AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : SIE47309_2911
Le Livre de Poche (30/11/-1)
4.12/5   148 notes
Résumé :
Roméo aimait Rosaline. Lysandre aimait Hermia et Démétrius Héléna. Tout à coup, comme en dansant, les hommes changent de cavalières. Juliette apparaît à Roméo et leurs lèvres se joignent au milieu du bal.
Une nuit d'été, un lutin effleure les paupières d'un homme endormi, à son réveil il en aime une autre.
Illumination pour Roméo et Juliette, illusion pour les amants du Songe, l'amour est fou. Shakespeare en chante la douce et terrible folie, l'enchant... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Songe d'une nuit d'été, Roméo et JulietteVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Lorsqu'on entre dans une boulangerie-pâtisserie, on sait parfois que le pain est très bon et la viennoiserie exécrable ou réciproquement. Bien évidemment, les deux peuvent être exécrables, auquel cas on n'en parle pas et on va voir ailleurs. Il arrive aussi, mais c'est plus rare, que les deux soient excellents, et là on devient fidèle parmi les fidèles.

Vous aurez compris qu'il est éminemment affaire de goût dans cette histoire et que celui-ci aime ce pain, celui-là le tolère et cet autre encore ne le supporte pas. Pour ma part, lorsque j'entre dans la boulangerie-pâtisserie Shakespeare, je raffole de la tragédie, j'aime plutôt bien ses tragi-comédies et par contre, j'ai beaucoup de mal avec ses comédies.

Si je vous dis que Roméo Et Juliette est une tragi-comédie et que le Songe D'Une Nuit D'Été est une comédie, vous aurez déjà compris où je veux en venir. Mais approfondissons quelque peu.

1) ROMÉO ET JULIETTE
Il faut probablement remonter jusqu'à Boccace pour comprendre l'ensemble du phénomène et la suite d'appropriations et de réappropriations d'oeuvres désormais quasi oubliées qui ont conduit au chef-d'oeuvre que l'on connaît.

Boccace a connu un tel succès avec son Décameron que nombre d'écrivains italiens ont tenté d'exploiter le filon. Ainsi, Masuccio de Salerne (1410 – 1475) produira un Novellino, ouvrage qui regroupe cinquante courtes nouvelles, dont la 33ème, qui est une certaine Romeo e Giulietta.

C'est une version certes primitive mais déjà suffisamment marquante pour avoir été repérée, reprise et enrichie par Luigi da Porto (1485 – 1529) et qui a son tour sera ré-assaisonnée par Matteo Bandello (1480 – 1561) dans son gros corpus d'histoires courtes, dont Shakespeare connaissait la traduction du français Pierre Boaistuau.

Mais, si William Shakespeare remet le couvert de Roméo Et Juliette, c'est qu'il a sûrement une ou deux idées en tête, le bougre, en cette fin du XVIème siècle, particulièrement chaude sur la question du mariage, notamment en raison du séisme que provoque la réforme protestante. Laquelle doctrine défend le mariage « d'inclination » au détriment des règles classiques du mariage dans tout le monde chrétien, à savoir, le choix des parents et l'intérêt de la famille.

De tout temps, hier comme aujourd'hui, quel meilleur symbole d'émancipation pour la jeunesse que celui de Roméo et de Juliette, deux amoureux qui n'ont que faire de l'opinion de leurs parents respectifs et qui préfèrent braver l'interdit que de s'interdire leur amour ?

Ce thème, en lui seul, suffirait presque à expliquer le succès de la pièce depuis plus de quatre siècles. Mais il n'est probablement pas tout. Aussi, vais-je hasarder une autre interprétation qui n'est pas spécialement fréquente pour cette pièce.

Shakespeare nous dresse un tableau où deux familles rivales s'opposent, pour des raisons anciennes, obscures et probablement oubliées, dans une lutte à mort. le vieux Montague et le vieux Capulet sont deux respectables, aimables, riches citoyens de Véronne, estimés l'un et l'autre du seigneur de la ville, mais ils ne peuvent pas se sentir, c'est comme ça.

Chacun des membres du clan ne demande que le prétexte pour se lancer dans une échauffourée avec la bande rivale. C'est ce point qui me semble capital dans la compréhension des intentions de l'auteur dans cette tragi-comédie.

La première version publiée de l'oeuvre remonte à 1597, mais il est clairement spécifié qu'à la date de cette publication, la pièce est déjà montée et jouée depuis un certain temps, certains avancent 1594, mais à la vérité on n'en sait rien, juste une présomption. Que ce passe-t-il dans l'Angleterre de Shakespeare à cette époque ?

1588, Francis Drake bat l'Invisible Armada espagnole mais le risque d'une invasion de l'Angleterre par les Espagnols est réel. de nombreux combats ont eu lieu avant et se poursuivent après cette date.

L'Irlande (déjà elle !) est une véritable poudrière et risque d'exploser à la figure de l'Angleterre, notamment en servant de base arrière à l'armée espagnole.

Bref, Philippe II d'Espagne (le fils de Charles Quint) et Elisabeth Ière d'Angleterre ressemblent étrangement à ces vieux Montague et Capulet, qui se crêpent le chignon sans trop savoir pourquoi, pour d'anciennes histoires de prestige (notamment liées au commerce dans les Antilles et en Amérique).

Comment s'appelle le poison, le démon des Espagnols ? Ne serait-ce un certain Francis Drake ? N'est-ce point un poison qui tue Roméo ? N'est-ce point une arme virile qui tue Juliette ? La symbolique du démon et de la folie est également évoquée dans la tirade de Juliette, juste avant qu'elle n'avale la fiole à la scène 3 de l'acte IV.

Shakespeare utilise le terme de mandragore. C'est certes une plante, connue pour ses vertus hallucinogènes et de supposées propriétés magiques, mais c'est aussi une façon, en langue anglaise, d'évoquer le démon et l'occultisme. Je vous le donne en mille, comment se dit mandragore en anglais ? Mandrake ! Man Drake !

Bien évidemment, on peut toujours arguer le hasard, mais venant de Shakespeare, le doute est plus que permis. Comment s'achève la pièce ? Les deux clans pleurent les innocents morts pour rien et leur élèvent à chacun une statue d'or. Voilà qui leur fait une belle jambe, n'est-ce pas ?

Donc, outre l'appel à l'émancipation de la jeunesse et à la fin de la férule des parents, je vois dans cette pièce un message plus politique, celui que quand les puissants s'affrontent, les enfants innocents de chaque nation payent l'addition et que tout ce qu'ils récoltent, c'est, au mieux, un monument à leur nom. En somme, une dénonciation de la folie des dirigeants qui s'engagent dans des conflits sans fondement et qui sacrifient de jeunes vies pour cela. À méditer par les temps qui courent...

Après le pain, passons maintenant à ce que je considère comme une purge tellement c'est sucré et mièvre et pâle au goût, à savoir :

LE SONGE D'UNE NUIT D'ÉTÉ
Ce que je m'y suis ennuyée : un vrai calvaire (et en plus c'était un calvaire solitaire, donc forcément ça ronge de l'intérieur) !

Les fleurs d'amour, les sortilèges, les quiproquos voireux… pfff ! ce n'est vraiment pas mon truc. J'ai pour principe de considérer que quand une comédie, à aucun moment, ne me fait rire, ni même sourire, selon mes critères, c'est une comédie ratée.

Donc, pour celles et ceux qui aiment le sucre et l'huile de palme à gogo, sachez que la pièce se déroule en Grèce à l'époque héroïque de Thésée et d'Hippolyta, la reine des Amazones. (L'auteur utilise abondamment comme source d'inspiration la tradition antique léguée notamment par Les Métamorphoses d'Ovide.)

Ces deux-là ont échafaudé de se marier mais comme l'intrigue a besoin d'un peu plus de matière grasse, Shakespeare a imaginé de fourrer son beignet avec deux ou trois autres couples boiteux histoire de compliquer la donne.

Ainsi, Lyssandre aime Hermia, fille d'Égée, et elle l'aime aussi. Tout va bien alors ? me direz-vous. Non, pas tout à fait, car Égée, lui, ne veut pas entendre parler de Lyssandre et n'a d'yeux que pour Démétrius, ce qui, évidemment, n'est pas du tout du goût d'Hermia. Vous me suivez ? Non ? Vous dormez déjà ?

Mais ce n'est pas tout, car Démétrius était au préalable amoureux d'Héléna, la meilleure copine d'Hermia, avant de changer de cap et de lorgner sur cette dernière. Mais elle, Héléna, est restée raide dingue de Démétrius. On n'en sort pas. Et comme si tout ça n'était pas suffisant, voilà-t-y pas qu'il y a de l'eau dans le gaz chez les Fées également !

Obéron, le patron des farfadets, trolls et autres sortilégineux se prend le bec avec sa bourgeoise Titania, la taulière des elfes & fées. du coup, l'Obéron, qu'a plus d'un tour dans son sac se dit qu'il va lui faire mettre un coup de fleur d'amour dans le nez à la Titania pendant son sommeil et que ça va pas traîner.

Au passage, dit-il à Robin, son homme de main, en te promenant, tu vas mettre aussi un p'tit coup de fleur à Démétrius, histoire qu'il regarde à nouveau Héléna avec des yeux lubriques à son réveil.

C'est là qu'intervient la scène censée être d'anthologie où Titania se réveille et tombe en pâmoison devant un gugusse à tête d'âne. Rrrrr ! Zzzzz ! Rrrr ! Zzzzz ! [ceci symbolise les " elffets " du sortilège d'Obéron sur moi ou bien d'une digestion compliquée d'un beignet décidément trop gras]

Cependant, vu qu'Obéron donne à Robin des instructions claires comme du jus de boudin, l'autre, pas plus consciencieux qu'il ne faut, badigeonne des grands coups de fleur d'amour à… Lyssandre ! Aaah, l'innocent ! L'étoudi ! Ouh, là, là ! Ça va être dur à rattraper un coup comme ça ! J'aime mieux vous laisser découvrir la suite par vous-même.

Faut-il encore que je vous parle d'une troupe de comédiens amateurs qui essaiyent à tout prix de faire une pièce pas drôle, et que c'est vraiment pas drôle de les voir faire leur pièce pas drôle… Zzzzz ! Rideau.

Bon, à l'extrême — extrême — rigueur, on pourrait supputer une toute petite once d'intérêt à la réflexion de l'auteur à propos de l'éphémère sensation qu'est l'amour en nos vies… Ouaip. Vous aviez besoin de ça pour avancer ?

Bon, je ne vous cache pas que selon moi, ce livre vaut surtout pour sa première pièce, mais après, vous en faites ce que vous voulez car ce n'est que mon avis, c'est-à-dire, pas grand-chose.
Commenter  J’apprécie          865
Le moins que l'on puisse dire, concernant "Roméo et Juliette", et "Le songe d'une nuit d'été", est que, mon avis, concernant la première pièce, contraste, avec celui concernant la deuxième.
J'ai adoré "Roméo et Juliette". C'est vraiment une grande pièce, parfaite en tous points, que traverse des questionnements profonds, sur la vie en société. On notera, dans cette pièce de William Shakespeare, une très belle construction, une façon très accomplie de raconter cette histoire d'amour et de haine.
J'ai nettement moins apprécié le "Songe d'une nuit d'été". Il s'agit, à mon avis, d'une pièce, dépourvue de profondeur, un petit divertissement folâtre, dont la fantaisie, a certes, du charme, mais qui, demeure superficiel, et, au final, assez ennuyeux, à mon goût.
Commenter  J’apprécie          180
C'est avec cette version du Livre de Poche réunissant deux des pièces célèbres de William Shakespeare que j'ai connu l'intemporel dramaturge. Roméo et Juliette et le Songe d'une nuit d'été contenu dans ce livre, deux oeuvres marquées par l'amour et les jeux qui s'y nouent, l'une tragique, l'autre comique.
Comment peux-je résumer ces deux pièces du théâtre anglais que beaucoup ont déjà réussi à le faire mieux que moi ? Romeo et Juliette qui raconte les amours contrariés de Romeo Capulet et de Juliette Montaigu séparés par la haine mutuelle qu'entretiennent les deux familles dans le climat de guerre animant Vérone et dans le Songe d'une nuit d'été les manigances farcesque des fées qui se livrent entre eux sous une nuit chaude de juin et que subissent de jeunes gens fuyant Athènes parce que s'aimant de manière interdite. La différence séparant ces deux intrigues étant que comment ces romances se termineront, l'une dans la tragédie et la désolation, l'autre dans l'allégresse et dans la béatitude. Mais toutes célèbrent et montrent la force de l'amour qui défie les conventions sociaux et poussent à toutes les folies.
Roméo et Juliette peut sembler étrange quand on l'ouvre car, et c'est là la surprise, elle commence comme une comédie : badinerie des nobles, bagarre fanfaron et parfois ridicule entre les hommes qui se défient pour rien, jeux de mots bien avisés et parfois graveleux (qu'hélas la traduction française restitue mal) et la douceur sucrée de la liaison amoureuse entre deux tendrons que s'aiment purement. Il faudra attendre l'acte III et la mort soudaine et violente de Tybalt, qui brise alors le ton de la pièce pour que l'engrenage infernale s'enclenche et que la tragédie peut opérer. Inutile aussi de conter la fin déchirante du couple mais qui continue de saisir et d'émouvoir dans sa beauté et sa tristesse. En dépit de son ancienneté, la pièce est d'une singulière modernité, ou les tourtereaux que peuvent s'identifier les adolescents d'aujourd'hui s'opposent contre la guerre et les vieilles traditions que se livrent leurs familles hautaines prêtres à leurs jeter des bâtons dans les roues et que seul l'amour à la mort pourra réunir dans la paix les deux clans, ou la jeunesse qu'on qualifie d'inconstante triomphe malgré la chute et on peut qu'admirer Juliette qui agit, décide et organise son sort et qui ne se contente pas de rester sur son balcon à écouter la sérénade magnifique de Roméo, un féminisme certes discret mais qui dans notre ère actuel peut qu'être redécouvert.
Le Songe d'une nuit d'été est certes plus légère que la pièce tragique mais loin d'être une simple bouffonnerie fantaisiste. On se perd très vite dans le déroulement de l'histoire, qui est très confus, dû surtout aux amusements des fées qui brouille les pistes. Dans l'atmosphère onirique régnant sur les âmes et corps, dans les multiples enchantements qui troublent la vue, le surnaturel s'introduit dans la réalité. On rit aux farces que se livrent les fées, aux piètres acteurs jouant Pyrame et Thisbé (qui a d'ailleurs inspiré Shakespeare pour Romeo et Juliette), à Lysandre, Hermia, Demetreus et Lysandre qui s'écharpent du à la potion d'amour qui les font aimer les uns des autres avec les quiproquos et à Bottom doté d'une tête d'âne que courtise les fées et leur reine Titania mais on est éblouis mais aussi anxieux par la splendeur princière des fées qui ne sont pas encore les adorables pixies et autres fées clochettes mais des puissances redoutables et manipulant les destins à leurs guises : des puissances capricieuses dont une dispute futile entre Titania et Obéron est le début de ce large cafouillage et qu'aucun des deux n'est puni à la fin malgré tous les dégâts causés par leurs manipulations. Une pièce qui fait rêver par ses images fantastiques, par ses jeux d'ombres et de lumières et qui continue toujours d'enchanter petits, les petits pour le spectacle et les quiproquos, les grands par la poésie sublime de Shakespeare, des sous-entendu parfois gaillards qui se cachent derrière de chastes et picturales phrasés, et la cocasserie générale qui y règne.
Deux pièces éternelles sur l'amour et leurs effets, qui influent sur les mortels comme les fées, et qui font basculer des vies. Deux pièces à lire pour le plaisir et l'émerveillement, pour pleurer et rire tout simplement et admirer l'image double de l'être humain qui chante joyeusement ou dans la lamentation les effets de la passion amoureuse.
Commenter  J’apprécie          20
Que dire de cette oeuvre, sinon que tout a été déjà dit ?

Dialogues pompeux et passionnés, rêves fous de jeunesse finissant tragiquement, mais que l'on désire ô combien avoir le courage d'appliquer à notre propre vie !
Ces deux pièces de théâtre sont faites pour rêver, et s'évertuent à montrer la cruauté et l'inéluctabilité de l'amour, manipulable au gré des envies de Cupidon ou des malicieux elfes, métaphores peut-être des désastres de ce diable d'Amour ;)
Commenter  J’apprécie          20
Des classiques, à lire absolument! Ne serait-ce que pour avoir lu Roméo et Juliette, qui est une pièce pleine d'humour, de répliques obscènes, de violence, loin de la fade histoire d'amour romantique, réécrite, déformée et adaptée à toutes les sauces. J'ai lu cette pièce dans une édition bilingue, avec des notes explicatives, et je vous conseille de faire de même pour ne pas passer à côté des jeux de mots savoureux, gommés la plupart du temps par la traduction française.
Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (5) Ajouter une citation
LE RUSTRE : J'ai eu une vision très extraordinaire. J'ai fait un rêve, ça dépasse le pouvoir de l'esprit humain de dire quel rêve c'était. L'homme n'est qu'un âne s'il tente d'expliquer ce rêve.
(CLOWN : I have had a most rare vision. I have had a dream, pas the wit of man to say what dream it was. Man is but an ass, if he go about to expound this dream.)

LE SONGE D'UNE NUIT D'ÉTÉ : Acte IV, Scène 2.
Commenter  J’apprécie          280
N'y a-t-il pas de pitié, planant dans les nuages, qui voie au fond de ma douleur ? Ô ma mère bien-aimée, ne me rejetez pas, ajournez ce mariage d'un mois, d'une semaine ! Sinon, dressez le lit nuptial dans le sombre monument où Tybalt repose !
Juliette
Commenter  J’apprécie          10
JULIETTE – [...] Oh ! sois quelque autre nom ! Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons une rose embaumerait autant sous un autre nom. [...]
Commenter  J’apprécie          20
C'est à ce moment, le hasard ainsi l'a voulu, que Titania s'est éveillée et s'est aussitôt amourachée d'un âne.
Commenter  J’apprécie          10
L'amour ne regarde pas avec les yeux, mais avec l'âme.
Commenter  J’apprécie          10

Videos de William Shakespeare (373) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de William Shakespeare
En Europe comme aux États-Unis, la pièce "Macbeth" de William Shakespeare est entourée de superstitions, au point d'être devenue maudite. Mais d'où vient cette malédiction présumée ?
#theatre #culture #art #shakespeare #macbeth
_____________
Retrouvez-nous sur : Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture TikTok : https://www.tiktok.com/@franceculture Twitch : https://www.twitch.tv/franceculture
Et abonnez-vous à la newsletter Culture Prime : https://www.cultureprime.fr/
autres livres classés : théâtreVoir plus
Les plus populaires : Littérature étrangère Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs (524) Voir plus



Quiz Voir plus

Roméo et Juliette

"Roméo et Juliette" est une comédie.

Vrai
Faux

10 questions
1992 lecteurs ont répondu
Thème : Roméo et Juliette de William ShakespeareCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..