A priori, c'est le dernier Poulpe. J'ai donc le privilège de l'avoir, de l'avoir lu, et de l'avoir dédicacé :
Gabriel à Samatan, pour démasquer les vilains auteurs de faux suicides au pays du canard et du foie gras.
En respectant donc les codes ou le cahier des charges du Poulpe. Un Poulpe sans Cheryl ou presque. C'est donc léger, amusant, très distrayant, surtout quand comme moi, on est en train de faire du Gers son lieu d'implantation. J'y suis passé aujourd'hui, j'y retourne demain. Un terroir magnifique. J'ai toujours beaucoup aimé les canards. J'aime beaucoup le foie gras même si aimer les deux peut paraître un peu (tu parles) contradictoire...
Voilà, cette critique est ma manière à moi de rédiger ces quelques lignes sans simagrée.
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une belle rencontre avec l'auteur l'an passé au Polar à Pau, j'avais acheté ce livre sans savoir...
J'ai beaucoup aimé le personnage "le Poulpe", anarchiste n'aimant pas que le plus fort écrase le plus petit ! Non ce n'est pas un justicier mais un rebelle au grand coeur...
Le style d'écriture est très fluide, humoristique
J'ai adoré que l'action se passe dans le Gers (région voisine) que je connais bien !
Ce livre se lit d'une traite, on rit, on se détend !
c'est savoureux de parcourir Samatan, Gimont et faire un petit saut dans Toulouse ! On a l'impression de connaître les personnages qu'ils croisent tellement c'est vraisemblable !
un pur plaisir sauf..... la dernière page....
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Et après, on fait la sieste. Ce n'est pas qu'on ne fait rien, comme disent les Parisiens, c'est qu'on le fera plus tard.
Le Poulpe doit se l'avouer, il se fait une joie de revoir son canard. C'est un sentiment confus ; il s'est pris d'amitié pour ce volatile hors du commun, oiseau domestique bluffant, à mi-chemin entre le chien et le chat, fidèle sans être asservi, omniprésent bien que réservé.
Le Tableau du peintre juif - TRAILER