On se dit à lire L'atelier des sorciers, qu'on a beau être cynique, las, amer, un peu déconnecté de la magie, on en aime pas moins le dessin mignon, les mechants à capuche toujours d'attaque, la naïveté pas si niaise qui se dégage des planches.
C'est comme une chanson. le refrain rassure et guide jusqu'au chapitre prochain.
Vivement qu'il nous soit conté.
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