Il m'est très difficile d'écrire une critique sur ces
trois vies chinoises mais je tente l'exercice.
Personnellement, en général, j'aime l'écriture "chinoise", cette "autre façon" de penser que la nôtre, occidentaux.
Dai Sijie est un auteur que je qualifierai de poète, il possède une qualité d'écriture qui lui permet d'évoquer des vies, dans des lieux tels que ceux de ce roman, une île de la Noblesse qui est en fait, une décharge de recyclage des déchets électroniques.
Dans ces lieux toxiques, se déroulent
trois vies chinoises, l'une après l'autre, et chacune unique dans un imaginaire cru et poétique.
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