volonté, enthousiasme, courage : une leçon de vie, handicapé(e) ou non : battons-nous ; la vie le mérite. on sort de ce livre vivifié(e) et entreprenant (e)
J'ai lu cet ouvrage il y a bien 30 ans, et j'en garde un souvenir étonnant de courage et de volonté. Avec une description sans compromis du handicap et du regard de l'auteur et de son entourage sur la perte de ses jambes.... mais la volonté de vouloir à tout prix faire ce qu'il avait à faire.
comme vous j'ai lu ce témoignage il y a maintenant plus de quinze ans, et je rappelle avoir pensé "que ferais tu si cela t'arrivés ?"
je suis Motard et je pratique le para-pente, sport qui, même si ils ne sont pas extrême, comportent des risques.
cette volonté que ces personnes ont après un accident, force mon admiration, et si je ne regarde pas Les jeux olympiques par contre je ne rate jamais les jeux para-olympiques car ses eux les véritables champions.
Il faudrait obliger les jeunes et moins jeunes à le lire tellement ce témoignage (terrible) est intéressant et un formidable message... Enfin, je le conseille à 200%
J'ai lu il y a de nombreuses années l'homme qui marchait dans sa tête. Encore aujourd'hui j'en garde la mémoire bien vive
M. segal je vous ai connu lorsque vous veniez voir au secretariat général à Paris, vous y retrouviez votre ami bernard stasi ,dont j'ai été la secrétaire.
Je ne vous connaissais que par ce livre là et par la chaleur affective que savait exprimer bernard stasi
«Un malade est un coupable qui s'ignore.»
[ Patrick Segal ] - L'homme qui marchait dans sa tête
«C'est au-delà des mots que se font les vraies adhésions.»
[ Patrick Segal ] - L'homme qui marchait dans sa tête
«Quand il n'y a plus rien à dire, peut-être est-ce l'heure du sourire ?»
[ Patrick Segal ] - L'homme qui marchait dans sa tête
Quand il n'y a plus rien à dire, peut-être est-ce l'heure du sourire ?
Je viens sur ce site depuis quelque minutes à peine et j'ai fais quelques erreurs de manip. pardonnez moi.
Toutefois j'ai lu ce livre il y a de très nombreuses années. j'en ai encore le souvenir très vif.
Monsieur Ségal je vous ai connu lorsque vous passiez au secretariat général des DOM-TOM rencontrer Bernard Stasi dont j'étais la secretaire..
Je reste encore sur ce souvenir de force et d'emotions
Quand le ressort secret des volontés s'est détendu, il ne sert à rien de remonter les mécanismes.
Le malade ne guérit pas seulement de soins.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.