C'est très difficile à lire. Je pensais que j'allais être rebutée ou gênée par les mots québécois mais en fait, c'est plutôt eux qui m'ont aidé à poursuivre mais pas très loin car je m'arrête au premier tiers. C'est l'Histoire et la politique le noeud du problème qui tue toute l'intrigue et noie le lecteur surtout si ce lecteur ne connait pas le fonctionnement du gouvernement anglais/canadien.
Challenge Multi Défis 2016 : un livre d'un auteur Québécois
Pioche dans ma PAL de novembre 2016
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Deuxième saga de l'auteure Anne-Marie Sicotte a laquelle je m'attaque. J'avais tous simplement adorée la trilogie des accoucheuses, le destins et la vie d'une famille de femme qui accouches les autres femmes du village. Cette fois ci, ont suit la vie d'une famille politisée en plein coeur des événements entourant l'Histoire des Patriotes.
Comme dis précédemment, j'ai adorée suivre le destins des femmes forte dans Les accoucheuses et je dois avouer que quand j'ai lue le résumé en quatrième de couverture, le pays insoumis m'a aussi semblé être un roman plus porté sur le destins des femmes de la famille Dudevoir. Que ce ne soit pas le cas m'a déplue et c'est ce qui a rendue ma lecture plus difficile. Chaque partie ou l'histoire était axée sur Gilbert Dudevoir (ce qui représente surement plus de 75% du roman), j'avais hate que ce segment se termine pour voir la même partie de l'histoire, ou sa suite, avec les yeux de sa soeur Vitaline. Mais quand je suivais l'histoire de celle ci, je n'étais pas nécessairement plus intéressée. Peut-être que j'avais trop d'attente par rapport aux types de femmes présentes dans Les accoucheuses et qui n'etait pas semblable a Vitaline; une femme de tête mais assurément moins ambitieuse que les précédentes héroïnes d'Anne-Marie Sicotte. Moins supportées par les hommes également.
Somme toute, j'ai aimée ce livre même si j'aurais aimée voir plus d'évènements entourant les agissements des Patriotes et l'implication de la famille Dudevoir dans certains de ces événements. J'avais l'impression que la famille se retrouverait mêlée de près ou de loin à ces phénomènes historiques mais ce ne l'est pas. Peut-être dans le deuxième tome.
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La conduite d’un feu est un art que possède tous Canadien, et même toute Canadienne qui passe plusieurs heures par jour près de l’âtre ou au ras du poêle.
Depuis ses pieds , comme si ce sentiments venait des entrailles de la terre, Vitaline sent une montée de patriotisme prendre possession de tout son être.
La chronique de Gérard Collard - Coffret Poche