AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,5

sur 117 notes
5
8 avis
4
30 avis
3
9 avis
2
3 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je me suis fait un plaisir de choisir le nouveau Seksik car j'avais vraiment bien aimé le cas Édouard Einstein.
Bon, là j'avoue que mon engouement s'est vite envolé à la lecture de cette confession concernant son père.
Bien sûr je n'ignore pas l'amour qu'il y a pu avoir entre le père et le fils mais trop de choses m'ont dérangée pour que j'aie pu apprécier cette lecture.
Tout d'abord le titre est très révélateur, l'orgueil familial qu'il faut entretenir, la vocation familiale qu'il a fallu perpétuer, l'honneur et la fierté à tenir toute une vie pour une famille, la crainte de ne plus rentrer dans une case pour dire à papa qu'on voudrait lâcher la médecine...
Ouah c'est trop pour moi de lire ce genre de lecture et encore je passe sur les traditions familiales en rapport avec la religion que Laurent se sent encore obligé de suivre face à la mort de son père...Ouh je suis contente de le refermer mais n'aurai pas été convaincue cette fois ci. le charme n'a pas opéré, tant pis.
Commenter  J’apprécie          200
Un roman sur tout l'amour et la dévotion d'un fils envers son père. Ce roman donne presque l'idée qu'il s'agit d'un récit pour faire son deuil, avec une introspection de la relation père-fils.
Les notions de mort, de culpabilité, d'idéalisation des parents et des enfants sont présentes dans cette histoire.
Ce livre est rythmé par les souvenirs du grand-père, du père et du fils, alternant les époques.
L'histoire est accessible avec une belle prose.
Un beau roman tout simplement...
Commenter  J’apprécie          60

Oh mon Dieu on dirait je n'arrive plus à rentrer dans un livre !! C'est terrible, que vais-je devenir ? Quelle misère… Ou alors… ou alors quoi ? Ou alors je n'ai pas eu de chance avec ce fils obéissant, d'ailleurs je n'ai jamais aimé les enfants trop sages, ça doit être ça. Peut-être. Sûrement. Oui c'est ça. En fait, ce n'est pas moi qui ne suis pas rentrée dans ce livre, c'est Laurent Seksik qui n'est pas rentré dans ce livre, et ça c'est vraiment dommage. Surtout avec cette quatrième de couverture qui nous vante un livre “le seul à la première personne”, un livre intime, bouleversant et tout le tralala.



Je n'ai sans doute pas les yeux en face des trous (et ça c'est fort possible, je ne vais pas le nier) mais je n'ai pas trouvé Laurent Seksik dans ce livre. C'est pire que la série des “Où est Charlie”, il faut tenter de trouver l'auteur entre les lignes et à vrai dire, il est super bien caché. Dommage encore une fois. Dommage parce que si déjà il prend le parti d'écrire sur un sujet aussi personnel que sa relation (son immense amour) pour son père, il aurait fallu y mettre ses tripes, se dévoiler, sortir à découvert, ne pas vouloir à la fois parler et ne pas parler de soi. Eh oui, on y revient toujours, to be or not to be, that is the question. Un moment donné il faut choisir son camp. Toujours.

Et puis si je n'ai pas forcément les yeux en face des trous, j'ai toujours le coeur au bord des yeux et quand il s'agit de plonger dans une émotion, de ressentir les choses (surtout celles “d'une rare puissance émotionnelle” comme ils disent chez Flammarion) je ne suis pas la dernière à verser ma p'tite larme. Eh ouais, j'assume ^^

Bref, y'a eu comme un problème d'empathie, j'ai trouvé ce récit plutôt froid et distant et quand c'est comme ça, ben moi je ne rentre pas dans l'histoire, je reste sur le bord des pages à regarder les mots qui passent. Bon ok c'est un peu dur, je vous l'accorde, mais j'ai été déçue car je m'attendais à tout autre chose. J'avais apprécié mes deux précédentes rencontres avec Seksik, Stefan Sweig et Eduard Einstein, mais je n'ai pas retrouvé ici ce qui m'avait séduit alors. Je crois qu'à force de vouloir rester très pudique - ce qui à la base est une bonne chose, je n'aime pas non plus les grands déballages et les dégoulineries - on prend le risque de tellement se distancier qu'on en oublie l'essentiel.



::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::



Cinq semaines plus tard : je relis ce truc là haut, et je me dis : ouais mais quand même, je me la raconte un peu là non ? Qui suis-je pour dire tout ça moi qui ne suis même pas capable d'écrire une seule ligne - et encore moins pour parler d'un truc personnel ? Ouais, même que parfois ça m'empêche de dormir...

Alors oui ok d'accord Laurent Seksik, je sais que c'est pas un truc facile que t'as fait, mais n'empêche, je ne t'ai pas rencontré dans ce livre.
Lien : https://tracesdelire.blogspo..
Commenter  J’apprécie          45


Lecteurs (273) Voir plus



Quiz Voir plus

Les écrivains et le suicide

En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.

Virginia Woolf
Marguerite Duras
Sylvia Plath
Victoria Ocampo

8 questions
1710 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , biographie , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}