Histoire sans paroles.
Exit Druuna, bonjour Anima.
La blondeur des blés, goalée comme une 103 sp sport selle chopper guidon torsadé - pour les connaisseurs - et pas farouche pour un rond la gamine, ce qui ne constitue pas le moindre de ses attraits, Anima balade son physique de miss galaxie en un monde futuriste post-apocalyptique pas tibulaire mais presque.
L'histoire, pas qu'on s'en foute un peu mais pas loin.
Plaisir des yeux maximal, ça tombe plutôt bien vue l'épaisseur du scénario.
Ce qui prédomine, cette patte inégalable à la précision diabolique et l'érotisme décomplexé.
A noter ce petit bonus de fin d'album, préquelle au cycle Druuna, autre héroïne incontournable dans tout l'univers et sa proche banlieue.
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Une jeune femme se réveille, nue. Elle enfourche sa monture, un être fantastique volant et parcours son monde mystérieux, sauvage et empli de dangers. Elle fait des rencontres, un homme qui lui sauve la vie, un lion qui la sauve d'un viol, ...
Ce tome hors série rend hommage à l'héroïne chère à Serpieri, Druuna. C'est une histoire sans parole, à peine quelques onomatopées donne le son de cette bande dessinée. Le trait de l'auteur, sa façon de créer "la femme", pleine de jolies formes, de sensualité reste constante et pour les inconditionnels de Druuna, c'est avec ravissement qu'ils découvriront ce livre. C'est assez déroutant de parcourir une bande dessinée presque "silencieuse" mais cette absence de dialogue donne la part belle au dessin, qui est transcendé par le "silence".
La bonne nouvelle, c'est que ce tome est un prélude à une neuvième aventure de Druuna, absente depuis fort, trop longtemps.
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Ce nouvel album nous laisse sur notre faim quant à l'intrigue. Mais franchement il complète à ravir la collection. Quel plaisir pour les yeux !!! Les dessins sont superbes. Anima remplace Druuna sans l'effacer complètement et ses traits sont sublimés.
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Une véritable succession d'aventures et de rencontres extraordinaires ! Comme on n'en trouve que dans les bandes dessinées...
Lire la critique sur le site : Sceneario
Si ce volume n’apporte rien de fondamental au développement de la série, il est un ravissement pour les yeux, chaque case pouvant être considérée pour elle-même et être contemplée indépendamment de l’intrigue.
Lire la critique sur le site : BDGest
Les fans de cet auteur de talent, et les coquins, se laisseront facilement séduire par les dessins vraiment superbes.
Lire la critique sur le site : Auracan
Paolo Serpieri en interview pour PlaneteBD.com