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Critique de Fifrildi


Dans Les monades urbaines, Robert Silverberg offre un univers intéressant : le 24ème siècle et ses 70 milliards d'habitants (« croissez et multipliez ») qui vivent dans des tours d'un millier d'étages.

Les 7 histoires évoquent des personnages qui évoluent tous dans la Monade 116. Elles permettent de se faire une bonne idée du mode de fonctionnement de cette société qui évolue en vase clos. Ce qui m'a le plus marqué c'est l'absence totale d'intimité et la liberté sexuelle démesurée. La nuit n'importe qui peut venir chez vous pour avoir des rapports sexuels et vous ne pouvez pas vous dérober. Quelle horreur !

Cela aurait pu plus me plaire mais c'était trop axé sur la sexualité. Je pense qu'il y avait d'autres pistes à explorer.

Je dois quand même avouer que j'ai beaucoup aimé la deuxième histoire centrée sur le personnage d'Aurea Holston. J'ai aussi trouvé intéressante celle (la sixième) qui s'intéresse de plus près à Micael Statler qui nous emmène voir ce qui se passe à l'extérieur de la monade.

Dans l'ensemble, j'ai trouvé cette lecture bien ennuyeuse par rapport aux autres livres que j'ai déjà lu de l'auteur comme : Les déportés du Cambrien, Les ailes de la nuit & Les royaumes du mur.



Challenge défis de l'imaginaire (SFFF) (36)
2018, l'année Robert Silverberg… (LC)


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