AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bina


Parce que ce livre était comparé aux Lettres Persanes de Montesquieu, je l’ai acheté. Déception dans l’ensemble. Pourtant, le postulat de départ me plaisait.
A partir de l’âge de cinq, pour chacun de ses anniversaires, le grand-père de Miki Suzuki lui raconte une partie de son voyage en France qu’il a effectué dans sa jeunesse. Ah ! la magie de Paris. La magie du voyage est retranscrite dans le récit, à tel point que le jeune femme devient obsédée par cette ville : elle apprend le français, l’histoire, les monuments, la culture de Paris.
L’occasion d’effectuée ce voyage se produit sur son lieu de travail. Elle gagne un voyage. Miki l’effacée veut tout voir, jusqu’à la folie.
Mais voilà le hic. A partir de là, je n’accroche plus. L’intrigue autour de Miki la pestiférée ou de Miki l’héroïne, selon le camp dans lequel on se place n’a plus vraiment de sens, et on s’éloigne de la rencontre culturelle et amicale entre deux pays. On sort du décalage et de l’humour du regard de l’autre sur nous, pour entrer dans des relations exagérées et haineuses sans fondement. Dans cette deuxième partie de l’histoire, le livre me tombe des mains, à tel point que pour une fois…j’abandonne !
PS: j'ai vérifié, le syndrome de Paris existe bien.
Commenter  J’apprécie          50



Ont apprécié cette critique (4)voir plus




{* *}