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Batman - Detective Comics tome 5 sur 7
EAN : 9791026816294
144 pages
Urban Comics Editions (01/02/2019)
4.08/5   6 notes
Résumé :
Tim Drake est vivant, mais où se trouve-t-il ? Enfermé dans une mystérieuse prison hors du temps, Red Robin devra faire un choix et réussir à échapper à son mystérieux ravisseur. De son côté, Spoiler poursuit sa quête de vengeance dons les rues de Gotham. Et l'énigmatique Anarky est bien décidé à lui venir en aide.
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Batman detective comics, Tome 4 : Deus Ex Machina (épisodes 957 à 962) qu'il est préférable d'avoir lu avant. Il comprend les épisodes 963 à 968, écrits par James Tynion IV, coécrits par Christopher Sebela pour les épisodes 963 & 964, dessinés et encrés par Carmen Carnero avec une mise en couleurs d'Ulises Arreola pour les épisodes 963 & 964, dessinés par Eddy Barrows avec un encrage d'Eber Ferreira avec une mise en couleurs d'Adriano Lucas pour les épisodes 965 & 966, dessinés par Alvaro Martinez et encrés par Raúl Fernandez avec une mise en couleurs de Jean-Francois Beaulieu & Tomeu Morey pour les épisodes 967 & 968. Ce tome contient également les couvertures réalisées par Eddy Barrows, ainsi que les couvertures variantes réalisées par Rafael Albuquerque.

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- Épisodes 965 à 968 - Il y a des années de la, un jeune Tim Drake avait assisté à un spectacle de cirque où il avait été emmené par son père. Au cours du numéro de trapèze, il avait assisté à un terrible accident qui avait coûté la vie au couple de trapézistes adultes, et dont seul leur fils Dick Grayson avait réchappé. Quelques années plus tard, le même Tim Drake avait constaté au travers de coupures de presse que Batman devenait de plus en plus violent et prenait de plus en plus de risques, alors que Robin n'était plus à ses côtés. Il avait alors réussi à effectuer la synthèse de tout ce qu'il avait pu absorber comme information et en déduire l'identité de Batman, ainsi que du premier Robin qu'il avait été solliciter pour rétablir l'équilibre de Batman. Au temps présent, Red Robin (Tim Drake) évoque tous ces souvenirs, alors qu'il est prisonnier d'une silhouette encapuchonnée qui l'interroge. Après la fin de l'interrogatoire, Batman surgit pour l'aider, mais ils sont interrompus par Doomsday.

Dans le futur, à Gotham, Batman s'en prend violemment à Anarky (Lonny Machin), l'abattant d'une balle dans la tête. Finalement Tim Drake et cette version d'un Batman du futur reviennent au temps présent. Red Robin doit avertir au plus vite les membres de l'équipe des chevaliers de Gotham (Gotham Knights) : Batwoman (Kate Kane), Clayface (Basil Karlo), Azrael (Jean-Paul Valley), Batwing (Lucas Fox), Orphan (Cassandra Cain).

Depuis 2 tomes, le lecteur a bien identifié le schéma narratif : James Tynion IV se focalise sur l'un des membres de l'équipe (surnommée Gotahm Knights dans ce tome), amène un nouvel ennemi, et les Gotham Knights doivent se défendre dans leur quartier général (Le Beffroi) pour l'assaut final. Cette nouvelle histoire ne déroge pas à cette trame. Elle présente toutefois quelques différences avec les précédents, dans la mesure où elle ne comprend que 4 épisodes et que 2 d'entre eux sont consacrés au personnage mis sous le projecteur : Tim Drake. le titre du récit Lonely place of living constitue le pendant de Lonely place of dying (réédité dans Batman : Un deuil dans la famille), histoire dans laquelle Tim Drake était introduit et accédait à la Batcave, mais sans certitude d'être pris en tutelle par Batman. Effectivement l'évocation du passé de Tim Drake, alors qu'il est prisonnier de Mister Oz, résume cette histoire, en reprenant les faits principaux, et en développant les motivations de Tim Drake, ainsi que la logique de Batman pour le prendre en apprentissage. Pour le lecteur familier de l'histoire initiale, le scénariste effectue un sans-faute, sachant en restituer la logique, les motivations des uns et des autres, avec une narration plus adulte que celle du récit datant de 1989. Comme dans les tomes précédents, James Tynion IV fait preuve d'une compréhension épatante du personnage qu'il met en scène.

En consacrant 2 épisodes à la situation de Tim Drake, le scénariste dispose de plus de temps pour faire s'exprimer sa personnalité. Effectivement, le lecteur se rend compte qu'il éprouve une forte empathie pour ce jeune homme fortement investi dans son activité de superhéros et qui en a déjà payer le prix cher à de nombreuses reprises. Cette empathie s'accroît encore avec l'identité du Batman du futur et ses motivations. Tim Drake se retrouve dans une situation intenable car le scénariste tire le meilleur parti du fait que ce Batman sait ce qui va arriver à Tim Drake dans les années qui les séparent. À l'opposé d'un artifice narratif utilisé comme facilité pour auteur en mal d'inspiration, ce Batman du futur apporte un éclairage désespérant sur le présent, sur les événements à venir, et il se sert de son savoir avec pertinence et efficacité pour neutraliser les actions entreprises contre lui, actions qu'il connaît à l'avance. du coup, le lecteur suit avec délectation les rencontres entre ce Batman et les autres membres des Gotham Knights dans le troisième épisode. Par contre, il grimace un peu quand il se rend compte que James Tynion IV a encore succombé à la facilité de terminer son chapitre avec un combat de grande ampleur dans le Beffroi au cours du quatrième épisode. Cette fois-ci, c'est toute la flotte d'avions de Batman qui est de sortie pour une attaque aérienne de grande envergure, confinant au ridicule.

Du fait du rythme de parution bimensuel, plusieurs équipes artistiques se succèdent pour tenir les délais. Ces 4 chapitres sont donc confiés à 2 équipes distinctes, celles qui alternent depuis plusieurs tomes. Comme précédemment, le lecteur reste impressionné par la bonne qualité graphique de ces épisodes. Pour les épisodes 965 & 966, Eddy Barrows se focalise plus sur les personnages que sur les décors. Adriano Lucas comble les arrière-plans avec des couleurs denses, réalisant des camaïeux sur la base d'un nombre de nuances restreint, mais très substantielles, établissant une ambiance palpable, masquant quasiment l'absence d'information sur les lieux dans lesquels se déroulent certaines scènes. Eddy Barrows joue avec brio sur l'ambiguïté des sentiments exprimés par les visages. Il exagère un peu ceux apparaissant sur le visage de Tim Drake, personnage étant encore un jeune homme et laissant transparaître ses émotions plus que des adultes comme Batman. Il dramatise les expressions sur le visage du Batman du futur, donnant plus de crédibilité à sa souffrance émotionnelle et donc à ses motivations.

Comme d'habitude, Alvaro Martinez épate plus le lecteur avec des dessins beaucoup plus denses en détail, en particulier en ce qui concerne les décors. À chaque séquence, le lecteur sait exactement où se déroule l'action et il peut regarder à loisir des lieux aussi différents que le synoptique informatique de surveillance du poste de commandement dans la Batcave, la décoration du café où Kate Kane papote avec Bette Kane (Flamebird), la vue depuis la baie vitrée du Beffroi, le métro aérien survolé par Spoiler (Stephanie Brown) pendant ses acrobaties, la serre où Alfred Pennyworth s'occupe des plantes, le système de transport reliant la Batcave aux sous-sols du Beffroi. Martinez s'avère tout aussi minutieux pour représenter les costumes des nombreux superhéros dans le détail, avec un encrage de précision réalisé par Raúl Fernandez. La mise en couleurs souligne le relief de chaque forme, et augmente le contraste entre les personnages et les décors pour que chaque élément ressorte bien par rapport aux autres. le seul inconvénient de pages aussi denses et précises est qu'elles font ressortir l'invraisemblance de l'attaque aérienne des 3 avions Batman en plein centre urbain.

Ce cinquième tome reste consistant par rapport aux précédents, avec une maîtrise extraordinaire des caractéristiques des personnages, de leur motivation, de leur personnalité, et des dessins de bonne qualité (Eddy Barrows) ou de haute volée (Alvaro Martinez). le lecteur se projette totalement dans le personnage de Red Robin, ressentant sa souffrance psychologique et son désarroi face à ce Batman du futur qui le connaît si bien. Il se rend compte que James Tynion IV construit une intrigue de très grande ampleur, sans oublier les éléments qu'il a installé précédemment, que ce soit le Syndicat des Victimes, ou des relations fragiles, comme l'amitié existant entre Clayface et Orphan. du fait de ces grandes qualités, il veut bien fermer l'oeil sur un final trop exagéré. 5 étoiles.

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- Épisodes 963 & 964 - Sur une Terre parallèle, Spoiler est devenue une livreuse pour une organisation clandestine. Elle vient d'amener un chargement à bon port et de le remettre en main propre à Anarky (Lonnie Machin). Ce dernier l'emmène visiter le campement qu'il a établi dans des tunnels de métro désaffectés. Elle y croise, entre autres, Clayface qui se prête aux expériences du docteur Victoria October, pour essayer de trouver un antidote qui lui permettrait de regagner forme humaine.

Comme dans les tomes précédents, la série Detective Comics effectue une forme de pause dans l'intrigue principale pour laisser la place à un personnage ou deux, et les mettre en avant. le lecteur fait contre mauvaise fortune bon coeur, avec d'autant plus de bonne grâce, que les personnalités et les relations interpersonnelles sonnent juste et rendent les personnages attachants. Par contre, il éprouve des difficultés à s'intéresser à cette situation d'un monde alternatif, dans la mesure où il doute qu'elle aura des conséquences sur l'histoire principale. 3 étoiles.
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Ce tome fait suite à Detective Comics Vol. 4: Deus Ex Machina (épisodes 957 à 962) qu'il est préférable d'avoir lu avant. Il comprend les épisodes 963 à 968, écrits par James Tynion IV, coécrits par Christopher Sebela pour les épisodes 963 & 964, dessinés et encrés par Carmen Carnero avec une mise en couleurs d'Ulises Arreola pour les épisodes 963 & 964, dessinés par Eddy Barrows avec un encrage d'Eber Ferreira avec une mise en couleurs d'Adriano Lucas pour les épisodes 965 & 966, dessinés par Alvaro Martinez et encrés par Raúl Fernandez avec une mise en couleurs de Jean-Francois Beaulieu & Tomeu Morey pour les épisodes 967 & 968. Ce tome contient également les couvertures réalisées par Eddy Barrows, ainsi que les couvertures variantes réalisées par Rafael Albuquerque.

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- Épisodes 965 à 968 - Il y a des années de la, un jeune Tim Drake avait assisté à un spectacle de cirque où il avait été emmené par son père. Au cours du numéro de trapèze, il avait assisté à un terrible accident qui avait coûté la vie au couple de trapézistes adultes, et dont seul leur fils Dick Grayson avait réchappé. Quelques années plus tard, le même Tim Drake avait constaté au travers de coupures de presse que Batman devenait de plus en plus violent et prenait de plus en plus de risques, alors que Robin n'était plus à ses côtés. Il avait alors réussi à effectuer la synthèse de tout ce qu'il avait pu absorber comme information et en déduire l'identité de Batman, ainsi que du premier Robin qu'il avait été solliciter pour rétablir l'équilibre de Batman. Au temps présent, Red Robin (Tim Drake) évoque tous ces souvenirs, alors qu'il est prisonnier d'une silhouette encapuchonnée qui l'interroge. Après la fin de l'interrogatoire, Batman surgit pour l'aider, mais ils sont interrompus par Doomsday.

Dans le futur, à Gotham, Batman s'en prend violemment à Anarky (Lonny Machin), l'abattant d'une balle dans la tête. Finalement Tim Drake et cette version d'un Batman du futur reviennent au temps présent. Red Robin doit avertir au plus vite les membres de l'équipe des chevaliers de Gotham (Gotham Knights) : Batwoman (Kate Kane), Clayface (Basil Karlo), Azrael (Jean-Paul Valley), Batwing (Lucas Fox), Orphan (Cassandra Cain).

Depuis 2 tomes, le lecteur a bien identifié le schéma narratif : James Tynion IV se focalise sur l'un des membres de l'équipe (surnommée Gotahm Knights dans ce tome), amène un nouvel ennemi, et les Gotham Knights doivent se défendre dans leur quartier général (Le Beffroi) pour l'assaut final. Cette nouvelle histoire ne déroge pas à cette trame. Elle présente toutefois quelques différences avec les précédents, dans la mesure où elle ne comprend que 4 épisodes et que 2 d'entre eux sont consacrés au personnage mis sous le projecteur : Tim Drake. le titre du récit Lonely place of living constitue le pendant de Lonely place of dying (réédité dans A death in the family), histoire dans laquelle Tim Drake était introduit et accédait à la Batcave, mais sans certitude d'être pris en tutelle par Batman. Effectivement l'évocation du passé de Tim Drake, alors qu'il est prisonnier de Mister Oz, résume cette histoire, en reprenant les faits principaux, et en développant les motivations de Tim Drake, ainsi que la logique de Batman pour le prendre en apprentissage. Pour le lecteur familier de l'histoire initiale, le scénariste effectue un sans-faute, sachant en restituer la logique, les motivations des uns et des autres, avec une narration plus adulte que celle du récit datant de 1989. Comme dans les tomes précédents, James Tynion IV fait preuve d'une compréhension épatante du personnage qu'il met en scène.

En consacrant 2 épisodes à la situation de Tim Drake, le scénariste dispose de plus de temps pour faire s'exprimer sa personnalité. Effectivement, le lecteur se rend compte qu'il éprouve une forte empathie pour ce jeune homme fortement investi dans son activité de superhéros et qui en a déjà payer le prix cher à de nombreuses reprises. Cette empathie s'accroît encore avec l'identité du Batman du futur et ses motivations. Tim Drake se retrouve dans une situation intenable car le scénariste tire le meilleur parti du fait que ce Batman sait ce qui va arriver à Tim Drake dans les années qui les séparent. À l'opposé d'un artifice narratif utilisé comme facilité pour auteur en mal d'inspiration, ce Batman du futur apporte un éclairage désespérant sur le présent, sur les événements à venir, et il se sert de son savoir avec pertinence et efficacité pour neutraliser les actions entreprises contre lui, actions qu'il connaît à l'avance. du coup, le lecteur suit avec délectation les rencontres entre ce Batman et les autres membres des Gotham Knights dans le troisième épisode. Par contre, il grimace un peu quand il se rend compte que James Tynion IV a encore succombé à la facilité de terminer son chapitre avec un combat de grande ampleur dans le Beffroi au cours du quatrième épisode. Cette fois-ci, c'est toute la flotte d'avions de Batman qui est de sortie pour une attaque aérienne de grande envergure, confinant au ridicule.

Du fait du rythme de parution bimensuel, plusieurs équipes artistiques se succèdent pour tenir les délais. Ces 4 chapitres sont donc confiés à 2 équipes distinctes, celles qui alternent depuis plusieurs tomes. Comme précédemment, le lecteur reste impressionné par la bonne qualité graphique de ces épisodes. Pour les épisodes 965 & 966, Eddy Barrows se focalise plus sur les personnages que sur les décors. Adriano Lucas comble les arrière-plans avec des couleurs denses, réalisant des camaïeux sur la base d'un nombre de nuances restreint, mais très substantielles, établissant une ambiance palpable, masquant quasiment l'absence d'information sur les lieux dans lesquels se déroulent certaines scènes. Eddy Barrows joue avec brio sur l'ambiguïté des sentiments exprimés par les visages. Il exagère un peu ceux apparaissant sur le visage de Tim Drake, personnage étant encore un jeune homme et laissant transparaître ses émotions plus que des adultes comme Batman. Il dramatise les expressions sur le visage du Batman du futur, donnant plus de crédibilité à sa souffrance émotionnelle et donc à ses motivations.

Comme d'habitude, Alvaro Martinez épate plus le lecteur avec des dessins beaucoup plus denses en détail, en particulier en ce qui concerne les décors. À chaque séquence, le lecteur sait exactement où se déroule l'action et il peut regarder à loisir des lieux aussi différents que le synoptique informatique de surveillance du poste de commandement dans la Batcave, la décoration du café où Kate Kane papote avec Bette Kane (Flamebird), la vue depuis la baie vitrée du Beffroi, le métro aérien survolé par Spoiler (Stephanie Brown) pendant ses acrobaties, la serre où Alfred Pennyworth s'occupe des plantes, le système de transport reliant la Batcave aux sous-sols du Beffroi. Martinez s'avère tout aussi minutieux pour représenter les costumes des nombreux superhéros dans le détail, avec un encrage de précision réalisé par Raúl Fernandez. La mise en couleurs souligne le relief de chaque forme, et augmente le contraste entre les personnages et les décors pour que chaque élément ressorte bien par rapport aux autres. le seul inconvénient de pages aussi denses et précises est qu'elles font ressortir l'invraisemblance de l'attaque aérienne des 3 avions Batman en plein centre urbain.

Ce cinquième tome reste consistant par rapport aux précédents, avec une maîtrise extraordinaire des caractéristiques des personnages, de leur motivation, de leur personnalité, et des dessins de bonne qualité (Eddy Barrows) ou de haute volée (Alvaro Martinez). le lecteur se projette totalement dans le personnage de Red Robin, ressentant sa souffrance psychologique et son désarroi face à ce Batman du futur qui le connaît si bien. Il se rend compte que James Tynion IV construit une intrigue de très grande ampleur, sans oublier les éléments qu'il a installé précédemment, que ce soit le Syndicat des Victimes, ou des relations fragiles, comme l'amitié existant entre Clayface et Orphan. du fait de ces grandes qualités, il veut bien fermer l'oeil sur un final trop exagéré. 5 étoiles.

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- Épisodes 963 & 964 - Sur une Terre parallèle, Spoiler est devenue une livreuse pour une organisation clandestine. Elle vient d'amener un chargement à bon port et de le remettre en main propre à Anarky (Lonnie Machin). Ce dernier l'emmène visiter le campement qu'il a établi dans des tunnels de métro désaffectés. Elle y croise, entre autres, Clayface qui se prête aux expériences du docteur Victoria October, pour essayer de trouver un antidote qui lui permettrait de regagner forme humaine.

Comme dans les tomes précédents, la série Detective Comics effectue une forme de pause dans l'intrigue principale pour laisser la place à un personnage ou deux, et les mettre en avant. le lecteur fait contre mauvaise fortune bon coeur, avec d'autant plus de bonne grâce, que les personnalités et les relations interpersonnelles sonnent juste et rendent les personnages attachants. Par contre, il éprouve des difficultés à s'intéresser à cette situation d'un monde alternatif, dans la mesure où il doute qu'elle aura des conséquences sur l'histoire principale. 3 étoiles.
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