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4,42

sur 604 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
En décembre, j'avais emprunté un livre à la bibliothèque de mon école à l'aveugle. le principe : il était emballé dans du papier cadeau et je n'avais aucune idée de ce dont il pouvait parler, à part qu'il s'agirait d'un roman historique avec une romance. J'ai à ma grande surprise découvert une fois chez moi que j'avais emprunté Salt to the Sea, traduit en français sous le titre de le Sel de nos larmes. Or ce livre, je voulais le lire pour deux raisons : la première est que ce livre était absolument partout à sa sortie en France. Partout. Tout le monde était en train de le lire/l'avait lu et surtout : tout le monde le trouvait fantastique. La deuxième : ce roman parle d'un épisode dramatique de l'histoire totalement méconnu et je me demandais vraiment comment un truc aussi gros avait pu arriver et être oublié quelques décennies plus tard.

En ce qui concerne l'histoire : l'auteur a écrit un roman où ses quatre personnages principaux deviennent tour à tour narrateurs dans des chapitres très courts, et nous racontent ce qui leur arrive en janvier 1945, alors qu'ils veulent échapper à l'armée russe et qu'ils vont embarquer sur un navire énorme, le Wilhelm Gustloff. Quatre adolescents et quatre personnalités différentes : Joana est une infirmière polonaise qui n'a pas la langue dans sa poche, Emilia une jeune fille Lituanienne qui a fui son pays et souffre en silence, Florian un Allemand un peu louche mais bienveillant, et Alfred, Allemand nazi qui veut remplir sa mission jusqu'au bout et (légèrement) prétentieux mais qui n'est qu'un dégonflé de première.

Ces quatre jeunes vont tous se rencontrer à un moment ou à un autre au cours de leur périple afin d'embarquer sur le paquebot qui les conduira en sécurité à Kiev. L'Allemagne et la Prusse ayant été envahies par l'Armée Rouge, elles ne sont plus sûres et les peuples allemands, polonais ou lituaniens se retrouvent condamnés à l'exil. Tous voient dans ces bateaux une promesse de paix – ou au moins de sécurité d'ici à ce que les affrontements s'arrêtent. Problème – et ce n'est pas vraiment un spoil puisque que c'est le truc qui a été le plus répété sur ce roman – le bateau contenant plus de dix mille passagers fait naufrage peu après son départ, faisant des milliers de morts, bien plus que le Titanic par exemple.

Une histoire bien joyeuse donc ! Je m'attendais évidemment à un roman émouvant, prenant et bouleversant, d'autant plus qu'il est inspiré d'une histoire vraie. Et comme beaucoup de lecteurs, en refermant ce livre, je suis toujours choquée qu'une telle catastrophe ait pu passer « inaperçue », ou du moins que je n'en ai jamais entendu parler avant. Encore une chose qui nous rappelle que l'histoire est bel et bien une construction humaine où l'on nous raconte seulement ce que l'on veut bien nous raconter.

Là où le bât blesse, c'est finalement le reste de l'histoire. Je ne me suis pas attachée aux personnages, à part peut-être à Joana, et peut-être un peu à Florian, et encore. J'avais conscience qu'ils étaient en train de souffrir, que l'histoire était horrible… Mais voilà, ça ne l'a pas fait. Je suis restée assez insensible à leur aventure et j'ai tourné les pages sans réel entrain. Quitte à laisser le livre posé sur ma table de chevet un peu trop longtemps sans y retoucher. Côté pathétique, il y a ce qu'il faut. Et c'est finalement ça qui m'a posé problème. Malgré l'aspect horrible de cette histoire – inspirée du réel qui plus est – j'ai trouvé que ce roman était affreusement tire-larmes et virait au pathos toutes les deux pages.

C'est sûr, faire des blagues de toto dans un roman sur l'exil de civils pendant la Seconde Guerre Mondiale qui en plus se tapent un naufrage, c'est pas trop de circonstance. Mais je ne sais pas… J'ai eu le sentiment que c'était too much. Même si ça avait pu être vrai. Je trouve qu'actuellement, dans beaucoup de romans historiques, on essaie toujours de trouver des situations absolument horribles, les pires qui soient pour « faire pleurer dans les chaumières » (dixit maman). du genre, dans un roman qui aborde la déportation, on va forcément prendre le point de vue d'une femme juive enceinte, qui a perdu toute sa famille, aveugle, et si elle a la gale c'est encore mieux – c'est plus romanesque.

Attention, – avant que vous me taxiez tous de grosse insensible / saloperie sans coeur ou que sais-je : je ne dis pas que ça n'a pas existé. Je ne dis pas que ça n'a rien d'horrible – c'est horrible, c'est inhumain, etc. Simplement : pourquoi forcément dans les romans prendre toujours le pire du pire pour émouvoir tout le monde ? (et étiqueter ça comme de la littérature féminine par-dessus le marché, c'est tellement mieux). Au passage on rajoute une romance désespérée à la Titanic qui achève bien tout le monde, et c'est parfait.

Personnellement, ça ne m'émeut pas. Ou du moins, ça ne m'émeut plus, parce que j'ai le sentiment que l'auteur en fait des caisses et des caisses. A croire que certains ont des actions chez Kleenex.

Pour autant, je pense et je maintiens qu'il existe des romans historiques formidables, qui m'ont beaucoup émue et que je n'ai pas pu lâcher avant de connaître la fin (avec forcément du pathétique, un minimum, mais abordé de façon différente). Je pense notamment à La Faim Blanche d'Aki Ollikainen, une pépite finlandaise écrite d'une main de maître, et qui aborde l'exil de nombreux Finlandais au XIXème siècle alors qu'ils étaient victimes d'une famine sans précédent. Il y a des morts aussi, il y a des détails affreux, mais ça vire pas au tire-larmes avec une romance qui sort de tu sais pas trop où…

Tout ça pour dire que finalement, en refermant ce roman, je n'étais pas bien convaincue. Et je me sentais presque coupable de ne pas aimer – parce que c'est historique, et c'est un peu la réalité. Je suis quand même contente de l'avoir lu, tout simplement pour avoir pris connaissance de ce naufrage monstrueux, et parce que ce n'était pas hyper désagréable à lire quand même, mais je reste quand même sur une grosse note d'amertume, en me disant que certains détails étaient tous simplement de trop.

Conclusion : les romans historiques oui, le pathético-niaiseux racoleur : non.
Lien : http://laroussebouquine.fr/i..
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CRITIQUE DE :  « LE SEL DE NOS LARMES »

Ce livre est trop long mais il est bien (même si j'ai pas fini) ça parle de 3 enfants qui s'enfuient de la guerre.Je m'attendais à des gens qui fuient des camps de concentration qui s'enfuient en prenant par la mer.Il m'a intéressé car le titre m'a plus, le résumé est sympa et l'histoire est construite. Les chapitres sont en 2 pages.Les personnages principaux sont:Joana,Florian, Emilia,Alfred.Ils doivent éviter les soldats quels qu'ils soient ami ou ennemi,les bombes,et survivre au froid.
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La grande force du roman de Ruta Sepetys est de traiter un sujet qui ne l'est quasiment jamais. Il est rare de lire des romans sur l'exode des Allemands face à l'avancée des Russes, et encore moins sur le naufrage du Wilhelm Gustloff, qui pour ma part, m'était totalement inconnu.
Les personnages sont attachants, Joanna, Emilia et Florian bien sûr, mais les personnages secondaires sont tout aussi intéressants. Mention spéciale au Poète de la chaussure, un vieux cordonnier qui découvre les gens en regardant leurs chaussures.
Le roman est vraiment plaisant, j'ai trouvé malgré tout qu'il y avait quelques longueurs du fait de la succession de voix, et donc quelques répétitions. Mais l'alternance de chapitres courts facilitent la lecture, et je veux bien croire que pour intéresser un public ado au roman historique, il faut proposer ce type de structuration.
J'ai refermé le livre en ayant la satisfaction d'avoir appris de nombreuses choses et c'est bien là l'essentiel !
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Ce roman qui m'a été envoyé, à l'occasion d'une opération masse critique m'a permis de découvrir un chapitre tragique de la seconde guerre mondiale: le naufrage du Wihelm Gustloff, navire de croisière allemand ayant servi à transporter des réfugiés fuyant l'Armée Russe.
L'action se passe sur un court laps de temps, le style d'écriture est simple, les chapitres sont courts et suivent les pensées de 4 adolescents mêlés à cette tragédie de différentes manières. On s'attache beaucoup à eux. Même si l'un de ces ados (Alfred) nous donne une version bien plus antipathique. Il représente vraiment l'incompréhension et la folie de la théorie nazie. C'est un genre de mini Hitler, mal dans sa peau, complétement perdu et cherchant une revanche sur la vie, en fantasmant sur les pseudos qualités raciales des aryens blonds.
Malheureusement, ce récit un peu court ne permet pas de creuser beaucoup sur ces 4 personnalités. Mais cela n'empêche pas au récit d'être bien compris et apprécié.
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Quarte passés, un destin.

Au coeur d'une Allemagne en guerre, quatre jeunes personnages essayent de survivre.
Ils ont tous un passé différent, proviennent de pays différent et livre la même bataille, celle de la fuite.
Il y a Joana, celle qui veille sur tous et essaye de soigner les blessés, puis Florian dont la mission est confidentielle. Emilia cache un secret au sein de son corps et Alfred est matelot. Ces personnages vont se croise dans leur fuite, faire connaissance et constater l'horreur de la réalité de la guerre.
Dans un style fluide avec un vocabulaire simple et des chapitres court Ruta Sepetys à travers son roman, le sel de nos larmes, peint un tableau de la guerre.
Accessible aux jeunes, elle explique les doctrines d'Hitler et de Staline tout en montrant les conséquences de celles-ci.
Une double intrigue : vont-ils réussir à survivre ? Quel secret chacun cache ? Maintient le lecteur en haleine tout le long du roman.
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On m'avait dis beaucoup de bien de ce roman et je dois avouer que je suis un peu déçue.. C'est dommage parce que j'avais beaucoup aimé Big Easy et Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre.
J'aime beaucoup les livres sur la Seconde Guerre mondiale. Ici rien à dire, Sepetys nous fournit un vrai récit historique. Elle nous décrit la vérité en face dans toute sa brutalité. Toujours avec sa plume d'une franchise violente, elle nous décrit le dur voyage des populations de l'est, la famine, la mort, la solitude.
J'ai beaucoup aimé comment l'histoire s'organise autour du petit groupe de réfugiés, comment les secrets sont peu à peu développés.
Mais je reste sur ma faim, en fait. J'ai l'impression qu'il manque des trucs. Une horrible impression de pas assez. La psychologie des personnages est super il n'y a rien à dire là dessus, Emilia, Joana et Florian ont souffert et lutte chacun à leur manière. Alfred est un bon petit nazi issu du système, une victime du lavage de cerveau de la propagande. Tous les 4 souffrent et je partage leur souffrance.
Mais je trouve que c'est pas assez exploité jusqu'au bout. Déjà on apprend leur secrets super tard dans le roman et ensuite, les secrets n'ont pas le temps de se développer. Il n'y a que le secret d'Emilia qui en vaille la peine.. D'ailleurs c'est de loin mon personnage préféré, elle sonne plus juste que les autres.
J'ai aussi été hyper déçue par la fin. Déjà je m'attendais à un naufrage qui me prenne aux tripes.. Mais je n'ai rien ressenti de tel.. Il y a des descriptions qui incitent (lourdement) à la pitié (tous les bébés lancés à la mer, les enfants abandonnés, les gens piétinés). J'ai trouvé qu'on recherchait trop la pitié du spectateur avec des détails "gore" plutôt qu'une émotion plus saine et plus pudique.
Et puis la fin m'a paru trop facile..
Enfin, le sel de nos larmes est quand même un très bon roman, qui nous rappelle combien la guerre est une aberration et surtout, qui nous rappelle de ne pas oublier les atrocités commises pendant cette guerre mais aussi toute les guerres en général. C'est un roman témoignage qui nous oblige à ne pas oublier les souffrances et les victimes des horreurs de la guerre, un bel hommage à ces milliers de disparus.
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Ce n'est pas que je n'ai pas été émue par le destin tragique des personnages mais je pense être tout simplement passée à côté de ce roman.
Malgré l'attachement que j'ai eu pour Joana, Florian, Emilia et peut-être Alfred, je n'ai pas réussi à identifier ces derniers aux vraies victimes du naufrage ou même à tous ces exilés fuyant cette terrible guerre. Ce n'est pas que je suis insensible, bien du contraire. Je suis facilement impressionnable sur ce genre de sujet. Malheureusement d'autres romans ont su me transmettre plus d'émotions que celui-ci.

Je pense que le problème vient du fait que j'attendais un récit bouleversant sur cette catastrophe maritime que je ne connaissais pas mais qu'à la place, j'ai suivi la lente avancée des personnages vers une issue pas si incertaine.

Non seulement, il n'est question du naufrage que dans les dernières pages mais en plus, je trouve cette partie très bâclée par rapport aux détails apportés durant le reste du livre. du coup, il est difficile d'avoir le coeur serré ou de ressentir de la compassion pour un fait si vite relégué au passé.
En gros, je n'ai pas arrêté d'attendre quelque chose qui n'est jamais venu et c'est pourquoi je ressors si déçue de ma lecture.

Au final, le sel de nos relate le parcours de 4 vies brisées par la guerre. Tous d'origines différentes, tous gardent un secret bien enfoui - mais peu subtile à mon sens.
Bien sûr, il est difficile de ne pas s'attacher à eux étant donné leur situation plus qu'inconfortable. La guerre traîne en longueur et l'hiver est rude pour tout le monde.

Finalement, s'il n'était pas question du naufrage, cela aurait été un roman émouvant pas certains aspects où j'ai apprécié la prise d'initiative de faire rencontrer des gens qui n'auraient jamais dû se côtoyer dans d'autres circonstances. J'espère à penser que l'amitié et l'entraide qui transparaît dans ce récit a pu se produire réellement.

Je suis désolée pour ceux qui ont eu un coup de coeur pour ce roman mais pour ma part, au-delà du sujet qu'il traite, je n'ai pas senti un grand investissement à maintenir une tension dans l'historique des personnages où dans le naufrage en lui-même. de plus, je ne m'attendais pas du tout à cette fin-là et c'est un point de plus qui me fait refermer le livre si peu satisfaite.

Je reconnais que ce livre à des qualités mais Ruta Sepetys n'a pas su m'émouvoir autant que je l'aurai voulu.

Lien : http://melimelobooks.blogspo..
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1945, les Allemands sont en train de perdre la guerre, les Russes avancent et les peuples fuient. Quatres adolescents -Joana, infirmière lettone, Emilia, petite Polonaise enceinte, Florian, le taiseux Prussien, et Alfred le matelot allemand exaspérant- avancent, parce qu'il faut bien, parce qu'il faut aussi laisser le passé derrière. Ruta Sepetys, l'auteure du génial Big Easy, revient au delà des histoires personnelles sur une tragédie bien oubliée, nos quatre héros avancent vers la côte, vers le port, vers le Wilhelm Gustloff , ce bateau qui a coulé dans la mer Baltique en faisant plus de victime que le Titanic.
L'auteure nous offre un roman chorale intelligent et efficace, servi par une écriture fluide qui ravira les jeunes lecteurs dès 14 ans. Alors pourquoi seulement 3 étoiles? Sans doute mon oeil d'adulte trop habitué aux récits (tous médias confondus) de la WWII et il m'a semblé que, mis à part le désespérant Alfred, les personnages étaient convenus et peu éclairants sur la réalité historique des pays mis en scène et le schéma du récit très classique. Mais c'est bien la plume de Sepetys qui a continué à me faire tourner les pages de ce récit qui devrait interpellé les ados.
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Entre le résumé alléchant et les critiques très élogieuses, je m'attendais à un superbe moment de lecture. Un coup de coeur en perspective. Forcément !

Et oui, il a absolument tout pour plaire celui-là : un contexte historique passionnant, des jeunes héros meurtris par la guerre, un compte à rebours pour la survie.

Seulement, avec moi, la mayonnaise n'a absolument pas pris ! Et je suis d'autant plus déçue que j'en attendais beaucoup.

La raison principale, c'est que je ne me suis tout simplement pas prise d'affection pour les héros, donc difficile de s'immerger dans un livre quand ils vous sont indifférents. Ils manquent beaucoup trop de profondeur pour que tout le côté dramatique de leurs histoires puisse s'exprimer.

Côté scénario : la première partie est vraiment longue et on ne ressent pas beaucoup le besoin urgent des personnages à rejoindre leur objectif, donc aucune tension et un léger ennui pour ma part. La seconde partie où l'intrigue se passe sur un navire m'a davantage intéressé, mais elle est beaucoup trop courte.

Enfin, je n'ai pas vu l'intérêt d'insérer une romance et ça m'a plus énervé qu'autre chose, vu ça n'apporte rien.

Bref une lecture sans ennui, avec une jolie écriture, qui se lit rapidement, mais elle ne m'a absolument pas entraîné. Je l'ai refermé pour passer à autre chose aussitôt et sans regret.
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Voilà un livre que je n'aurais pas choisi en librairie pour pas mal de raison (le sujet, la couverture oui oui faut pas juger un livre à sa couverture mais tout de même, le titre français...) mais j'ai eu l'occasion de le lire grâce à l'opération masse critique (Merci Babelio ;) .
Je suis "monostyle" mais j'essaye de m'ouvrir à d'autres genres que le policier, thriller, fantasy, etc.

Je partais avec un gros a priori "encore un livre sur la seconde guerre mondiale!" Alors oui...Mais non. Ce sont d'autres "victimes" qui parlent. Ici 4 personnages nous racontent à tour de rôle leur lutte durant une exode pour fuir la guerre, les russes d'un côté, les nazis de l'autre, leur voyage vers l'espoir...

L'écriture est simple (je pense d'ailleurs que c'est ce qui explique en partie, pourquoi c'est édité en jeunesse, le style est clair, bien que l'histoire soit aussi adapté aux adultes), se lit vite et agréablement. le changement de personnage toutes les deux pages demande un petit effort de concentration dans les premières pages, mais on prend vite le pli et les évènements s'enchainent sans temps mort.

Je n'ai malheureusement pas été tout à fait séduite par ce livre sans trop savoir pourquoi, bien que la rencontre avec l'auteure m'ait permis de comprendre sa démarche et ses motivations...
Ce n'est peut-être tout simplement pas mon genre?...
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