Blake et Mortimer, tome 23 : Le bâton de Plutarque

- L'heure n'est pas à l'ironie Capitaine. J'ai appris à me méfier des ressortissants de l'Empire jaune. tous cruels, fourbes et menteurs… Réfléchissez bien avant de leur confier une quelconque information.
- J'en prends bonne note, Colonel.

En ce printemps 1944, l'état d'alerte permanent auquel est soumis le porte-avion britannique The Intrepid rappelle aux marins et pilotes de la Royal Navy qu'une guerre sans merci n'en finit plus de déchirer les puissances mondiales.

Cela n'a pas été simple de les récupérer, Colonel, mais voici le capitaine Blake et le professeur Mortimer sains et saufs !

Si le Golden Rocket ne peut venir à bout de ce maudit engin, nos Seafire n'ont aucune chance. Ils vont se faire descendre les uns après les autres.

(Francis Blake) Je vous demande pardon, Sir ?! Vous parlez...d'une 3 ème guerre mondiale ?!...

Contre toute attente, le visage de Clarke se transforme brusquement. Le secrétaire dévoué et un peu timide s'est mué en une sorte de fauve qui se rue vers la sortie en hurlant sa rage

On appelle aussi cet objet un "baton de Plutarque" C'est le plus ancien moyen de transmettre des messaqes secrets. Plutarque raconte qu'il a été utilisé pour la première fois par les Spartiates vers 400 av. J-C.!

Étrangère au duel qui se prépare dans le ciel, une voiture banalisée de l'armée britannique remonte le pont de Westminster en direction de Parliament Square.

- Major Benson [parlant d'Olrik] : Son incroyable habileté aux échecs en fait un excellent analyste. Il nous a déjà aidés à casser plusieurs codes.
- Mathématicien : Il ne faut rien exagérer non plus. Les mathématiciens ont dû corriger plusieurs de ses "intuitions" pour pouvoir en faire des modèles utilisables.