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Critique de bigaremoira
J'ai rarement aussi peu aimé un livre. J'ai pourtant dévoré la première moitié de celui-ci, même si la protagoniste (Francesca), fille d'un homme riche et puissant a été couvé pour devenir une épouse parfaite toute sa vie : pas le droit aux études, pas le droit de faire du vélo pour pas risquer d'habimer l'hymen de sa virginité (sérieux ?),…
Ce qui fait d'elle un personnage soumis, sans esprit (sauf quand madame a des crises d'enfants gâtée et trouve rien d'autre à faire que de se rebeller en fumant à l'intérieur de la maison ou en coupant tous les vêtements de son mari…). de plus, le mari (Wolfe) qui lui est promis a 30 ans et elle viens a peine d'en avoir en 19 ans. Ce mec marie de force une gamine a peine majeure juste pour se venger de son père ? A la limite il aurais eu 25 ans, ça aurait développé une romance que j'aurais accepté, mais il est conscient que c'est encore une enfant et parle toujours d'elle comme étant une « adolescente », une gamine, une petite chose,…
Mise appart la mentalité de Francesca qui fait lever les yeux au ciel et la différence d'âge, j'aimais bien le synopsis qui était assez prometteur. Qui n'aime pas les enemies to lovers, la mafia, de l'argent, des somptueuses robes et maisons, un amour interdit,… Tout cela était sensé faire un magnifique cocktail pour une histoire d'amour pleine de rebondissement et d'action.
Jusqu'à ce qu'à la moitié du livre, l'auteur decide de nous écrire une scène d'une violence sexuelle inouïe qui frôle le viol sans nous mettre aucun trigger warning en début de livre. La protagoniste passe sa première fois avec un homme qu'elle déteste dans les conditions suivantes :
• « à l'intérieur je suis totalement paniquée. Il va prendre ma virginité, et de force »
• « mon état de choc »
• « Je n'ose même pas un coup d'oeil vers ce qui m'attends. Mon coeur bat si vite et si fort que je crains de vomir. »
• « Il insinue un doigt en moi, le visage dénué de toute émotion. Je prends une inspiration et m'efforce au calme alors que les larmes me brûlent les yeux à nouveau. Ça fait mal. Je ne sais pas ce qui est le plus douloureux, entre l'inconfort physique et la façon dont il me regarde sans me voir, comme si je n'étais rien de plus qu'un corps. »
• « Il essuie le reste de ma moiteur sur ma joue. J'ai envie de pleurer jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de moi mais je résiste. »
• « Il a utilisé un préservatif ? » (…) « Pour ma part, je n'en mettrai pas, mais tu trouveras la pilule du lendemain sur ta table de chevet en te réveillant. Tu prendras ce cachet sans poser de questions. Je me suis bien fait comprendre ? »
• « dans une poussée soudaine, il fait entrer son sexe en moi avec une telle force »
• « La douleur me transperce »
• « La piqûre est intense, au point que je dois me mordre la lèvre inférieure pour ravaler un hurlement de souffrance pure. »
• le seul indice que je suis encore consciente, ce sont les larmes qui commencent à inonder mon visage. Je mords ma lèvre fort pour ne pas émettre un son.
• « Je suis un fil de fer barbelé rouillé, emmêlé et noué en une balle de peur. »
• « Je reste allongée là et je le laisse me prendre. »
• « mes larmes qui ne cessent de ruisseler »
• « je sens mes larmes redoubler »
• « je passe le reste de la journée à pleurer dans mon lit. »
• « Bain de sang entre ses cuisses »
• « contusionnée au point d'avoir dû se rendre chez le médecin »
Cela me dépasse complètement qu'on fasse passer des violences sexuelles / viol pour quelque chose de romantique ou de sexy. le pire dans tout ça c'est que me je suis dit que je peux essayer de continuer ma lecture, et que c'était juste un mauvaise passage du livre que je n'ai pas aimé. Après tout, pourquoi pas laisser une seconde chance à une auteur si connue et dont le livre a de si bonnes notes ? Mais directement après se passage brutal et seulement 4 pages de remords de Wolfe, il retourne dans sa chambre le lendemain pour lui masser les parties géniales pour se faire pardonner et la doigter alors qu'elle lui répète qu'elle a encore mal ? Donc quand une femme violentée dois se remettre de ses émotions te dit qu'elle en a pas envie, tu lui réponds t'inquiète pas tu vas aimer ça ? Mais vu que madame mouille alors c'est qu'elle en a envie ? C'est quoi cette manière de penser ? Normaliser le fait de forcer une femme a ne pas mettre de préservatif et de prendre la pilule du lendemain en connaissant tous ses effets secondaires et considéré par la lois comme étant un viol. le mec vois la meuf pleurer toutes les larmes de son corps et saigner et arriver a jouir et en prends plaisir ? C'est quoi comme genre de livre ça ? Et ne vous détrompez pas, j'aime lire les dark romance, mais quand celle-ci inclue ce genre de rapports, c'est selon moi une obligation d'y inclure un trigger warning. Lire une dizaine de pages de préliminaires tordues et d'acte sexuel a ce point violent, ça ma donné envie de vomir.
Ce qui fait d'elle un personnage soumis, sans esprit (sauf quand madame a des crises d'enfants gâtée et trouve rien d'autre à faire que de se rebeller en fumant à l'intérieur de la maison ou en coupant tous les vêtements de son mari…). de plus, le mari (Wolfe) qui lui est promis a 30 ans et elle viens a peine d'en avoir en 19 ans. Ce mec marie de force une gamine a peine majeure juste pour se venger de son père ? A la limite il aurais eu 25 ans, ça aurait développé une romance que j'aurais accepté, mais il est conscient que c'est encore une enfant et parle toujours d'elle comme étant une « adolescente », une gamine, une petite chose,…
Mise appart la mentalité de Francesca qui fait lever les yeux au ciel et la différence d'âge, j'aimais bien le synopsis qui était assez prometteur. Qui n'aime pas les enemies to lovers, la mafia, de l'argent, des somptueuses robes et maisons, un amour interdit,… Tout cela était sensé faire un magnifique cocktail pour une histoire d'amour pleine de rebondissement et d'action.
Jusqu'à ce qu'à la moitié du livre, l'auteur decide de nous écrire une scène d'une violence sexuelle inouïe qui frôle le viol sans nous mettre aucun trigger warning en début de livre. La protagoniste passe sa première fois avec un homme qu'elle déteste dans les conditions suivantes :
• « à l'intérieur je suis totalement paniquée. Il va prendre ma virginité, et de force »
• « mon état de choc »
• « Je n'ose même pas un coup d'oeil vers ce qui m'attends. Mon coeur bat si vite et si fort que je crains de vomir. »
• « Il insinue un doigt en moi, le visage dénué de toute émotion. Je prends une inspiration et m'efforce au calme alors que les larmes me brûlent les yeux à nouveau. Ça fait mal. Je ne sais pas ce qui est le plus douloureux, entre l'inconfort physique et la façon dont il me regarde sans me voir, comme si je n'étais rien de plus qu'un corps. »
• « Il essuie le reste de ma moiteur sur ma joue. J'ai envie de pleurer jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de moi mais je résiste. »
• « Il a utilisé un préservatif ? » (…) « Pour ma part, je n'en mettrai pas, mais tu trouveras la pilule du lendemain sur ta table de chevet en te réveillant. Tu prendras ce cachet sans poser de questions. Je me suis bien fait comprendre ? »
• « dans une poussée soudaine, il fait entrer son sexe en moi avec une telle force »
• « La douleur me transperce »
• « La piqûre est intense, au point que je dois me mordre la lèvre inférieure pour ravaler un hurlement de souffrance pure. »
• le seul indice que je suis encore consciente, ce sont les larmes qui commencent à inonder mon visage. Je mords ma lèvre fort pour ne pas émettre un son.
• « Je suis un fil de fer barbelé rouillé, emmêlé et noué en une balle de peur. »
• « Je reste allongée là et je le laisse me prendre. »
• « mes larmes qui ne cessent de ruisseler »
• « je sens mes larmes redoubler »
• « je passe le reste de la journée à pleurer dans mon lit. »
• « Bain de sang entre ses cuisses »
• « contusionnée au point d'avoir dû se rendre chez le médecin »
Cela me dépasse complètement qu'on fasse passer des violences sexuelles / viol pour quelque chose de romantique ou de sexy. le pire dans tout ça c'est que me je suis dit que je peux essayer de continuer ma lecture, et que c'était juste un mauvaise passage du livre que je n'ai pas aimé. Après tout, pourquoi pas laisser une seconde chance à une auteur si connue et dont le livre a de si bonnes notes ? Mais directement après se passage brutal et seulement 4 pages de remords de Wolfe, il retourne dans sa chambre le lendemain pour lui masser les parties géniales pour se faire pardonner et la doigter alors qu'elle lui répète qu'elle a encore mal ? Donc quand une femme violentée dois se remettre de ses émotions te dit qu'elle en a pas envie, tu lui réponds t'inquiète pas tu vas aimer ça ? Mais vu que madame mouille alors c'est qu'elle en a envie ? C'est quoi cette manière de penser ? Normaliser le fait de forcer une femme a ne pas mettre de préservatif et de prendre la pilule du lendemain en connaissant tous ses effets secondaires et considéré par la lois comme étant un viol. le mec vois la meuf pleurer toutes les larmes de son corps et saigner et arriver a jouir et en prends plaisir ? C'est quoi comme genre de livre ça ? Et ne vous détrompez pas, j'aime lire les dark romance, mais quand celle-ci inclue ce genre de rapports, c'est selon moi une obligation d'y inclure un trigger warning. Lire une dizaine de pages de préliminaires tordues et d'acte sexuel a ce point violent, ça ma donné envie de vomir.
