Voici donc le deuxième tome de la série L'affaire Amanda. le premier tome m'a plutôt séduite, il y avait du mystère, des rebondissements et assez de suspense pour donner envie de lire la suite. Ici, le style d'écriture est fade et mou, l'intrigue se traîne, il ne se pas grand chose.
Il faut peut-être préciser que chaque tome est écrit par un auteur différent, ce qui peut expliquer le choc entre les deux romans.
Autant dire que je n'ai pas forcément très envie de lire la suite. Mais je viens d'apprendre qu'il n'y aura que trois tomes sur les huit prévus donc je lirai peut-être le troisième, en espérant être surprise par le dénouement...
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Dans ce deuxième tome, nous suivons Hal l'artiste de notre petit groupe d'enquêteurs. Ce deuxième tome m'a un peu moins plus que le premier. Je m'attendais à retrouver les illustrations du premier tome, mais je n'en est trouvée aucunes dans celui-ci. Cela m'a vraiment étonnée alors que Hal est l'artiste du groupe. Et puis j'ai trouvée que les actions étaient un peu moins entrainantes. Je me suis moins attachée à ce personnage. Malgré tout l'envie dans savoir plus ne m'a pas lâché et mystère d'amanda me plait tout au temps.
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Beaucoup de découvertes et peu de réponses dans de ce 2e tome. Les idées sont lancées en l'air puis l'auteur semble se désintéresser d'elles, laissant son lecteur en plein désarroi... et parfois en totale saturation ! Mais le mystère Amanda reste entier et malgré tout on veut connaître la suite. Mais personnellement je ne pourrais pas tenir 8 tomes à ce rythme !
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-Je crois que le théâtre n'est pas mon art de prédilection.
- Et c'est quoi ton art de prédilection ? [...]
- La vie, a-t-elle répondu.[...] Le monde est une vaste scène de théâtre.
"Elle me faisait penser à un tableau : un Van Eyck, ou un Michel-Ange. Non pas qu'elle était spécialement belle - elle l'était, en réalité -, mais elle avait cet air...intemporel. Comme la Joconde ou la Vénus de Botticelli."
- Voyons, Hal, on ne dirait jamais que tu as perdu la boule...
Elle a marqué une pause avant de conclure, sarcastique :
- En tout cas, on ne te le dirait pas en face.
"Le secret d'un bon mensonge, c'est de rester le plus près de la vérité."
Vu de l'extérieur, le bureau du proviseur adjoint n'avait rien d'une scène de crime.