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EAN : 9781090203212
Éditions Illador, 2019 (01/10/2019)
3.83/5   6 notes
Résumé :
La page détaille les gestes, liste les activités, consigne les événements, conserve les émotions, les déceptions et les joies, les étreintes et les conflits. Elle enregistre quelques-uns des faits qui, menus, quotidiens, réguliers, disent en quoi consiste le métier de vivre, de survivre.Carnet d'esquisses verbales ? Croquis écrits ? Des dates, des lieux, des noms et des initiales, Josette Ségura saisit l'essence des choses, tout doucement, comme une caresse qu'elle ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
J'ai reçu ce joli recueil de poèmes via la masse critique babelio. Événement que j'apprécie pour les découvertes qu'il m'offre à chaque fois. Concernant ce livre, j'avoue que je l'ai sélectionné, mais je ne pensais pas à un recueil de poèmes. J'imaginais en effet des écrits sur le quotidien, la famille, les paysages, les vécus etc mais pas sous forme poétique. Donc je suis quelque peu déçue. Mais pas tant car le livre reste beau et les textes de qualités. Ce fut une petite parenthèse de lecture, car j'avoue peu lire ce genre littéraire. Même si j'ai eu ma période d'écriture, que cette lecture m'a remémoré.
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C’est grâce à l’opération masse critique de Babelio du 15 Janvier intitulée « une avalanche de romans » que j’ai découvert la plume de Josette Ségura. J’ai beaucoup aimé ce recueil de poésie. La famille, les relation mère-fille, et frères- sœurs, les paysages, la nature sont décrits avec tendresse et légèreté. Ce livre offre un moment d’évasion et de sérénité.

Son prix est de 15 € pour 44 pages. C’est élevé. Mais la texture du papier et l’impression sont de très bonne qualité et les dessins sont fins et délicats. Le tout est en totale harmonie avec le contenu.

J’ai passé un bon moment de lecture et je n’hésiterai pas à me replonger dans ce fascicule pour un délicieux moment d’évasion.

J’ai passé un bon moment de lecture et je n’hésiterai pas à me replonger dans ce fascicule si l’envie m’en prend.

Lien : http://insomnielivresque.fr/..
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J'ai découvert grâce à Masse Critique un petit ouvrage charmant. Des instants de vie déclinés en très courts poèmes suggèrent, plutôt que racontent, des petits moments vécus au hasard d'un chemin, d'un nuage, d'un chant d'oiseau, d'un souvenir. A l'échelle d'une fleur, chacun serait une étamine. le livre discret attire l'oeil par une aquarelle aux couleurs très douces qui annoncent la légèreté des mots sur des sujets plus profonds et des impressions éphémères déclinées sur un très beau papier, transformant le livre en petit carnet bijou.
Lien : http://newcathzette.eklablog..
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
À la fenêtre…


À la fenêtre,
on guette la neige,
on rêve d’aller comme autrefois
à Cadouin, Monpazier,
Conques, Carennac, Autoire,
fenêtre du poème
et vraie fenêtre donnant sur un toit,
on va d’elle à la feuille
comme si on espérait trouver des miettes.
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LE PARLER DE L’HIVER…


Le parler de l’hiver,
on le reconnaît
à sa façon d’installer du silence
parfois coupé de pluie, de vent,
parfois très pur,
presque un lieu
pour patienter,
lui encore avec sa rugosité, son côté abrupt,
« c’est l’hiver »
et toujours cette impression qu’on ne va pas en sortir,
même si on sait, mais on l’oublie,
que tout va vite.
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Le rouge-gorge,
sa petite flamme vole,
sans elle, je le verrais à peine au lever du jour,
on parlera toujours du feu à son sujet,
comme il réchauffe,
lui qui a froid.
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Nous allions à Albi…


Nous allions à Albi,
Anne-Marie faisait griller des sardines au fond du jardin,
c’était l’été, bien sûr,
ou à Veilhes, le Tarn encore,
ça sent le vin de noix, le pastis sur la terrasse,
il fait beau à jamais,
j’aimais ces peupliers qui veillent toujours.
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On y arrive,
avec ces trois galets, ce sable,
la plage se peuple,
le chemin s’aplanit,
il est vrai que d’un rien on fait un ravin, une colline,
combat de presque chaque jour,
la routine
on aimerait parfois souffler un peu,
s’abandonner.
page 34
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