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4,3

sur 1389 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Un livre dans lequel je ne suis pas du tout entrée. Je l'ai trouvé très ennuyeux et agaçant, je n'ai pas pu dépasser la 150e page. Pourtant l'histoire me semble très intéressante mais les litanies sans fin de la mère de Kévin sont longues, égocentriques et m'ont très vite désintéressées. Je me suis accrochée dans l'espoir que l'histoire avancerait et qu'on en apprendrait plus mais finalement le rythme est vraiment trop lent pour moi...
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En préambule : désolée de casser l'excellente réputation de ce livre sur Babelio...
D'abord séduite par cette mère-courage lucide et exigeante avec soi-même et les autres, je n'ai pu lire que ce très long livre (plus de 600 pages) qu'en diagonale...C'est un "crime" vu l'importance du sujet ! Cependant, bien qu'on parle de meurtres multiples, les thèmes et les situations sont plus que répétitifs pour un garçon meurtrier à la fois caricatural et insondable (on ne le connaîtra finalement jamais). L'excellente idée du roman épistolaire de la femme à son mari si distant finit par lasser, si ce n'est la scène finale qui intéresse forcément (voyeurisme humain oblige...). le style d'écriture n'a rien de lumineux et puissant mais ressemble plus à mon sens à un verbiage peu intéressant au regard du sujet.
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Alors parlons-en de Kevin ! Encore un exemple de livre que tout le monde a adoré… sauf moi !

Pourquoi j'ai détesté ce livre ? L'écriture : chronophage, un brin prétentieuse et beaucoup trop de détails. Je me suis vraiment ennuyée alors que l'intrigue aurait pu être palpitante. Et s'ennuyer pendant 600 pages…… c'est long !

« Il faut qu'on parle de Kevin » raconte l'histoire d'un jeune homme (Kevin, vous l'aurez compris) qui va tuer plusieurs élèves et certains professeurs de son lycée. Depuis sa naissance, c'est comme si cet enfant était la réincarnation de Satan : sourire de psychopathe, actes de cruauté, il semble être né pour faire le mal. Et chaque action est particulièrement dirigée envers sa mère, comme si la mission de Kevin sur Terre était de lui nuire.

J'ai trouvé intéressant d'aborder le thème de l'instinct maternel d'une autre manière. Une mère doit-elle aimer son enfant si ce dernier la déteste ? Comment peut-on avoir l'instinct maternel lorsque notre enfant nous rejette depuis sa naissance, hurle quand on l'approche et refuse de téter notre sein ?

L'introspection de la mère est intéressante en ce sens et c'est là le seul intérêt du livre.

Grosse déception pour ma part.

Lien : http://mademoisellechristell..
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Poignant
Cher lecteur(rice)s,
Lionel Shriver, nous offre à travers les lettres le témoignage poignant d'un mère. A travers les courriers, nous suivons les aventures d'une famille et de ses problémes au quotidien, avant la naissance de Kévin et jusqu'au fameux jeudi...
Je regrette cependant quelques longueurs dans le roman, et un vocabulaire parfois trop riche.
On ne connait jamais assez bien ses enfants... et le métier de maman est bien difficile... un retour en arriére impossible.
Livre à découvrir, et à lire.
Bonne lecture, qui ne vous laissera pas indifférent(e)s.
Christelle.
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J'avais beaucoup entendu parler de ce livre qui traite de la violence allant jusqu'au meurtre chez les adolescents aux USA... J'ai détesté ce livre: il est indubitablement noir, tragique, Kevin est monstrueux, complément psychopathe... J'ai du entrecoupé la lecture de ce roman épistolaire par d'autres livres plus gais au cours de ma lecture... Et pourtant, il fallait que je sache pourquoi cette mère écrivait à son (ex) mari, pourquoi Kevin avait-il fait ca... La fin du livre est encore bien plus tragique que ce que je m'étais imaginé... Ce n'est pas un livre que je conseillerai mais je pense que c'est un livre dont je me souviendrais...
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Décevant

J'ai lu attentivement les 150 premières pages malgré le style d'écriture incroyablement lent et snob, lu en diagonale jusqu'à la page 350 pour finir par sauter des chapitres entiers jusqu'à la fin...
Ce bouquin aurait pu être génial, j'ai adoré les sujets abordés et c'est ce qui m'a fait tenir jusqu'à la moitié, mais la lenteur de l'histoire, le style de narration, les détails inutiles et tous les personnages absolument pas attachants ont fait que ça a été un échec et une grosse perte de temps.
Hormis quelques rares passages, ce roman m'a profondément ennuyée
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Il est rare que j'ai autant détesté un livre aussi encensé par la critique et une bonne majorité du lectorat.
Détesté, le mot n'est pas trop fort tellement le traitement « infligé » par l'autrice à des sujets aussi complexes et délicats m'a semblé manipulateur et à côté de la plaque.

Or donc, Lionel Shriver nous propose de suivre l'histoire d'Eva, mère du jeune Kevin tout récemment condamné pour un massacre perpétré dans son établissement scolaire. Une mère – forcément – mise à l'écart par le reste de la société, une mère qui plus est torturée par son histoire personnelle puisque la relation nouée avec son fils dès son plus jeune âge n'a été vouée qu'à la plus complète détestation.
L'écriture se révèle sèche, distanciée, exempte de tout excès de pathos ce qui était d'ores et déjà un bon point.

J'ai très vite déchanté.

Le Kevin décrit par l'autrice apparaît très vite assez monolithique, plus proche d'un génie du mal à la Damian que d'un adolescent torturé. Mais bon, passe encore.
Arrivé à un petit tiers, le récit commence à sérieusement à tourner en rond entre les diableries de Kevin, la mère qui tente d'alerter tout le monde et le père joyeusement aveugle à tout ce qui se passe autour de lui. Ce qui me semblait être le coeur du sujet semblait encore fort lointain et je me demandais bien comment Lionel Shriver allait relancer son récit.
C'est donc à ce moment précis que j'ai balancé le bouquin (ce n'est pas une image) lorsqu'apparaît l'un des rebondissements les plus invraisemblable et malhonnête que je pense avoir lu : au beau milieu de nulle part, alors que l'héroïne est sensée narrer l'histoire à son mari en lui écrivant des lettres, on apprend comme sortie de nulle part, qu'elle a eu... un autre enfant. Comme par hasard, une petite fille. Comme par hasard, aussi gentille et douce que Kevin est vilain et pas beau. Et c'est là que j'ai réalisé (un peu tard) que Lionel Shriver écrivait tout bonnement un thriller manipulateur, avec suspense, rebondissements et tout et tout. Et qu'elle n'avait aucune intention de se confronter avec les potentiels dilemmes psychologiques des personnages ou les questions de responsabilités familiales ou sociétales devant ces explosions de violence qui traumatisent régulièrement les USA.

Ben oui, un bon vieux thriller avec des questions dont on se contrefiche (mais où est donc ce fameux mari à qui Eva écrit, que devient la douce Celia, sa petite soeur, qui sortira vainqueur du duel mère-fils?). Bref, un hors sujet dans les grandes largeurs avec, pour couronner le tout un rebondissement final totalement invraisemblable pour finir de « bouleverser » le lecteur (car oui, j'ai ensuite sauté directement à la fin pour être bien mesurer l'ampleur du naufrage).

Avec le recul, je rêve de ce qu'une Joyce Carol aurait pu faire d'un tel sujet.

Ici, mon jugement est sans appel : ratage total.
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Malgré les très bonnes critiques lues à propos de ce livre, je n'y ai pour ma part pas du tout adhéré, et l'ai même stoppé avant la fin. Je n'ai pas du tout accroché à l'aspect épistolaire à sens unique, rajoutant de la lenteur à un livre déjà long. Quand à l'introspection de la narratrice, elle m'a quant à elle peu touché. Un livre que je mettrai donc entre d'autres mains que les miennes !
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Impossible d'accrocher alors même que le sujet m'intéresse vraiment beaucoup.
J'ai tenté mais je pense ne pas avoir adhéré avec le style d'écriture: longueur dans les propos, manque d'intérêt du passé évoqué.
Je regarderai le film pour connaître l'histoire de Kévin.
Une fois de plus nous sommes toujours différents face aux ressentis d'une lecture aussi bien notée.
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