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3,53

sur 44 notes
« Couvrez ce sein que je ne saurais voir » : cette déclaration de Tartuffe, Barberine Blin aurait pu la reprendre à son compte !
Cette jeune personne déteste ses seins, et ceux-ci en sont offusqués.

Il faut dire que Barberine a la danse dans le sang, d'abord la danse classique à Bruxelles, ensuite la danse moderne et même post-moderne à New-York. Mais tout le monde sait que pour danser, les seins sont encombrants. Avez-vous déjà vu une danseuse aux gros seins ?
Depuis l'éclosion de ses seins, qu'elle considère avec stupéfaction, elle essaie par tous les moyens de s'en débarrasser, du bandage au régime qui affame, en passant même par l'opération.
Ils sont un frein à sa carrière ! du moins, c'est elle qui se donne cette excuse...

En parallèle, chaque chapitre est doublé d'un monologue d'un des seins, le Dextre, qui raconte sa vie intimement liée à son jumeau et à leur « hôtesse ». Loufoque, farfelu, mais relié à Mère Nature, plein de traits justes, ce point de vue particulier nous replace au coeur des choses. Les cinq sens sont convoqués à tout instant avec humour.

Ce roman m'a bien amusée.
Même si par moments, je trouvais que les Seins de mademoiselle s'égaraient un peu trop dans un style trop précieux, je reconnais que « La ballerine aux gros seins » a le mérite de nous faire sentir, voir, toucher, humer la matière, de nous rapprocher du Vivant.

Merci donc à Babelio et aux éditions Arthaud de m'avoir fait découvrir cette auteure belge étonnante.
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Dextre et Sinistre sont deux seins. Dès leur naissance, ces deux jumeaux sont dotés d'un solide bon sens et d'un appétit de vivre tout aussi costaud. Epicuriens en devenir, ils attendent impatiemment le moment où ils pourront s'épanouir plantureusement dans le giron de leur « hôtesse », et profiter à pleine peau des plaisirs de la vie et surtout du toucher. Mais ils sont plutôt mal tombés. Barberine, leur hôtesse, n'a qu'une obsession, depuis sa naissance aussi (et même avant) : devenir ballerine. Et c'est bien connu, une ballerine, c'est grand, mince et... plat. Parce qu'elle se doit d'être aérienne et que des seins volumineux (« féminins ») la plombent dans sa lutte contre l'attraction terrestre. Menacée par le gène du sein lourd mais têtue comme une planche à pain, Barberine se donne les moyens de ses ambitions : régime strict (qui la conduit à l'hôpital), bandage écrasant (qui la mène chez le dermato), chirurgie... Mais Dextre et Sinistre ne s'affaissent pas, ne se laissent pas tomber. Disposant d'au moins autant de volonté que leur hôtesse, tels des Phénix bien en chair, ils renaissent chaque fois de leurs cendres, images de la Nature triomphante tous tétons dehors.

Récit dans lequel Barberine puis ses seins s'expriment à tour de chapitre, cette fable est chorale mais cacophonique, puisque l'hôtesse est littéralement sourde aux exhortations de ses attributs et ne chante pas la même partition qu'eux : la litanie classique de l'esprit contre la mélopée baroque de la chair, la Raison sage contre la Nature exubérante. Ce roman qui nous emmène, de Bruxelles à New York, en balade dans l'univers de la danse classique corsetée dans ses codes puis de la danse moderne synonyme de libération, est virevoltant et original, globalement amusant malgré un vocabulaire précieux et des séries d'énumérations un peu lassants à la longue. Et puis la fin, où ces deux sacrés jouisseurs de Dextre et Sinistre voient leur raison d'être (et de vivre) réduite à leur fonction nourricière, me laisse un goût amer...

Merci aux Editions Arthaud et à Babelio pour cette opération Masse critique (qui n'a jamais aussi bien porté son nom) privilégiée.
Lien : https://voyagesaufildespages..
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Quel drôle de titre !
Intriguée, je survole la quatrième de couverture pour ne pas trop en apprendre.
Je saisis juste qu'il s'agit d'une ballerine, Barberine.
Depuis toute petite, elle danse, encore et encore.
Mais en grandissant, ses seins poussent et pour elle c'est une catastrophe.
J'ai beaucoup aimé ce livre.
Chaque chapitre, raconté par Barberine, est suivi d'un chapitre bis, écrit par Sinistre et Dextre, les seins de Barberine. Et leur version n'est pas tout à fait la même !
Par delà l'histoire, qui nous plonge dans le monde de la danse et nous raconte son évolution, de la danse classique à la danse post-moderne, qui nous mène de Bruxelles à New-York, j'ai particulièrement apprécié l'écriture. et le style.
C'est incroyable. On sent que c'est écrit par une danseuse qui a réussi la prouesse de faire danser les phrases. Les mots tournent et virevoltent. C'est très agréable à lire.
De plus le vocabulaire est plus que choisi.
Beaucoup de mots rares : sybaritisme, marasquin, spirille, méphitique, diaphorèse, exhérédé, béatilles…………….. sans que ça ne soit jamais lourd ni pédant.
J'adore découvrir des mots nouveaux, surtout lorsqu'ils sont distillés dans une histoire plaisante à lire.
Une belle découverte !
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Dès sa naissance, Barberine a découvert l'art de se mouvoir avec grâce, l'art premier de se déplacer à quatre pattes puis sur ses deux jambes et enfin l'art de danser. Seulement, malédiction pour cette jeune fille qui se destinait à conquérir les hautes sphères de la danse classique, être pourvue de gros seins. Je tiens tout d'abord à remercier Babelio et notamment Nicolas Hecht qui m'a proposé de découvrir cet ouvrage lors d'une opération Masse Critique Privilège et les éditions Arthaud sans qui je n'aurais probablement jamais découvert cet ouvrage. le fait qu'il soit écrit pas une femme m'a tout de suite mis en confiance car j'avais un peu peur que cet ouvrage soit machiste alors qu'il n'en est rien. Ici, nous découvrons comment une femme peut se retrouver handicapée à cause de son anatomie. Certes, il est vrai que les seins, qu'ils soient trop petits ou bien trop gros peuvent gêner celle-ci dans ce qui constitue une grande partie de sa féminité. Par choix, Barberine va décider sciemment de se faire opérer afin de procéder à une réduction mammaire mais si il y en a bel et bien deux qui ne sont pas d'accord dans cette histoire-là, ce sont bien Dextre et Sinistre, à savoir les jumeaux qui lui empêchent de se mouvoir librement sur scène et lui pourrissent la vie, ou, j'ai nommé les seins de celle su'il appellent leur "hôtesse". non, non, vous ne rêvez pas : eux aussi ont droit à la parole et s'indignent de se voir ainsi charcuter. Cependant, ils n'ont pas dit leur dernier mot, loin de là. Oui, notre corps parle et s'exprime, même si nous faisons souvent tout pour le faire taire ou feindre de ne pas l'entendre. Aussi, lorsque Barberine va se rendre compte que sa carrière de danseuse étoile ou ballerine puisque telle est le titre de cet ouvrage, elle va devoir mettre pour un temps son rêve aux oubliettes, sans pour autant abandonner la danse pour autant et découvrir que nous pouvons finalement parvenir à retourner ce que nous considérions de prime abord comme un handicap à notre avantage.

Un ouvrage à trois voix pour ainsi dire : le parcours de Barberine d'une part et celui de Dextre et Sinistre de l'autre, cette protubérance que les femmes ont au niveau de la poitrine et qui attire généralement la gent masculine. Les voix des uns n'allant pas sans celle des autres car faisant partie d'une même personne. Barberine a trop souvent voulu cacher, dissimuler ou encore mutiler cette partie de son corps mais parfois, la vie reprend le dessus et alors nous sommes bien obligés de faire avec et de s'accoutumer malgré tout.

Un ouvrage, il est vrai, qui s'adresse plutôt aux femmes mais rassurez-vous, messieurs, vous n'en êtes pourtant pas exclus et si le coeur vous en dit, je ne peux que vous inciter à découvrir, vous aussi, cet ouvrage. Un livre plaisant, rempli d'humour et agréable à lire, même si il comporte quelques passage assez durs !
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Voilà dans notre PAL de la rentrée de cet hiver littéraire 2018 (de plus en plus grossissante mais on ne va pas se plaindre quand même) sans doute l'ouvrage au titre le plus intriguant : La Ballerine aux gros seins, le nouveau roman de la belge Véronique Sels a le mérite de l'incongruité.

Une incongruité que l'on retrouve dans le contenu même du roman puisque l'auteur nous propose de suivre le parcours d'une jeune ballerine par deux voix différentes, la sienne et celle de …ses seins !!

Barberine, jeune fille aux seins volumineux est dans un de ces rares milieu où hélas cet atout de la nature n'est pas forcément bien vu, en effet, la danse est un secteur dans lequel « les seins sont à la ballerine ce que la surdité est au musicien : une malédiction ».

Ainsi, dès que ses seins pointeront le bout de leur nez téton, notre héroïne fera tout ce qu'elle peut pour les oublier, régime strict bandage écrasant chirurgie, sauf que c'est sans compter sans l'abnégation de cette paire de seins qui veut se faire respecter.


Bref, Véronique Sels nous offre une autobiographie mammaire réjouissante et délirante, qui alterne entre le point de vue de la danseuse, et la vision de ses propres seins... Sinistra (la gauche en latin) et Dextre (la droite) !!

Voilà un sujet original et traité avec pas mal d'audace et d'inventivité, qui nous plonge dans le monde de la danse de la danse classique à la danse post-moderne, et qui nous mène de Bruxelles à New-York

Bref, une histoire que même les lecteurs masculins pourra largement lire avec une certaine jubilation pour tenter de comprendre ce problème certes très féminin mais o combien mystérieux pour les mâles ! En effet, malgré de régulières touches de fantaisie et d'humour, ce destin de cette Barberine est très touchant, et dit pas mal de choses très justes et fortes sur le rapport d'une femme à son corps et sur les affres de l'adolescence au moment où le corps se transforme pas forcément comme on le voudrait et cela, même les garçons ont connu cela !

On pense à l'univers de deux auteurs belges assez déjantés : Nadine Monfils et surtout Amélie Nothomb, avec le même sens du surréalisme des personnages aux noms pour le moins tirés par les cheveux et un roman très documenté (l'auteur a été élève au conservatoire de danse), et dont la singularité marque vraiment!
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Comment prendre du plaisir à habiter son corps quand celui-ci ne répond pas totalement, du moins en partie, aux critères ô combien strictes de la danse classique ? Cette partie, ce sont les seins, ce qui ne nous aura pas échappé au vue du titre, plutôt évocateur, et ces seins justement, sont une malédiction pour Barberine, l'héroïne de ce roman. Alors qu'elle rêvait de devenir ballerine, son anatomie mammaire en décidera autrement. Et là, c'est le drame, le coup de massue pour cette jeune adolescente : avoir des seins dans ce milieu signifie être recalée dare-dare, rien à faire, la norme c'est la norme, pas de volume, voyons !
«À cette époque je ne mesure pas encore combien la morphologie des corps fait écho à cette obsession qu'à la société de compartimenter l'humain comme la viande, par gabarits, espèces, communautés et castes. La danse classique est blanche, aristocratique et maigre. le ballet jazz est métissé, qui épouse les courbes voluptueuses de la classe populaire. La danse de rue est noire, jeune, revendicatrice et tout en muscles. La danse moderne tend à échapper au formatage, à l'apartheid morphologique, au conformisme des corps.»
Véronique Selz nous offre une lecture touchante, parsemée d'humour et de délires, et interroge sur le regard de la société sur le corps des femmes, sur le rapport des femmes à leur corps, notamment au moment de la fatidique transformation du corps liée à l'adolescence, période opérant des changements plus ou moins marqués, des changements que l'on ne s'approprie pas forcément facilement pour les filles comme pour les garçons d'ailleurs.

Une lecture documentée également. L'auteure nous parle de l'art de la danse, du classique au moderne et nous propose un petit détour par New-York et un contact avec la danse moderne américaine. J'ai aimé son évocation du monde de la danse classique, dans lequel je me suis retrouvée et qui m'a rappelé bien des souvenirs, heureux pour moi ;-) Ah l'odeur de la danse classique...
«Qui n'est jamais entré dans une boutique Repetto ignore le parfum particulier de la danse classique fait de cuir, de bois de plancher, de Lycra, de satin, de mousseline, de fierté, de crainte et révérence.»
Un livre original, qui se lit vite, un peu déjanté, pas commun (deux seins qui s'expriment et plutôt bien d'ailleurs !). Un petit reproche toutefois, même si j'ai trouvé l'idée très originale de faire parler des seins, j'avoue que ces passages ne m'ont pas tous marquée, et certains pas vraiment liés à l'histoire de Barberine, ont créé pour moi une rupture dans le récit.
Un tout petit reproche, vraiment, car ce livre vaut le détour, à mon avis !

Un grand merci à Babelio, aux éditions Arthaud et à Véronique Selz pour l'envoi de ce roman dans le cadre d'un masse critique privilégié Babelio.
Lien : https://seriallectrice.blogs..
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Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve qu'on ne donne pas assez souvent la parole aux seins. Or, non seulement ils savent parfaitement s'exprimer lorsqu'on leur en donne l'occasion, mais encore ils ont des avis très pertinents sur tout un tas de sujets (essentiellement des sujets "mammaires", il est vrai). J'en veux pour preuve ce livre tout-à-fait charmant de Véronique Sels. Les seins dont il y est question sont ceux de Barberine Blin, danseuse de son état, qui aurait bien aimé ne pas en avoir, de seins, vu que "les seins sont à la ballerine ce que la surdité est au musicien : une malédiction". Véronique Sels nous entraîne avec brio, légèreté, humour et fantaisie dans l'univers de cette ballerine où les seins ont leur mot à dire, et le disent sans complexe. Un livre réjouissant, magnifiquement écrit, qui a éclairé d'un grand sourire mon mois de janvier.
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Voilà un roman rondement bien écrit. Rond et consistant tell un sein maternel source de vie et de nourriture.
Car bien évidemment comme le titre le laisse présager, on parle bel et bien ici des attributs féminins.
Ou plutôt se sont eux qui parlent. Qui nous parlent, qui racontent leur propre vie, leurs rapports au monde.
C'est une idée originale et vraiment plaisante. L'auteure donne à tour de rôle la version de l'hôtesse comme elle l'appel, et la version des seins de celle-ci.
Le livre est assez court et agréable à lire. Les chapitres s'enchainent en alternances entre le point de vue de l'hôtesse et le point de vue des seins.
La réflexion est lancée…Et si le corps n'était pas un tout unifié sous le commandement de notre matière grise mais un ensemble d'entité distinctes ayant chacune leurs manière d'appréhender la réalité ?
Ce livre permet de relancer le débat du dualisme cartésien tout en passant un chouette moment de lecture.
Après cela, on ne sait plus à quels seins se vouer…

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Comme dit elle-même l'auteure dans son roman, ce livre c'est une autobiographie mammaire. En effet en de courts chapitres c'est d'abord la voix de Barberine, ballerine en devenir qui semble encombrée de seins volumineux.... Ce qui n'est pas vraiment flagrant et qui refuse ce corps qui s'épanouit.
Les chapitres bis ce sont les voix de Sinistre et Dextre, qui découvrent les joies et les malheurs de vivre sur le torse de cette "hôtesse" bien compliquée.
Un roman original, plaisant à lire même si je leur aurais bien tordues l'aréole à ces jumeaux bien bavards.
L'histoire de Barberine est touchante, la danse y a toute sa place mais aussi la transformation du corps et les affres de l'adolescence. Bien documenté, agrémenté d'un vocabulaire inconnu de moi j'ai lu ce roman rapidement et avec beaucoup de plaisir. C'est original, amusant, bourré d'infos qui sous forme de fable nous parle des seins comme on ne l'avait jamais lu.
Drôle, émouvant, vivant.
Merci à babelio pour cet envoi et aux éditions Arthaud.

(Quasiment la même couverture sur fond rose que le roman/document de Noémie Caillault - Maligne. Dommage.... et pas nécessaire )

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Je tiens à remercier Babélio et sa masse critique privilégiée et les éditions Arthaud. Je vais finir par croire que Babelio me connaît parfaitement. Car j'ai des gros seins et j'ai été une passionnée de danse et surtout j'ai encore eu un coup de coeur. Et pourtant c'était un roman improbable.
Je m'attendais à du chick lit et pas du tout à être émue.

Je vous présente Dextre, Sinistre et Barberine, 3 entités qui n'arrivent pas à se côtoyer. Dextre et Sinistre veulent s'épanouir. Baberine veut devenir danseuse étoile. Dextre et Sinistre veulent sentir des sensations fortes. Barberine ne vit que pour la danse et un corps parfait sans encombres.

Ce roman raconté à deux têtes narre la passion de Barberine pour la danse et sa galère pour arriver à ses fins. Cependant elle doit faire face à un corps qui change.
D'un coté nous avons Barberine qui énoncera ses doutes. Et de l'autre ses jolis néné qui donneront leur vision du monde. J'ai adoré les deux côtés de l'histoire qui apporte son lot d'émotion et de fous rires. J'ai adoré la manière qu'a Baberine à cacher la vérité pendant que Dextre et Sinistre dévoile la réalité. Alors que Barberine ne se consacre qu'à la danse, Dextre et Sinistre se focaliseront sur des choses plus importantes de la vie. Ces merveilleux nichons vont pointer du doigts leur maltraitance, leur caresse, les soins, leur souffrance, leur plaisir. Leur vision de la vie est touchante et je vous avouerais que je regardais mes gros nénés autrement. Je me suis mise à leur parler moi aussi.

On oublie le titre drôle, la couverture girly, c'est un roman profond qui parle du complexe de toutes les femmes. Gros, tordus, trop petits, pas de tétons, les aréoles trop marquées, tombants, qui pointent trop.... nos chers nénés attirent l'oeil homme ou femme. S'ils pouvaient parler, ils auraient des choses à dire.

Donc voilà un coup de coeur original pour Veronique Sels d'avoir écrit ce roman original. Grace à elle je ferais plus attention à mes seins. Leur nom depuis ce roman George et Clooney.....
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