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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est à Stonefield, dans la campagne anglaise, retirée un peu du monde et tranquille à souhait que Glen Larson, traducteur, professeur et écrivain en mal d'inspiration, vient se ressourcer plusieurs mois dans l'année. Il peut ainsi profiter du calme de la campagne pour écrire, se reposer, flâner dans les champs. Il aime beaucoup la tenancière de cette grande ferme, Beth Hardiman. Elle est aux petits soins pour tous ses locataires, cuisine à merveille, est discrète et efficace. Elle sert également de secrétaire à son mari, Nicholas, grand écrivain à succès, un peu baratineur et un brin cavaleur. Il y a aussi Andy le jardinier, jeune homme très courtois et serviable. Et, il y a Tamara Drewe... Jeune femme plantureuse et sexy, chroniqueuse ambitieuse dans un journal people, elle est revenue dans ses terres natales pour revendre la maison de sa maman, récemment décédée. Véritable icône pour les jeunes filles du village, Tamara attise les regards des hommes, les provoque dans ses petits shorts moulants ce qui ne va pas être du goût des femmes du coin. Stonefield risque bien de s'agiter un peu...

Tamara Drewe apporte son petit vent de folie aussi bien dans ce petit village rural que dans le monde de la bande dessinée. Posy Simmonds nous livre, en effet, un album vraiment atypique, d'une part par sa construction narrative et d'autre part par un scénario habile et adroitement mené. Où l'on pourrait penser que rien ne pourrait arriver, la jeune femme va révéler les consciences et les secrets cachés et mettre au grand jour les caractères de chacun des protagonistes. L'auteure nous offre un véritable roman graphique, tant le texte faisant tour à tour parler Beth, Glen ou Andy occupe une place importante. Sur un ton saisissant, parfois cruel ou cynique, parfois plus léger, cet album frais aux allures campagnardes recèle de petits trésors et dénonce quelque peu la société. Avec des dessins élégants et chaleureux, des couleurs rassurantes, l'auteure a réellement inventé une toute autre façon de concevoir la bande dessinée.

Laissez-vous séduire par Tamara Drewe...
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Une nouvelle découverte avec Tamara Drewe de Posy Simmonds ! J'avoue que j'avais déjà vu le film réalisé par Stephan Frears avant de me plonger dans cette "bande-dessinée", ce qui ne m'a pas du tout dérangé lors de cette lecture.

L'intrigue est originale : dans un petit village d'Angleterre où peu d'évènements se passent, le retour de Tamara Drewe, véritable bombe qui s'est fait refaire le nez, bouleverse tous les habitants, du jeune fermier Andy à l'écrivain infidèle Nicholas Hardiment, en passant par le batteur Ben...
J'ai beaucoup aimé la narration, basée sur le point de vue de différents narrateurs : Glen, un écrivain à la recherche d'inspiration ; Beth, la femme de Nicholas respectée par tous, ou encore Casey, une jeune adolescente qui, avec son amie Judy, va accomplir bien des erreurs !

J'ai également beaucoup apprécié le concept du livre, mêlant bande dessinée et texte, ce qui permet de divertir le lecteur, et ainsi, le dépayser jusqu'à la dernière page.

Le livre -ou plutôt devrais-je dire le film- est très fidèle au roman/bande dessinée, en dehors de certaines scènes plus burlesques, et, comme bon nombre d'entre vous, je suis intéressée par le livre Loin de la foule déchaînée de Thomas Hardy. de même, je souhaite continuer de découvrir, avec grand plaisir, l'oeuvre de Posy Simmonds et en particulier "Gemma Bovery", qui promet d'être aussi amusant que Tamara Drewe !!

Un excellent moment de lecture !
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Pour le coup, voici un vrai roman graphique. Un genre de Smoking/No Smoking très librement inspiré du formidable roman de Thomas Hardy.

Quelques personnages pittoresques fréquentent un confortable Bed & Breakfast appelé justement Loin de la Foule Déchaînée et tenu par Beth Hardiman, une femme remarquable, dont le seul défaut est d'avoir un mari soi-disant écrivain (inspiré du riche voisin Boldwood) dont la goujaterie pitoyable n'a d'égale que sa lâcheté.
A des kilomètre de ce havre de paix, Bathsheba Everdene, alias Tamara Drewe, soi dit en passant pur produit de la upper-middle-class londonienne, passait son activité de journaliste à alimenter des tabloïds volants au ras des pâquerettes avant que son ambition ne la pousse à :
a) Se refaire le nez passant ainsi de jolie à ensorcelante
b) Prendre la décision d'aborder la fiction, puis d'écrire deux ou trois romans afin de faire bonne mesure et – why not – un livre pour enfants
c) Voir les pâquerettes de plus près...

Mais à la faveur d'un héritage lui permettant de reprendre possession de la belle demeure familiale, Tamara est de retour au pays ce qui suspend momentanément ses projets de conquête du monde.
Voici donc plantée au beau milieu de ce décor délicieusement bucolique notre grande et sublime grenade dégoupillée du genre à se promener pieds nus – grands dieux ! – et en mini short sexy arpentant de long en large la très verte et si paisible campagne anglaise – du moins en apparence – où les bovins disputent encore aux écrivains en mal d'inspiration des arpents de pré restés humides de la suite du dernier passage nuageux. Mais elle est surtout le genre de fille instinctive n'ayant pas froid aux yeux et qui n'hésitera à faire tous les choix que sa liberté lui permet afin de tenter de vivre son idéal.
Forcément, ça déplaira à quelques mâles réactionnaires qui ne rêveraient pas mieux que de n'en faire qu'une bouchée au passage.
Est-ce qu'Andy Cobb, le beau et taciturne jardinier circulant dans un vieux Land-Rover décrépi, saura lui faire oublier les feux de Londres ?

Un joli portrait à charge féroce et goguenard de l'Angleterre contemporaine.
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Tamara Drewe est une amazone des temps modernes et quand elle débarque à Ewedown, petit village très (trop) tranquille, avec son nez refait, ses jambes interminables, son allure sexy, son métier fascinant de journaliste people et son petit ami batteur dans un groupe de rock, elle va bouleverser cette quiétude et agir comme une bombe sur ses habitants, à commencer par Beth Hardiman qui tient une villégiature pour écrivains en quête de repos et d'inspiration et son mari Nicholas, écrivain, et sur deux adolescentes, notamment la provocante Casey en manque d'affection.
D'autant que Tamara est un personnage que l'on aime et que l'on déteste à la fois, elle représente un certain idéal et également l'inverse de l'image que l'on voudrait projeter.
Glen, un écrivain en villégiature, le résume assez bien : "C'est comme si elle nous cueillait un à un, chacun recevant de plein fouet son rayonnement, son sourire, sa chaleur, son intérêt, le tout en apparence sincère et naturel."

Ce roman graphique est à la fois riche et intéressant et montre l'excellence et l'intelligence de l'auteur qui croque-là les travers de la société britannique avec une plume acérée et un dessin précis.
En se concentrant sur les réflexions de trois personnages, Posy Simmonds arrive à partager avec le lecteur les points de vue de chacun et apporte un souffle continu à l'histoire.
Elle utilise habilement le genre du roman graphique pour donner par moment une accélération à l'histoire avec de longs passages écrits et à d'autres utilise des images silencieuses pour installer une intensité dramatique.
Car si l'auteur cherche surtout à mettre en avant les travers de cette société, elle a réussi également à donner une dimension dramatique forte à son histoire.
Et puis il faut bien reconnaître que l'histoire fait mouche et que le lecteur finit par être piqué par l'histoire de Tamara Drewe et son côté extrêmement réaliste.
L'auteur s'est aussi attachée à décrire avec minutie la dégradation des relations humaines, par exemple dans le couple Beth/Nicholas Hardiman, ce qui tend à rendre encore plus proche le lecteur à ce récit.
Il y a aussi une dimension vivante à cette histoire, il est facile à la lecture de l'imaginer en film (ou alors c'est parce que j'ai vu le film avant de lire le livre), notamment du fait du choix des couleurs et de leur diversité et du souci constant du détail.
Il n'y a que la fin qui est quelque peu ratée, amorçant une autre histoire sans que j'ai pourtant ressenti que c'était le but recherché par l'auteur.

Hormis cette faute de goût finale, j'ai été agréablement surprise par la lecture et la qualité de ce roman graphique et l'utilisation peu conventionnelle qu'en fait Posy Simmonds au niveau de l'écriture.
Il m'a donné envie de découvrir les autres oeuvres de cette auteur et c'est une charmante promenade campagnarde que nous propose Posy Simmonds à travers "Tamara Drewe".
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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L'univers de Posy Simmonds est tellement particulier qu'il séduit ou agace. Je fais partie des fans de cette dessinatrice dont les romans graphiques s'inspirent souvent d'oeuvres littéraires : celles de Flaubert pour Gemma Bovery, Dickens pour Cassandra Drake ou Thomas Hardy pour Tamara Drewe.
Le talent de Simmonds est de décrire les modes et les travers de notre époque avec un humour décalé et une acidité de ton toute britannique. En refermant le livre, on ne peut que constater le dynamitage en règle des faiblesses humaines comme des accommodements dont se satisfait le commun des mortels.
Cet opus nous conduit dans une résidence payante pour écrivains installée à la campagne, un lieu douillet qui baigne dans une paix propice à l'inspiration et à la concentration. le retour dans sa maison familiale de Tamara Drewe, vilain petit canard transformé en cygne par la chirurgie esthétique, déclenche une onde de choc dans son village, digne de la journaliste people qu'elle est devenue. Pulvérisée la tranquillité des résidents, les hommes perdent la tête, les adolescents rêvent de célébrité, jusqu'aux vaches qui s'énervent. Chacun livre ses impressions au fil des mois et des saisons et le double ancrage du roman – dans l'intimité des personnages et dans le temps – donne sa force à l'histoire.
Couleurs pastel, dessin délicat, composition harmonieuse rehaussent par contraste une satire douce-amère des embûches de la célébrité.
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Cette bande dessinée était publiée dans le journal anglais The Guardian, tous les dimanches, et je lisais ces extraits avec beaucoup de plaisir.
Après avoir lu Literary Life, j'ai voulu relire Tamara Drewe, cette fois-ci dans sa totalité, et j'ai tellement aimé que je l'ai fini dans la nuit.

La simplicité et lisibilité des dessins, la sobriété des textes, leur léger humour, la diversité des personnages qui ont tous leur histoire et personnalité et enfin l'intrigue subtile tournant autour du monde de l'édition, la campagne et les idylles plus ou moins avouables, tout contribue au plaisir de cette lecture et explique le gros succès qu'elle a eu.
Beth gère avec amour la résidence d'écrivains qu'elle a fondé dans la campagne anglaise avec son mari écrivain à succès, charismatique et volage, Nick. Entre deux crises conjugales, la résidence baigne dans le calme, les repas composés des produits de la ferme,le meuglement des vaches de la voisine et les petites piques que nos chers écrivains se lancent l'air de rien.
Cette monotonie et pourtant troublée par le retour de Tamara Drewe dans sa maison natale. Tamara: chroniqueuse nombriliste et magnifique, surtout depuis son opération du nez. Personne ne lui résiste, pourtant beaucoup semblent la détester. Tamara, c'est presque un cliché, et pourtant, on se laisse prendre et nous voilà à plonger tour-à tour dans les pensées des différents protagonistes du récit.
Saga, critique du monde littéraire, roman légèrement policier... ce roman est un grand plaisir de lecture!


Lien : http://pourunmot.blogspot.fr..
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Situé quelque part dans la campagne anglaise où règne le calme plat, ce roman graphique met en scène des personnages qui cherchent le bonheur chacun à leur façon. Entre appréciation de l'environnement et envie de trouver un plus grand frisson, entre l'envie que rien ne change et l'aspiration à une vie plus imprévisible, les destins se croisent et laissent des traces. le tout est couronné d'un dénouement fort et ouvert à la fois.
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Conquise par le parfait équilibre entre le texte et le dessin du premier roman graphique de Posy Simmonds, Gemma Bovery, je n'ai pas tardé à me plonger dans son petit frère, le Tamara Drewe.

J'avais eu l'occasion de regarder à la télé l'adaptation faite par Stephen Frears pour le cinéma mais je ne me rappelle pas en avoir gardé un souvenir mémorable.
Avec le livre, j'ai retrouvé avec plaisir les dessins détaillés de Posy Simmonds qui m'avaient charmée une première fois.
Graphiquement, c'est donc toujours aussi beau. le trait est toujours précis. Je n'ai pas noté de flagrante amélioration, même si une dizaine d'années sépare les deux ouvrages. Il faut croire que Posy Simmonds a été très tôt au top !
En revanche, cette fois-ci, la couleur est présente. Pas des teintes pleines et éclatantes mais de subtiles teintes de pastel qui donne à l'ensemble une finition supérieure à celle de Gemma.

Beaucoup de ressemblances entre les deux ouvrages.
Ressemblance évidente, dès le départ, dans les titres : deux noms et deux prénoms de femmes, en "a".
On se rend compte ensuite que les personnages eux-mêmes se ressemblent, tant au niveau des caractères que physiquement : les plus évidents, les deux héroïnes, Gemma et Tamara, d'un côté, et de l'autre, le boulanger Joubert et l'écrivain Glen Larson, tous deux à un poste observateur.
Les paysages se ressemblent : la campagne normande d'un côté et celle anglaise de l'autre, avec le village d'à côté ou la petite ville où on va faire les courses.
Et Tamara Drewe est une BD elle aussi librement inspirée d'un roman, un roman anglais du XIXème siècle, de Thomas Hardy.

Le scénario de l'histoire, quand à lui, m'a semblé un peu plus plus fouillé sans pour autant présenter de grands rebondissements.
Non rien d'extraordinaire dans cette histoire mais un tableau très plaisant d'une certaine société anglaise contemporaine, gentiment piquant.
Une retraite à la campagne pour écrivains en mal de calme et de retour aux sources afin de trouver l'inspiration, tenue par Beth Hardiman, qui est elle-même l'épouse d'un célèbre écrivain. Celui-ci l'a trompée plus d'une fois mais elle a à chaque fois pardonné, au nom d'une liberté qu'ils s'accordent mutuellement. Sauf que la liberté n'a marché que dans un sens jusqu'alors et qu'elle est surtout source de méfiance et de jalousie pour Beth.
Débarque un jour Tamara Drewe, belle et jeune journaliste londonienne, au nez nouvellement refait, qui vient prendre possession de la demeure voisine de celle des Hardiman, dont elle a hérité. Son arrivée pieds nus, en débardeur et mini-short produit son effet.
Tamara est une charmeuse, fait de l'effet à tout le monde et la tranquillité de ce petit coin de campagne anglaise va en être toute bouleversée...

L'histoire nous est racontée par le biais de 3 narrateurs différents : Beth Hardiman, l'hôtesse de Stonefield, qui dirige d'une main de maître sa retraite pour écrivains, Glen Larson, l'un des écrivains reçus à Stonefield, un gros nounours, et Casey, une adolescente du coin, qui va se trouver mêlée à la vie de Tamara, bien malgré elle, par le biais de sa copine Jody, amoureuse du mec de Tamara, l'ex-batteur d'un célèbre groupe de rock.

J'ai aimé, oui, malgré les redondances entre les deux albums, parce que je suis complètement fan du genre "roman graphique" quand il est aussi bien illustré.
J'ai hâte de lire bientôt, j'espère (quoi que, si elle en produit un tous les dix ans, je peux attendre encore un peu...), le prochain Posy Simmonds, en espérant juste qu'elle saura renouveler son sujet.
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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C'est vrai qu'elle à l'air bien roulé Tamara Drew avec son petit nez refait, son short très serré, ses yeux de biche et son sourire enjôleur.
Elle est vraiment la princesse charmante de Stonefield comme le dit si bien le vieux Glen Larson.
Sûr qu'il y a de quoi troubler la quiétude de cette paisible retraite pour écrivains sur le retour. Une campagne anglaise comme dans les illustrations de Beatrix Potter, un cadre idyllique, où l'on peut regarder les vaches paître gentiment en sirotant un thé préparé par la maîtresse de maison, loin du tumulte londonien et de la dictature du succès littéraire.
Mais la jeune femme fait tourner toutes les têtes, surtout celles des hommes qui semblent retrouver un peu de verdeur à mesure qu'ils se rapprochent de cette chroniqueuse populaire . Tous succombent au magnétisme de Tamara, qui chamboule leur univers sclérosé, et finissent par se prêter au jeu des intrigues et des faux-semblants. le charme de Tamara supplante rapidement le cadre bucolique et jette définitivement le trouble dans ce petit monde isolé.
C'est très bien écrit, les personnages sont tangibles et convaincants, l'intrigue est inspirée d'un roman de Thomas Hardy "loin de la foule déchaînée" et parfaitement réactualisée par l'autrice.
Le texte prend parfois le pas sur le dessin mais toujours au service de l'histoire.
Le ton humoristique devient assez noir par moment, on vacille de la comédie de moeurs au Thriller avec beaucoup de subtilité.
C'est ce qui est particulièrement appréciable chez Posy Simmonds, un regard intelligemment acerbe, une causticité délicate, un peu à la Jane Austen.
Dire que je n'ai découvert cette grande dame du roman graphique que depuis le dernier festival D'Angoulême où elle a reçu le grand prix pour l'enssemble de son oeuvre. Shame on me!
Il me tarde de lire Gemma Bovery.
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J'ai passé un agréable moment à lire ce roman graphique. Les illustrations noir et blanc sont superbes, pleine de réalisme, de multiples détails avec une touche de sensibilité et de poésie qui donnent au réel un petit plus.
La découverte de la psychologie des personnages qui devient de plus en plus détaillés au fil des pages m'a beaucoup plu.
L'histoire, sans être totalement secondaire, m'a paru moins importante que les personnages et les illustrations. le bonus est que cela se passe dans le monde de la littérature, qui plus est à la campagne !

Une ferme au fin fond de l'Angleterre accueille des écrivains, publiés ou non, qui passent là quelque mois afin d'écrire au calme : la gérante est aux petits soins, le mari, un écrivain célèbre passe son temps à écrire dans son cabanon et puis la jardinier jardine evidemment. Mais la belle journaliste Tamara Drewe , un jeune femme du coin revient s'installer dans l'ancienne ferme voisine. le calme n'est alors plus ce qu'il était...
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