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EAN : 9782879297859
176 pages
Editions de l'Olivier (02/05/2013)
3.45/5   245 notes
Résumé :
Lorsque la narratrice arrive à Hollywood pour y effectuer une recherche biographique sur Buster Keaton, elle ne sait pas encore que son enquête va bifurquer dans une direction très personnelle, réveillant le souvenir d'Henri, ce frère « différent » qui l'a accompagnée pendant toute son enfance.

Quel rapport entre ce garçon dont le développement mental s'est interrompu, et le génie comique qui deviendra l'un des inventeurs du cinéma ?

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Critiques, Analyses et Avis (67) Voir plus Ajouter une critique
3,45

sur 245 notes
A Hollywood où elle est venue pour visiter la maison de Buster Keaton, la narratrice fait un parallèle entre l'enfant de la balle, longtemps maltraité sur scène par son père et Henri, son frère ''différent'', élevé à la dure par un père qui voulait en faire un individu autonome, ''normal''. Deux enfants que la vie n'a pas épargnés mais qui sont restés droits, ont pliés sans rompre, deux enfants incassables. Deux destins tragi-comiques mais surtout deux volontés fortes, qui ne connaissent ni les lamentations, ni le découragement, ni le renoncement.
Buster, né Joseph, mais rebaptisé de ce surnom qui signifie casse-cou après une chute spectaculaire dans les escaliers à l'âge d'un an à peine. Son père, artiste de music-hall qui n'a pas encore connu son heure de gloire, entrevoit tout de suite l'exploitation possible du talent d'un fils qui semble pouvoir subir coups et chutes sans sourciller. C'est ainsi que Joseph va participer aux spectacles de ses parents, jeté, brinquebalé, catapulté sur scène, à tel point que les services sociaux vont finir par s'en inquiéter. Mais cette expérience fondatrice fera de Joseph le plus grand acteur du cinéma muet, visage impassible, flegme à tout épreuve, résistance à toutes les catastrophes.
L'éventuel point commun entre Buster et Henri, c'est un père très présent. Mais celui d'Henri ne cherche pas à l'exploiter, au contraire, il veut faire de lui, un garçon indépendant, lui ouvrir toutes les portes, allant même jusqu'à lui promettre qu'un jour il pourrait être prof de tennis. Henri était un beau gros bébé à la naissance mais, quelques heures après, un vaisseau s'est rompu dans son cerveau. Sourd aux douleurs, aveugle aux larmes, il lui fait subir les pires traitements pour le faire tenir droit, parler correctement, marcher fièrement. Henri pourtant n'est pas un enfant comme les autres, la vie ne lui a pas distribuer les bonnes cartes. Diminué physiquement et mentalement, il supporte l'inflexibilité et les tortures paternelles sans fléchir.


Dans la vie, il faut savoir faire des choix : thé ou café, mer ou montagne, chocolat ou vanille, écrire une biographie de Buster Keaton ou un livre sur mon frère Henri...Mais certains indécis ne savent s'y résoudre et nous voilà avec un livre bancal qui tente de créer un lien entre la star du cinéma muet et un enfant handicapé. Les deux parties sont certes intéressantes et émouvantes mais l'auteure passe de l'une à l'autre au petit bonheur la chance et si son édifice ne s'écroule pas, c'est bien grâce à la personnalité de ses deux héros. Buster d'abord, qui a fait rire les foules sans jamais rire lui-même. Et Henri ensuite, ce frère avec lequel elle n'est pas liée par les liens du sang puisqu'il est le fils du deuxième mari de sa mère, mais qu'elle aime de tout son coeur. C'est toute la tendresse de la soeur que l'on lit entre les lignes quand elle évoque Henri mais qui disparaît quand vient le tour de Buster. La vie de l'artiste est passionnante mais la narration en est forcément plus distanciée et manque donc d'émotion. Les deux vies se mêlent, sans réelle harmonie, et sans que l'on comprenne le choix de Florence SEYVOS de les relier. Deux bonnes idées qui auraient mérité d'être traitées séparément, pourquoi pas sous forme de nouvelles ?
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Dans ce court roman, Florence Seyvos nous raconte deux histoires en parallèle: celle de Henri, demi- frère de la narratrice, au corps et à l'intelligence atrophiés, et celle de Buster Keaton, une des plus grandes "stars" du cinéma muet dont le père, dès l'âge de 5 ans, en avait fait l'élément fort de ses spectacles : une poignée attachée dans le dos, Buster était projeté à travers les salles avec une rare violence. Peu de points communs entre ces deux destins, si ce n'est cette façon d'être en déséquilibre, de chuter sans cesse. le père d'Henri impose à son fils les rééducations les plus pénibles afin d'en faire un enfant "comme les autres" - ce qu'il ne sera jamais -, tandis que le père de Buster Keaton s'est évertué à le rendre différent, à l'abîmer dans son corps et son âme.

Jamais Florence Seyvos n'explique cet étrange parallèle. A aucun moment, elle n'explicite en quoi ces deux destins se répondent. Et pourtant... Si dans un premier temps, on est abasourdi par cette jeunesse de Keaton, on est très vite happé par les expériences et la personnalité d'Henri. Aucune des deux histoires ne prend le pas sur l'autre. Toutes deux révèlent courage, souffrance et marginalité face aux regards des autres et aux destins qui leur sont imposés. Tous deux sont à l'écart de la "normalité". L'équilibre entre ces deux récits est parfait. Jamais nous ne nous lassons de l'un au profit de l'autre. Chacun s'alimente sans que nous puissions réellement expliciter le pourquoi. La lecture de ce beau texte plein de délicatesse et de pudeur se révèle poignante. Florence Seyvos rend un bel hommage à ces deux petits stoïciens qui résistent à la violence du monde. Un livre étrange, séduisant.
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C'est l'histoire... c'est l'histoire ,sur une photo en noir et blanc, d'un garçon en T-shirt rayé; les mains sur les hanches, qui sourit en regardant l'objectif. La petite fille a 8 ans , et quand elle met les mains sur ses hanches, elle se sent presque invincible. C'est la photo du premier Henri, son oncle , dont le cerveau, qui avait déjà souffert à la naissance, a de nouveau été endommagé par deux encéphalites successives. Il est mort à 33 ans. Une vie pour rien, a dit sa mère qui disait aussi devant l'autre Henri, que ces enfants-là, il ne faudrait pas les laisser vivre.

C'est l'histoire d'un autre Henri, donc, il a neuf ans, la petite fille en a 11. Il est lui aussi handicapé, il va devenir son "frère ".
Le père d'Henri dit: " Les enfants, il faut les casser."Il pense sincèrement qu'on ne peut élever un enfant sans le casser , qu'il n'y a pas d'autre solution. Pas simplement plier, casser. Il faut entendre le craquement de la tige de bois que l'on ferme sur elle-même, à deux mains, d'un coup sec.

"Henri s'est cassé tout seul, quelques heures après sa naissance. C'était un beau bébé dodu de plus de trois kilos. Et tout à coup, un vaisseau s'est rompu dans sa tête.....
Le père d'Henri pense qu'il a cassé son fils et qu'il a bien fait, car ainsi il pourra exercer un métier, se marier et avoir des enfants.
Henri marche, mais ne deviendra jamais professeur de tennis.
Ce matin, le maçon ,qui s'appelle Yacouba et qu'Henri et son père connaissent depuis des années, est venu réparer la palissade. Henri, de mauvaise humeur, a refusé de lui dire bonjour. Son père s'est mis en colère et lui a ordonné de dire bonjour. Henri s'est obstiné dans son refus. Son père l'a obligé à se mettre à genoux dehors, sur le ciment, en lui disant qu'il resterait là, jusqu'à ce qu'il se décide à saluer poliment Yacouba. Henri est resté là une heure, il hurlait, pleurait de rage et refusait de céder. Henri est un petit saligaud de roseau qui plie mais ne rompt pas"

C'est l'histoire d'un autre enfant, prénommé Joseph. Qui tout petit tombe dans des escaliers , ne pleure pas, ne se casse rien. That sure was a buster dit son père.
Dans le monde du spectacle, "a buster", c'est une chute, une chute spectaculaire. Joseph vient de changer de nom, il s'appellera Buster.
C'est l'histoire de Buster Keaton.

De ces histoires parallèles, Florence Seyvos tire un récit( ou un roman, mais ce n'est pas précisé) que j'ai beaucoup aimé. Une écriture très simple , une construction très travaillée, aucun pathos, un regard plein de tendresse sur des personnages un peu décalés..
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Ce court roman met en page deux destinées particulières, l'une de l'ombre, un être que le handicap fige dans une réduction des possibles, et l'une de la lumière, celle que diffusent les écrans du cinéma : c'est Buster Keaton, dont le nom évoque immédiatement le mécano de la générale.

Les deux récits sont passionnants.

L'éducation d'Henri par un père qui gardera longtemps l'espoir d'en faire un prof de tennis, quand bien même l'acquisition de la marche a été un long combat, est très spartiate. Henri, peu à peu, s'appropriera les conventions sociales qui, faute d'avoir un sens, feront de lui un citoyen adapté, du moins pour son entourage. L'ouverture sur le monde extérieur, l'accès à l'indépendance, par l'intermédiaire d'une structure adaptée, dont l'auteur raille le conformisme et le jargon (eh oui, prendre le bus seul peut constituer une inscription dans un projet d'avenir!).

Quant à Buster Keaton, l'histoire de sa vie est édifiante. Malmené voire maltraité par ses parents qui l'utilisent en tant qu'attraction dans un numéro de cirque. Malgré cela, peu de séquelles sont repérables...Incassable! Il connaîtra la gloire au cours d'une vie chaotique : génie autodidacte, son adhésion au conformisme social est plus qu'aléatoire. Et l'on perçoit bien que les liens qu'il noue se font et se défont à l'aune de son succès.

Qu'est ce qui unit ces deux destins? La fragilité, l'adhésion artificielle aux règles du jeu social? La solitude sûrement, pour ces deux êtres dans leur bille de singularité. La passerelle qui les associe au sein de ce récit reste ténue.

Une lecture intéressante, mais qui auraient pu faire l'objet deux nouvelles séparées.
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Les critiques l'ont présenté comme peut-être le meilleur livre de l'année. Je n'ai pas cherché à faire de classement mais assurément ce livre m'a pris par surprise et la surprise était belle.

Deux destins, trois personnages. La narratrice a hérité d'un frère vers 11 ans parce que sa mère s'est remariée, aujourd'hui elle est à Los Angeles sur les traces de Buster Keaton la vedette du cinéma muet. Au fil des pages un récit en miroir se fait.
Henri le frère a un grand corps qui ne tient en équilibre que par moults efforts et harnachements, par des exercices permanents et épuisants. Comme sa tête a aussi des ratés il a appris par coeur des réponses automatiques en série ce qui donne des échanges tout à fait surprenants, comme cette réaction à la mort du père qui fait dire à Henri « Eh bien, je n'aimerais pas être à sa place. »
Et Buster Keaton l'élégant qui se prend les pieds dans le tapis, Buster que son père a doté d'une poignée dans le dos pour faire un numéro sur scène, il est devenu l'enfant projectile, l'enfant aux multiples fractures capable de résister à tout.
Une constante pour ces deux hommes : pas un cri, pas une plainte, Buster, devenu récalcitrant à la douleur, enchaine les cascades et se vautre sans arrêt pour la grande joie du public, et Henri contre vent et marée tente de mener une vie normale, de travailler, et même d'aller au cinéma. Je vous recommande la scène pathétique où Henri laisse la file avancer sans lui...
Ils sont des marginaux dans un monde à part où il est difficile de les rejoindre. Des hommes résignés mais qui sont capables de se révolter pas toujours pour leur bien.

Le milieu du cinéma Florence Seyvos le connait bien, scénariste de plusieurs films dont le très bon « Camille redouble », son portrait de Buster Keaton est saisissant et celui qu'elle porte sur Henri plein d'amour.
Un roman épatant sans chichis, sans effets, dont le ton plein de gravité et d'empathie nous donne envie de faire la connaissance d'Henri et de Buster « L'Homme qui ne rit jamais »

Lien : http://asautsetagambades.hau..
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critiques presse (5)
LaPresse
24 juillet 2013
De ces histoires entremêlées, résulte un très beau roman sobre et prenant, une étude tout en finesse sur des vaincus vainqueurs à leur manière.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Liberation
15 juillet 2013
Florence Seyvos a du génie pour se débarrasser des tics de l’époque comme on éloigne une mouche. [...] Elle garde ses histoires longtemps en tête. Certaines sont des ritournelles qu’elle se racontait avant de s’endormir.
Lire la critique sur le site : Liberation
LeFigaro
30 mai 2013
Florence Seyvos contemple deux destins placés sous le signe de la chute du corps, deux hommes en inadéquation avec le monde environnant.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Lexpress
16 mai 2013
C'est un beau roman, au style simple et proche du coeur, qui dit la façon dont chacun grandit dans le regard des autres, comme au cinéma.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Telerama
02 mai 2013
Chez Florence Seyvos, rien n'est jamais définitif, la silencieuse inversion des rôles est une question de survie.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
Sur le chemin du retour, je découvre au milieu des pierres des galets étranges, rouge sombre, rayés ou quadrillés de lignes grises. Certains sont de très grande taille, d'autres ressemblent à de gros oeufs, d'autres encore sont en forme de poire ou de stylo, amis quelle que soit leur forme, leurs arrondis sont parfaits. J'en prends un dans ma main, intriguée par ce rouge foncé et la ligne grise qui le traverse, toute droite, et soudain je comprends que c'est un morceau de maison que je tiens dans la main ; deux briques assemblées par du ciment et polies depuis trente-cinq ans par la mer, à la manière d'un glacier, et venant se dissoudre sur la grève. On ne voit plus rien, et pourtant les maisons sont encore là sous nos pieds. Je m'étonne que les promeneurs ne marchent pas les yeux rivés au sol.
Au fil du temps, j'ai vu ces galets rouges devenir de plus en plus petits, de plus en plus rares. La dernière fois que j'ai marché sur cette plage, je n'y ai trouvé que quelques allumettes rouges, à peine de la taille d'un pouce. En cinquante ans, les ruines avaient presque fini de se dissoudre.
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Henri recommence, plus doucement. ses yeux brillent, il regarde son père comme si son père était Dieu et qu'il lui appartenait exclusivement à lui, Henri; Un regard d'adoration ravie. Ils sont seuls au monde. Ils sont les rois du monde. Je les vois et je pense que mon cœur est atrophié, pas seulement le mien, il en est de même pour tout le groupe humain dont je suis issue : notre cœur est une petite machine sage qui ne produit que des ersatz de sentiments. je n'ai jamais vu un lien aussi fort entre deux personnes. je n'ai jamais vu un père et un fils s'aimer autant; (p.26)
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Mais le chagrin, Henri, où le mets-tu ? Tes yeux ne pleurent jamais. La tristesse semble ricocher sur toi. Je sais qu'elle entre pourtant, filtrée par ta vision du monde. Alors, dans quel recoin de toi-même l'enfermes-tu ? (p.110)
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Mon frère, toi qui peines à enjamber une flaque d'eau, toi pour qui le monde est aussi peu lisible que ce plan que tu tenais à la main, que ferais-tu si te perdais encore ? Et que ferais-tu si c'était la guerre ? C'est idiot, si c'était la guerre, nous serions perdus, apeurés, sans doute aurais-tu moins peur que nous. Toi qui reçois les mauvaises nouvelles comme de la pluie sur tes chaussures, les brimades comme une rafale de vent sur ton visage.
Mais le chagrin, Henri, où le mets-tu ? Tes yeux ne pleurent jamais. La tristesse semble ricocher sur toi. Je sais qu'elle entre pourtant, filtrée par ta vision du monde. Alors, dans quel recoin de toi-même l'enfermes-tu ?
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Aucune phrase au monde n’est plus proche de ce qu’elle ressent à cet instant, juste avant que son bébé n’apparaisse. Rien de plus, je ne pourrais rien demander ni espérer de plus, merci, oh merci, Dieu, qui que vous soyez, merci. De chaque côté de son visage, des larmes de gratitude lui coulent dans les oreilles. Personne ne les voit, ils sont tous occupés à faire apparaître ce bébé qu’elle attend depuis cent ans, et qui arrive, du fond des âges, de sa galaxie personnelle. Oh, petit garçon, puisses-tu être incassable.
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Videos de Florence Seyvos (9) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Florence Seyvos
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