leur diversité (...) non pas comme une menace, mais comme un insigne d'honneur, comme quelque chose d'indubitablement fondamental à son identité. La ville devient alors un environnement très positif auquel appartenir. (...) Il me semble évident que plus nous rencontrons de personnes, plus nous vivons de personnalités et de cultures , et plus nous avons de chance de comprendre la force de notre espèce sociale, et la réalité de notre interdépendance. (...) Nous sommes destinés à être ensemble. (p. 158-159)
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Construire une ville communautaire

Le partage est un mode de vie inévitable en ville, lorsque des millions de personnes cohabitent sur un morceau de terre relativement petit. Les piscines, les bibliothèques et les galeries d'art sont plus fréquentées que celles que l'on peut trouver à la campagne, et alors que la plupart des citadins vivant en appartement n'ont pas de jardin, les parcs publics sont le seul accès aux merveilles de la nature. C'est la vie en communauté au sens le plus large. (p. 143)
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