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La Malédiction Grimm tome 1 sur 3
EAN : 9782747036788
512 pages
Bayard Jeunesse (13/02/2014)
3.88/5   373 notes
Résumé :

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Critiques, Analyses et Avis (122) Voir plus Ajouter une critique
3,88

sur 373 notes
Tout dans ce livre m'a attiré : le titre d'abord : une malédiction… il laisse présager des situations délicates, du suspens, de la magie… et puis la couverture : si on regarde de près, on y distingue pas mal d'éléments que l'on retrouvera dans l'histoire, la quatrième de couverture quoique trop explicite, met l'eau à la bouche : elle laisse supposer un lourd mystère qui entoure une certaine « collection Grimm » et qui semble sujet tabou parmi les employés de cette étrange bibliothèque, je me suis donc mise à cette lecture pleine d'enthousiasme, et dès le début, je me suis sentie aspirée dans un monde pas si loin de celui d'Alice au pays des merveilles par ses côté excentriques, mais voilà, le début fort prometteur a fini par se désintégrer pour laisser place à quelque chose de fade, très fade, baigné dans une ambiance d'ados amoureux, style roman à l'eau de rose avec, il est vrai un mystère à éclaircir. La collection Grimm, élément qui semblait assez extraordinaire au début, devient banale, et je n'ai pas retrouvé le « merveilleux » que l'on peut rencontrer dans les contes traditionnels, ce qui aurait été bienvenu : il est vrai que Polly Shulman se sert d'éléments de contes connus pour intégrer ses héros dans un conte à leur tour : Elisabeth devient une héroïne serviable qui retrouvera des aides durant son aventure, qui ne manque pas de courage et qui parviendra à ses fins… l'auteure a sans doute eu le désir d'accrocher les ados par un leurs centre d'intérêt , à savoir l'attirance pour le sexe opposé, mais elle aurait pu transformer cette aventure en quelque chose de grandiose où les enfants agissent en vrais héros, travailler sur un territoire plus vaste rappelant le vaste monde cher à nos auteurs de contes, mêler les héros à la population ordinaire histoire de faire sourire… mais bon, je pars dans mon délire peut-être… Malgré tout ce que je viens d'écrire, je dois reconnaître que les objets magiques m'ont souvent attendrie ou fait sourire même si j'ai eu l'impression qu'ils n'étaient pas suffisamment exploités dans l'histoire.
Un roman pour ados ? certes, mais lorsque je me demande à qui je vais bien pouvoir le donner, je me dis que je dois choisir un ado, de préférence une fille, mais un ados jeune entre 10 et 13 ans, il y a trop peu de situations propres à faire frémir les plus âgés.
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Je viens de terminer ce livre et, ça y est, je suis tout énervée.
L'idee de départ etait pourtant très bonne: une mystérieuse bibliothèque d'objets, labyrinthique à souhait, et en son coeur la collection Grimm. Pour y travailler, il faut être capable d'opérer d'ingénieux classements (le chaudron pour faire fondre le plomb doit bien entendu être rangé avec les outils et non avec les casseroles de la section ustensiles de cuisine), et tant qu'il ne s'y passe rien, ce roman est délicieux.
Ensuite, ça se gâte terriblement. Outre les cucuteries obligées des flirts adolescents, les méchants eux-mêmes sont tellement niais et quasi inoffensifs qu'on se demande si l'auteur a vraiment lu les cruels contes de Grimm dont elle prétend faire son miel. Quant aux héros, ils se dépêtrent sans grande difficulté des quelques sortilèges qu'on leur oppose; c'est à peu près aussi excitant que le récit du bizutage de ma grand-mère à son arrivée en 6° au collège de l'Enfant Jésus. Par exemple le méchant zoizeau n'est pas fichu d'enlever correctement le moindre bibliothécaire et le pire forfait de la canaille en chef consiste à bousculer l'héroïne pour essayer de lui piquer un objet magique. C'est dire s'il est vilain.
Mais il ne peut y avoir de méchant digne de ce nom là où il n'y a pas d'enjeu. En réalité, personne (et surtout pas l'auteur) n'a la moindre idée de ce qu'il serait possible de faire des objets de la collection. L'un des héros emprunte les bottes de 7 lieux pour aller chercher son petit frère à l'école - c'est dire si c'est transgressif...
Bon, allez, je ne résiste pas: y'a pas de méchant, y'a pas d'enjeu et y'a surtout pas de style. Échantillon:
"Le tapis (volant) ralentit et donna une petite secousse. Aaron leva la tête.
-Dommage. Nous sommes déjà arrivés, regretta-il.
Je me rassis. Nous étions devant ma chambre, où ma lampe de bureau était toujours allumée. Je me mis à genoux et remontai ma fenêtre.
- Eh bien, merci pour la promenade, dis-je. C'était...chouette.
-Ouais, c'était chouette.
Aaron tendit la main et m'aida à rejoindre ma chambre - ce qui n'était absolument pas nécessaire, mais cela ne me dérangea pas.
Une fois dans ma chambre, je ressortissant la tête:
-Salut, Aaron.
-Salut, Elizabeth. On pourrait se voir à la lumière du jour, un de ces quatre, non? Je ne crois pas connaître la couleur de tes yeux.
-Moi, par contre, je sais que les tiens sont marrons."
Et là, je m'éclipse sur la pointe des pieds, parce que je suppose que vous êtes tous en train de vous endormir...
(j'y vais moi aussi mais bon sang qu'est-ce que ça m'énerve, un sujet pareil flingué par si peu de compétences!)
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Lorsqu'Elizabeth est engagée au Dépôt d'Objets Empruntables de la Ville de New-York grâce à un de ses professeurs, elle est loin de se douter de ce qui l'attend. En effet, cette bibliothèque est d'un genre peu commun : on y trouve de tout et en particulier des objets des célèbres contes de Grimm. Mais certains d'entre eux disparaissent et un gigantesque oiseau plane sur le bâtiment : Elizabeth et les autres stagiaires décident d'enquêter pour résoudre ce mystère...
Je me suis laissée envouter par cette Malédiction Grimm ! C'est frais, léger, pétillant, original, magique : bref, tout ce que j'aime !
L'univers des contes de fées m'a toujours passionnée et je trouve que dans ce roman, il prend un coup de jeune qui va plaire aux ados.
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Une lecture très sympa, qui donne l'occasion de réviser les contes classiques.
Elisabeth se fait embaucher au mystérieux dépôt une bibliothèque pas comme les autres où l'on peut par exemple emprunter la perruque de Marie-Antoinette. Mais elle est surtout attiré par la collection Grimm une chose étrange se cache dans cette réserve. Ajoutez à ça une magasinière qui disparaît, le plus beau garçon de l'école et des demies-soeurs terribles, voilà les ingrédients pour une grande aventure.
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Elisabeth, jeune New Yorkaise, peine à s'intégrer dans son nouveau lycée. Elle saisit donc l'opportunité, que lui offre un de ses professeurs, de travailler dans une grande bibliothèque, en espérant y rencontrer du monde et ne plus être seule. Mais ce n'est pas dans une bibliothèque classique que la jeune fille va embarquer. C'est au Dépôt d'Objets Empruntables de la Ville de New York. Une gigantesque bibliothèque d'un genre particulier : bien qu'on y trouve des livres, ce ne sont pas les éléments principaux. Dans les rayonnages sont rangés des monceaux d'objets de la simple cuillère à la voiture de course, en passant par des collections de chapeaux. Rayonnages interdits au public, seuls les magasiniers peuvent vous apporter les objets demander. Que ce soit pour étudier un objet en vue de faire un exposé ou pour enrichir votre scène de théâtre, vous y trouverez de tout. Elisabeth va donc passer un entretien très particulier pour intégrer cet édifice et y devenir magasinière.

Le plus extraordinaire, ce sont les Collections Spéciales dont est dotée cette bibliothèque. Elles sont au nombre de quatre : la Collection Grimm, le Legs Wells, le Corpus Lovecraft et la Chrestomathie de Gibson. Après avoir fait ses preuves en tant que magasinière lambda, Elisabeth se verra le droit de participer à l'entretien de la merveilleuse Collection Grimm. D'autant plus qu'un mystère plane sur cette collection qui se voit dépouillée peu à peu de ses objets, sans que l'on sache d'où vient le voleur. Elisabeth va découvrir que la magie est bien réelle et que les objets de contes de fées n'existent pas que dans les livres. Avec ses nouveaux amis, rencontrés à la bibliothèque, elle va résoudre le mystère Grimm.

Je vous annonce la couleur tout de suite : je suis tombée sous le charme de ce roman assez vite et la magie a intensément opérée jusqu'au deux tiers environ. Puis c'est assez vite retombé comme un soufflé… Mais le cadre global de l'histoire restant accrocheur, je ressors tout de même avec un avis positif de cette expérience.

Le charme a opéré de suite sur moi, tout simplement parce que le monde de la bibliothèque y est parfait. Même s'il n'est pas question de livres ici, l'endroit calme, studieux, mystérieux et à la fois concret de l'édifice que représente une bibliothèque, m'a fait adorer l'univers et l'espace-temps dans lequel se déroule le récit. J'ai tout de suite pu me représenter les lieux et je donnerais beaucoup pour pouvoir me balader dans un tel endroit un jour.

Ce qui nous permet de nous immerger dans l'univers totalement, c'est qu'au-delà de l'histoire fantastique que l'on nous livre, les actions basiques d'un bibliothécaire nous sont décrites, et je ne sais pas pourquoi, j'ai littéralement adoré. Je pense que ça peut en rebuter plus d'un, mais moi ça m'a permis de m'immerger totalement. Ça rend la bibliothèque d'autant plus crédible : on croit à ce concept puisqu'on nous explique comment cela marche.

Il en est de même pour le côté fantastique. Notre héroïne, Elisabeth, ne prend pas pour acquis tout ce qu'on lui dit sur la Collection Grimm, dès le départ. Elle se questionne, attend des preuves et assimile peu à peu que la magie existe. Cela ajoute à la crédibilité du récit de pouvoir se mettre à sa place et se disant qu'on aurait eu les mêmes réflexions dans un tel cas de figure. Par la suite, voir certains objets des contes de Grimm en pleine utilisation, c'est assez cocasse et on donnerait cher pour pouvoir les tester.

Petit plus : de nombreux contes cités au fil du récit ne sont pas les plus connus, en tout cas en France. Un résumé de ceux-ci est donc intégré à la fin du roman, pour éclaircir le lecteur sur certains dialogues dans le récit. C'est sympa et donne envie de découvrir les contes encore plus en profondeur.

Toute cette partie de découverte de l'univers m'a donc beaucoup plu. Je me suis également attachée aux personnages. Anjali, une autre magasinière, qui devient vite amie avec Elisabeth. La petite soeur d'Anjali, Jaya, 10 ans, une vraie boule de nerf et tête de mule. Marc, le beau sportif qui en a quand même dans la tête. Et Aaron, peu sûr de lui, son manque d'assurance transparaît dans l'arrogance, mais devient un personnage que l'on apprécie.

Cependant, à partir du moment où on entre dans le vif du sujet avec le mystère Grimm qui se complexifie et des évènements plus poussés qui arrivent à nos adolescents, j'ai un peu déchanté.
Pour découvrir la suite, rendez-ovus sur notre site !
Lien : http://lebazarlitteraire.fr/..
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critiques presse (1)
Elbakin.net
15 décembre 2014
La couverture entière reprend les éléments du récit et chacun pourra s’amuser à retrouver les références en cours de lecture. Tout y est. Ce qui rend malgré tout l’ensemble un brin chargé. Les chapitres, eux, sont illustrés par un objet du Dépôt, avec nom et côte. L’immersion est donc parfaite.
Reste que l’ouvrage souffre de quelques longueurs, et peut-être d’une histoire, malgré les différents rebondissements, par trop linéaire.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
Bien sûr, il existait d'autres accessoires magiques qui seraient plus efficaces qu'une cape invisibilité.. Les contes de fées regorgeaient d'objets qui accomplissaient les vœux. En général, ils avaient le pouvoir d'en exaucer trois : il fallait donc bien y réfléchir. Lorsque j'étais petite, je passais des heures à imaginer les souhaits que je formulerais si je me retrouvais devant l'un de ces objets - exactement ce que j'avais la chance de vivre aujourd'hui.
Quel serait le meilleur voeux? Un médicament qui soigne le cancer? Le bonheur pour tous les habitants de la Terre? La paix dans tous les pays, pour toujours? Les personnages des contes de fées avaient tendance à gaspiller leurs voeux avec des choses ridicules, comme des envies de boudin, ou le désir de se transformer en âne et de nouveau en humain. Parfois, les souhaits se retournaient contre eux. Par exemple, quelqu'un désirait recevoir un sac de pièces d'or, mais celui-ci lui tombait sur la tête et le tuait.
Par conséquent, même si je dégotais une bague magique, je n'étais pas sûre d'avoir le courage de m'en servir. Et si je faisais le voeu de sortir de la Collection Grimm pour que mon corps soit finalement emporté dans une housse mortuaire?!
Tout cela était tellement bizarre! J'avais envie de m'enfuir de cette pièce inondée de magie et de réfléchir calmement, dans un endroit sûr et normal, un endroit qui sentirait la vie de tous les jours - la poussière, les odeurs de cuisine, par exemple-, pas les relents changeants de l'ensorcellement. En outre, si l'on m'avait accordé trois voeux dans la vie réelle, je savais exactement ce que j'aurais changé : j'aurais souhaité que ma mère soit toujours en vie, que mon père redevienne comme avant, et que ma meilleure amie, Nicole, habite encore à New York.
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_ Bon, où retrouvons-nous Anjali?
_ Toi, tu ne retrouves Anjali nulle part.
_ Bien sûr que si. Je suis têtu, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué.
_ Je ne comprends pas, Aaron. Tu penses réellement que nous complotons quelque chose? Parce que, si nous voulions comploter, nous pourrions parfaitement le faire quand tu n'es pas là pour nous espionner. Alors réponds-moi: pourquoi tu me suis?
_ Je ne sais pas, Elizabeth _ peut-être parce que je ne supporte pas d'être séparé de toi?
Son sourire, un mélange exquis de sarcasme et de sincérité, découvrit ses magnifiques dents blanches.
_ Si c'était vrai, tu ne l'avouerais jamais.
_ Tu as peut-être raison. Ou alors je pense ne rien risquer du tout en te le disant parce que je sais que tu ne me croirais jamais capable d'avouer une telle chose si elle était vraie.
_ Ou bien tu t'exprimes par circonlocutions dans le but de m'embrouiller, pour ne pas avoir à répondre à ma question.
_ S'exprimer par circonlocutions n'est pas pire que de décrire des circonvolutions pour aller aux toilettes.
_ Si tu n'aimes pas ma façon de marcher, tu n'as qu'à pas me suivre.
_ Oh mais si, j'aime ta façon de marcher ! Beaucoup même. Je te regarderais marcher volontiers toute la soirée.
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Comme je m'ennuyais et m'impatientais, j'allai de nouveau flâner pour me distraire. Du coin de l’œil, je vis quelque chose bouger derrière moi. Je me retournai vivement et me figeai sur place.
Je constatai, rassurée, que c'était juste moi, _ enfin, mon reflet dans un grand miroir accroché au râtelier à tableaux. Avais-je réellement cette mine sombre et défaite?
Je me fis une grimace et dis:
_ Miroir, miroir joli, qui est la plus belle du pays?
Les lèvres de mon reflet remuèrent, et une voix parfaitement identique à la mienne me répondit:
_ Tu ne le sais toujours pas, Eliza? Alors, écoute ça: ce n'est pas toi.
Je me considère comme une personne assez sensée. J'ai grandi à New York; j'en ai vu des choses! Je ne suis pas le genre de filles qui confond les contes de fées avec la réalité! Cependant, dès que j'entendis le miroir parler, je sus que ce n'était pas le fruit de mon imagination _ c'était réellement de la magie. Je le sus avec autant de certitude que l'on reconnaît la voix de sa mère, que l'on sait qu'il faut retirer sa main d'une plaque de cuisinière chaude avant même que son cerveau n'enregistre la douleur. Mon cœur se mit à battre d'excitation _ d'excitation, mais pas de doute.
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_ Le Doc t'a donné une clé et la première chose que tu fais, c'est jouer avec la magie?
Aaron s'était exprimé d'un ton aussi sévère que celui que M. Mauskopf employait lorsqu'il rendait des interrogations écrites.
_ Je ne suis pas en train de jouer, me défendis-je avec autant de dignité que je pus trouver en moi dans cette position. Marc a réparé ces sandales, et je les testais.
Aaron se pencha, si bien qu'il me regardait à présent à l'endroit:
_ Oh, tu les "testais", hein? Je dois dire qu'il est un peu difficile de te prendre au sérieux quand tes cheveux sont dressés sur ta tête. Même si tu es mignonne, comme ça. On dirait un balai avec un visage.
_ Merci _ tes cheveux aussi sont rigolos, répliquai-je assez puérilement.
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_ Ce que je veux dire, c'est que toutes les horribles choses qui arrivent dans les contes de fées ont l'air réelles. Authentiques, en tout cas. En effet, la vie est injuste; les méchants gagnent toujours et les bons meurent. Mais dans les contes, j'aime comment, en général, les choses ne se terminent pas ainsi. Par exemple, lorsque la mère morte se transforme en arbre et continue à aider sa fille... Ou quand le garçon que tout le monde prend pour un idiot réussit à se montrer plus malin que le géant... Le mal existe dans ces histoires, mais le bien aussi, comme dans les vies. Certains prétendent que les contes de fées sont simplistes, manichéens; or, moi, je pense au contraire qu'ils sont complexes. C'est ça que j'adore.
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